Des logements à Pessac Chappement : principes d'aménagement

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+["Les propositions communes exprimées dans les échanges relatifs à Chappement réalisés par les quartiers avec les collectifs appellent les observations suivantes en guise de poil à gratter... les méninges:\n\nZonage: il m'avait semblé comprendre que c'était le projet d'ensemble qui faisait le zonage spécifique à Chappement!\n\nNombre de logements: Si 300 logements est un minimum est-ce 785 ou 480 le maximum? Je crains (peut-être à tort) que si l'on n'atteint pas un seuil critique, les propriétaires (toujours oubliés en l'espèce) ne soient fondés à se considérer lésés et spoliés par le sursis à statuer et à faire annuler cette décision pour revenir au statu quo ante (PLU en vigueur à ce jour). Ce risque juridique en l'absence d'un intérêt public décisif et évident ne semble pas nul.\nDe plus il convient aussi de rappeler une loi économique de base: quand la demande est supérieure à l'offre de logements les prix montent ( en locatif comme en accession). Les primo-accédants (les jeunes couples en général) ne pourront plus se loger sur la Métropole et devront s'installer loin de leur lieu de travail. La fracture générationnelle se prépare maintenant!\n\nStationnement: Si les résidents doivent stationner en souterrain, il convient de prévoir 2 places en surface pour les services (déménagement, dépannage, médecin ou infirmière...).\n\nLogements sociaux: il faut rappeler que 70% de la population peut prétendre à un logement dit social. Il serait intéressant de savoir pour connaître l'équilibre à réaliser, de savoir le nombre de logements sociaux existants dans chaque zone et chaque quartier et le pourcentage par rapport au parc total de logements sur les mêmes bases. Il serait également utile de connaître le parc privé locatif de chaque quartier susceptible de pallier ce manque. Ces informations donneraient une idée des capacités d'accueil sur l'extérieur.\n\nEspaces verts: Il conviendra de mesurer avec précision l'apport en espaces verts lié au projet de cité-jardin. En revanche les espaces centraux (je crois propriété de la ville) doivent être conservés au titre de réserves foncières pour préserver l'avenir pour un équipement à définir ultérieurement à l'horizon 2030.\n\nParc public: la protection doit permettre les équipements de sports de parcours libres et des bancs publics.\n\nCheminements modes actifs: Maillage à réaliser avec les pistes de Beutre, de Toctoucau, Salvador Allende et du domaine universitaire. Egalement avec les équipements de quartier. Ces modes peuvent constituer une alternative crédible à la voiture à la condition d'offrir une sécurité forte pour la desserte des écoles et des universités notamment.\n\nTransports collectifs: Cette dispose d'une liane 4. Malheureusement sous-employée. Cette sous utilisation a entraîné la création d'un terminus partiel. Le \"plat de nouilles\" que constitue son parcours actuel en est la source. Les lianes doivent avoir le parcours le plus simple et le plus direct possible. La desserte en boucle avec le terminus du tram de l'Alouette relève d'une autre logique complémentaire. \n\nCarrefour du Pacha: on observe qu'une des problématiques de ce carrefour est constitué par les files cumulées de tourne-à-gauche. Le giratoire est la meilleure solution de ces problématiques. Sans parler des avantages induits: embellissement, \"végétalisation\", signal et repère géographique, fonctionnement automatique sans panne ni alimentation électrique, apaisement de la vitesse, conduite fluide sans stop and go...\nAssainissement: il convient de vérifier les capacités des réseaux actuels et de limiter l'imperméabilisation des sols avec l'urbanisme adapté."]

