Création d’une zone à faibles émissions mobilités (ZFE-M) – mise à disposition du public du projet d’arrêté 2024

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+["Nous sommes un couple âgée de 61 et 63 ans. Je suis employé et ma femme est auxiliaire de vie et aide à domicile. Je gagne environ 1400 euro par mois et le salaire de ma femme varie en fonction des mois et du nombre de clients. Elle gagne environ 1000 -1200 euro par mois, pendant 11 mois de l’année. Cela varie souvent. Ma femme, pour son travail, utilise le plus souvent les transports en commun, mais moi j'ai besoin de voiture.\nNous avons une voiture qui date de 1995. Je l'utilise pour aller au travail. Si je prenais le bus ça représenterait 2 heures de trajet + l'attente aux stations + 20 minutes de marche. Passer deux heures dans le bus chaque jour, aller et retour, à mon âge et avec ma maladie, est trop fatiguant. Si je prenais le tram, le trajet serait d'une heure (j'ai environ un km à pied à faire pour prendre le tram) et ensuite 20 minutes pour faire 1,1 km en sortant du tram. Si je ne pouvais plus utiliser ma voiture, je perdrais plus de deux heures de temps de trajet chaque jour. Or après mon travail qui est physiquement très fatiguant et dur physiquement, je suis extrêmement fatigué. Je suis diabétique et j'ai des problèmes de jambes. La voiture électrique la moins chère en ce moment est la Dacia Spring avec un prix d’entrée de gamme à 18 800 €. Pour nous c'est très cher et nous ne pouvons pas nous permettre d'acheter une telle voiture. Avec mon smic, le fait de mon âge et le petit salaire de ma femme qui n'est pas stable, nous ne pouvons pas prendre de crédit. Je comprend la nécessité de réduire la pollution générée par les voitures. Je comprend aussi que certaines personnes prennent un vélo ou une trottinette pour se rendre à leur travail. Mais en raison de mon âge et de ma maladie, eu égard la longueur du trajet, je ne peux pas le faire. Pour nous et pour d'autres personnes dans des situations similaires, avec des revenus modestes, l'achat d'un véhicule neuf ou même d'occasion respectant les normes environnementales représente un coût insurmontable.\nEn plus, il y a aussi des gens malades à Bordeaux et environ qui doivent aller chez le médecin, aller en cours et se rendre en voiture au travail. On ne peut pas admettre l'exclusion de ces personnes. Nous ne pouvons pas laisser de côté ceux qui sont déjà en situation de précarité financière et soyons sincères, si quelqu'un roule avec une voiture qui a vingt ans ou plus, c'est qu'il n'a pas les moyens de faire autrement, sinon il aurait déjà acheté une voiture plus récente. N'accentuons pas les inégalités sociales. Je comprends très bien la nécessité de cette zone, mais des mesures réellement conséquentes doivent être prises pour aider ceux qui ne peuvent pas se permettre d'acheter une voiture, surtout les personnes malades chroniques en ALD, âgées, avec ou sans travail.\n\nAinsi, bien que ces zones soient nécessaires pour réduire la pollution, il est impératif que leur mise en œuvre soit accompagnée pour les personnes en situation de vulnérabilité, comme par exemple les malades en ALD.\n\n\n\n\n\n\n"]

