Profil public
Cette sorte de tiers payant semble très intéressante mais ne devrait s'appliquer que pour les modes actifs "à force humaine". Moins de paperasses et de complications, dans ce domaine il conviendrait de développer un guichet unique des collectivités sur internet; surtout pas "d'usine à gaz": simplifions les possibilités d'accès aux modes alternatifs et en particulier aux modes actifs à force humaine.
Effectivement il s'agit bien d'une méthode de "gribouille" où l'on se donne bonne conscience sur le dos des usagers-contribuables! Les facteurs de pollution ne sont pas traités dans l'ordre des priorités (la mobilité ne représente qu'un tiers, que fait-on pour les deux autres?) et les moyens qui doivent être mis en oeuvre pour atteindre l'objectif ne sont pas encore là (en particulier les modes alternatifs à la voiture sont uniquement concentrés sur la ville centre: on est un peu dans le parisianisme bordelais!).
Tout à fait d'accord le râteau, le balai et "l'huile de coude" polluent beaucoup moins dans l'atmosphère sans oublier le bruit facteur de risque important pour la santé! Ces éléments concernent directement surtout les collectivités et les artisans d'espaces verts. Encore des équipements à électrifier? Non il faut réhabiliter le travail manuel.