+["Les propositions communes exprimées dans les échanges relatifs à Chappement réalisés par les quartiers avec les collectifs appellent les observations suivantes en guise de poil à gratter... les méninges:\n\nZonage: il m'avait semblé comprendre que c'était le projet d'ensemble qui faisait le zonage spécifique à Chappement!\n\nNombre de logements: Si 300 logements est un minimum est-ce 785 ou 480 le maximum? Je crains (peut-être à tort) que si l'on n'atteint pas un seuil critique, les propriétaires (toujours oubliés en l'espèce) ne soient fondés à se considérer lésés et spoliés par le sursis à statuer et à faire annuler cette décision pour revenir au statu quo ante (PLU en vigueur à ce jour). Ce risque juridique en l'absence d'un intérêt public décisif et évident ne semble pas nul.\nDe plus il convient aussi de rappeler une loi économique de base: quand la demande est supérieure à l'offre de logements les prix montent ( en locatif comme en accession). Les primo-accédants (les jeunes couples en général) ne pourront plus se loger sur la Métropole et devront s'installer loin de leur lieu de travail. La fracture générationnelle se prépare maintenant!\n\nStationnement: Si les résidents doivent stationner en souterrain, il convient de prévoir 2 places en surface pour les services (déménagement, dépannage, médecin ou infirmière...).\n\nLogements sociaux: il faut rappeler que 70% de la population peut prétendre à un logement dit social. Il serait intéressant de savoir pour connaître l'équilibre à réaliser, de savoir le nombre de logements sociaux existants dans chaque zone et chaque quartier et le pourcentage par rapport au parc total de logements sur les mêmes bases. Il serait également utile de connaître le parc privé locatif de chaque quartier susceptible de pallier ce manque. Ces informations donneraient une idée des capacités d'accueil sur l'extérieur.\n\nEspaces verts: Il conviendra de mesurer avec précision l'apport en espaces verts lié au projet de cité-jardin. En revanche les espaces centraux (je crois propriété de la ville) doivent être conservés au titre de réserves foncières pour préserver l'avenir pour un équipement à définir ultérieurement à l'horizon 2030.\n\nParc public: la protection doit permettre les équipements de sports de parcours libres et des bancs publics.\n\nCheminements modes actifs: Maillage à réaliser avec les pistes de Beutre, de Toctoucau, Salvador Allende et du domaine universitaire. Egalement avec les équipements de quartier. Ces modes peuvent constituer une alternative crédible à la voiture à la condition d'offrir une sécurité forte pour la desserte des écoles et des universités notamment.\n\nTransports collectifs: Cette dispose d'une liane 4. Malheureusement sous-employée. Cette sous utilisation a entraîné la création d'un terminus partiel. Le \"plat de nouilles\" que constitue son parcours actuel en est la source. Les lianes doivent avoir le parcours le plus simple et le plus direct possible. La desserte en boucle avec le terminus du tram de l'Alouette relève d'une autre logique complémentaire. \n\nCarrefour du Pacha: on observe qu'une des problématiques de ce carrefour est constitué par les files cumulées de tourne-à-gauche. Le giratoire est la meilleure solution de ces problématiques. Sans parler des avantages induits: embellissement, \"végétalisation\", signal et repère géographique, fonctionnement automatique sans panne ni alimentation électrique, apaisement de la vitesse, conduite fluide sans stop and go...\nAssainissement: il convient de vérifier les capacités des réseaux actuels et de limiter l'imperméabilisation des sols avec l'urbanisme adapté."]

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+["Les propositions communes exprimées dans les échanges relatifs à Chappement réalisés par les quartiers avec les collectifs appellent les observations suivantes en guise de poil à gratter... les méninges:\n\nZonage: il m'avait semblé comprendre que c'était le projet d'ensemble qui faisait le zonage spécifique à Chappement!\n\nNombre de logements: Si 300 logements est un minimum est-ce 785 ou 480 le maximum? Je crains (peut-être à tort) que si l'on n'atteint pas un seuil critique, les propriétaires (toujours oubliés en l'espèce) ne soient fondés à se considérer lésés et spoliés par le sursis à statuer et à faire annuler cette décision pour revenir au statu quo ante (PLU en vigueur à ce jour). Ce risque juridique en l'absence d'un intérêt public décisif et évident ne semble pas nul.\nDe plus il convient aussi de rappeler une loi économique de base: quand la demande est supérieure à l'offre de logements les prix montent ( en locatif comme en accession). Les primo-accédants (les jeunes couples en général) ne pourront plus se loger sur la Métropole et devront s'installer loin de leur lieu de travail. La fracture générationnelle se prépare maintenant!\n\nStationnement: Si les résidents doivent stationner en souterrain, il convient de prévoir 2 places en surface pour les services (déménagement, dépannage, médecin ou infirmière...).\n\nLogements sociaux: il faut rappeler que 70% de la population peut prétendre à un logement dit social. Il serait intéressant de savoir pour connaître l'équilibre à réaliser, de savoir le nombre de logements sociaux existants dans chaque zone et chaque quartier et le pourcentage par rapport au parc total de logements sur les mêmes bases. Il serait également utile de connaître le parc privé locatif de chaque quartier susceptible de pallier ce manque. Ces informations donneraient une idée des capacités d'accueil sur l'extérieur.\n\nEspaces verts: Il conviendra de mesurer avec précision l'apport en espaces verts lié au projet de cité-jardin. En revanche les espaces centraux (je crois propriété de la ville) doivent être conservés au titre de réserves foncières pour préserver l'avenir pour un équipement à définir ultérieurement à l'horizon 2030.\n\nParc public: la protection doit permettre les équipements de sports de parcours libres et des bancs publics.\n\nCheminements modes actifs: Maillage à réaliser avec les pistes de Beutre, de Toctoucau, Salvador Allende et du domaine universitaire. Egalement avec les équipements de quartier. Ces modes peuvent constituer une alternative crédible à la voiture à la condition d'offrir une sécurité forte pour la desserte des écoles et des universités notamment.\n\nTransports collectifs: Cette dispose d'une liane 4. Malheureusement sous-employée. Cette sous utilisation a entraîné la création d'un terminus partiel. Le \"plat de nouilles\" que constitue son parcours actuel en est la source. Les lianes doivent avoir le parcours le plus simple et le plus direct possible. La desserte en boucle avec le terminus du tram de l'Alouette relève d'une autre logique complémentaire. \n\nCarrefour du Pacha: on observe qu'une des problématiques de ce carrefour est constitué par les files cumulées de tourne-à-gauche. Le giratoire est la meilleure solution de ces problématiques. Sans parler des avantages induits: embellissement, \"végétalisation\", signal et repère géographique, fonctionnement automatique sans panne ni alimentation électrique, apaisement de la vitesse, conduite fluide sans stop and go...\nAssainissement: il convient de vérifier les capacités des réseaux actuels et de limiter l'imperméabilisation des sols avec l'urbanisme adapté."]

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Version créée le 06/06/2016 20:26