+["Nous sommes un couple âgée de 61 et 63 ans. Je suis employé et ma femme est auxiliaire de vie et aide à domicile. Je gagne environ 1400 euro par mois et le salaire de ma femme varie en fonction des mois et du nombre de clients. Elle gagne environ 1000 -1200 euro par mois, pendant 11 mois de l’année. Cela varie souvent. Ma femme, pour son travail, utilise le plus souvent les transports en commun, mais moi j'ai besoin de voiture.\nNous avons une voiture qui date de 1995. Je l'utilise pour aller au travail. Si je prenais le bus ça représenterait 2 heures de trajet + l'attente aux stations + 20 minutes de marche. Passer deux heures dans le bus chaque jour, aller et retour, à mon âge et avec ma maladie, est trop fatiguant. Si je prenais le tram, le trajet serait d'une heure (j'ai environ un km à pied à faire pour prendre le tram) et ensuite 20 minutes pour faire 1,1 km en sortant du tram. Si je ne pouvais plus utiliser ma voiture, je perdrais plus de deux heures de temps de trajet chaque jour. Or après mon travail qui est physiquement très fatiguant et dur physiquement, je suis extrêmement fatigué. Je suis diabétique et j'ai des problèmes de jambes. La voiture électrique la moins chère en ce moment est la Dacia Spring avec un prix d’entrée de gamme à 18 800 €. Pour nous c'est très cher et nous ne pouvons pas nous permettre d'acheter une telle voiture. Avec mon smic, le fait de mon âge et le petit salaire de ma femme qui n'est pas stable, nous ne pouvons pas prendre de crédit. Je comprend la nécessité de réduire la pollution générée par les voitures. Je comprend aussi que certaines personnes prennent un vélo ou une trottinette pour se rendre à leur travail. Mais en raison de mon âge et de ma maladie, eu égard la longueur du trajet, je ne peux pas le faire. Pour nous et pour d'autres personnes dans des situations similaires, avec des revenus modestes, l'achat d'un véhicule neuf ou même d'occasion respectant les normes environnementales représente un coût insurmontable.\nEn plus, il y a aussi des gens malades à Bordeaux et environ qui doivent aller chez le médecin, aller en cours et se rendre en voiture au travail. On ne peut pas admettre l'exclusion de ces personnes. Nous ne pouvons pas laisser de côté ceux qui sont déjà en situation de précarité financière et soyons sincères, si quelqu'un roule avec une voiture qui a vingt ans ou plus, c'est qu'il n'a pas les moyens de faire autrement, sinon il aurait déjà acheté une voiture plus récente. N'accentuons pas les inégalités sociales. Je comprends très bien la nécessité de cette zone, mais des mesures réellement conséquentes doivent être prises pour aider ceux qui ne peuvent pas se permettre d'acheter une voiture, surtout les personnes malades chroniques en ALD, âgées, avec ou sans travail.\n\nAinsi, bien que ces zones soient nécessaires pour réduire la pollution, il est impératif que leur mise en œuvre soit accompagnée pour les personnes en situation de vulnérabilité, comme par exemple les malades en ALD.\n\n\n\n\n\n\n"]

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+["Nous sommes un couple âgée de 61 et 63 ans. Je suis employé et ma femme est auxiliaire de vie et aide à domicile. Je gagne environ 1400 euro par mois et le salaire de ma femme varie en fonction des mois et du nombre de clients. Elle gagne environ 1000 -1200 euro par mois, pendant 11 mois de l’année. Cela varie souvent. Ma femme, pour son travail, utilise le plus souvent les transports en commun, mais moi j'ai besoin de voiture.\nNous avons une voiture qui date de 1995. Je l'utilise pour aller au travail. Si je prenais le bus ça représenterait 2 heures de trajet + l'attente aux stations + 20 minutes de marche. Passer deux heures dans le bus chaque jour, aller et retour, à mon âge et avec ma maladie, est trop fatiguant. Si je prenais le tram, le trajet serait d'une heure (j'ai environ un km à pied à faire pour prendre le tram) et ensuite 20 minutes pour faire 1,1 km en sortant du tram. Si je ne pouvais plus utiliser ma voiture, je perdrais plus de deux heures de temps de trajet chaque jour. Or après mon travail qui est physiquement très fatiguant et dur physiquement, je suis extrêmement fatigué. Je suis diabétique et j'ai des problèmes de jambes. La voiture électrique la moins chère en ce moment est la Dacia Spring avec un prix d’entrée de gamme à 18 800 €. Pour nous c'est très cher et nous ne pouvons pas nous permettre d'acheter une telle voiture. Avec mon smic, le fait de mon âge et le petit salaire de ma femme qui n'est pas stable, nous ne pouvons pas prendre de crédit. Je comprend la nécessité de réduire la pollution générée par les voitures. Je comprend aussi que certaines personnes prennent un vélo ou une trottinette pour se rendre à leur travail. Mais en raison de mon âge et de ma maladie, eu égard la longueur du trajet, je ne peux pas le faire. Pour nous et pour d'autres personnes dans des situations similaires, avec des revenus modestes, l'achat d'un véhicule neuf ou même d'occasion respectant les normes environnementales représente un coût insurmontable.\nEn plus, il y a aussi des gens malades à Bordeaux et environ qui doivent aller chez le médecin, aller en cours et se rendre en voiture au travail. On ne peut pas admettre l'exclusion de ces personnes. Nous ne pouvons pas laisser de côté ceux qui sont déjà en situation de précarité financière et soyons sincères, si quelqu'un roule avec une voiture qui a vingt ans ou plus, c'est qu'il n'a pas les moyens de faire autrement, sinon il aurait déjà acheté une voiture plus récente. N'accentuons pas les inégalités sociales. Je comprends très bien la nécessité de cette zone, mais des mesures réellement conséquentes doivent être prises pour aider ceux qui ne peuvent pas se permettre d'acheter une voiture, surtout les personnes malades chroniques en ALD, âgées, avec ou sans travail.\n\nAinsi, bien que ces zones soient nécessaires pour réduire la pollution, il est impératif que leur mise en œuvre soit accompagnée pour les personnes en situation de vulnérabilité, comme par exemple les malades en ALD.\n\n\n\n\n\n\n"]

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+["Nous sommes un couple âgée de 61 et 63 ans. Je suis employé et ma femme est auxiliaire de vie et aide à domicile. Je gagne environ 1400 euro par mois et le salaire de ma femme varie en fonction des mois et du nombre de clients. Elle gagne environ 1000 -1200 euro par mois, pendant 11 mois de l’année. Cela varie souvent. Ma femme, pour son travail, utilise le plus souvent les transports en commun, mais moi j'ai besoin de voiture.\nNous avons une voiture qui date de 1995. Je l'utilise pour aller au travail. Si je prenais le bus ça représenterait 2 heures de trajet + l'attente aux stations + 20 minutes de marche. Passer deux heures dans le bus chaque jour, aller et retour, à mon âge et avec ma maladie, est trop fatiguant. Si je prenais le tram, le trajet serait d'une heure (j'ai environ un km à pied à faire pour prendre le tram) et ensuite 20 minutes pour faire 1,1 km en sortant du tram. Si je ne pouvais plus utiliser ma voiture, je perdrais plus de deux heures de temps de trajet chaque jour. Or après mon travail qui est physiquement très fatiguant et dur physiquement, je suis extrêmement fatigué. Je suis diabétique et j'ai des problèmes de jambes. La voiture électrique la moins chère en ce moment est la Dacia Spring avec un prix d’entrée de gamme à 18 800 €. Pour nous c'est très cher et nous ne pouvons pas nous permettre d'acheter une telle voiture. Avec mon smic, le fait de mon âge et le petit salaire de ma femme qui n'est pas stable, nous ne pouvons pas prendre de crédit. Je comprend la nécessité de réduire la pollution générée par les voitures. Je comprend aussi que certaines personnes prennent un vélo ou une trottinette pour se rendre à leur travail. Mais en raison de mon âge et de ma maladie, eu égard la longueur du trajet, je ne peux pas le faire. Pour nous et pour d'autres personnes dans des situations similaires, avec des revenus modestes, l'achat d'un véhicule neuf ou même d'occasion respectant les normes environnementales représente un coût insurmontable.\nEn plus, il y a aussi des gens malades à Bordeaux et environ qui doivent aller chez le médecin, aller en cours et se rendre en voiture au travail. On ne peut pas admettre l'exclusion de ces personnes. Nous ne pouvons pas laisser de côté ceux qui sont déjà en situation de précarité financière et soyons sincères, si quelqu'un roule avec une voiture qui a vingt ans ou plus, c'est qu'il n'a pas les moyens de faire autrement, sinon il aurait déjà acheté une voiture plus récente. N'accentuons pas les inégalités sociales. Je comprends très bien la nécessité de cette zone, mais des mesures réellement conséquentes doivent être prises pour aider ceux qui ne peuvent pas se permettre d'acheter une voiture, surtout les personnes malades chroniques en ALD, âgées, avec ou sans travail.\n\nAinsi, bien que ces zones soient nécessaires pour réduire la pollution, il est impératif que leur mise en œuvre soit accompagnée pour les personnes en situation de vulnérabilité, comme par exemple les malades en ALD.\n\n\n\n\n\n\n"]

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Version créée le 28/08/2024 07:56