Quel franchissement de la Garonne pour prolonger le boulevard Jean-Jacques Bosc ?

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+["Non au grand contournement interne !\n\nDans le « Livre Blanc#2 », les choix technocratiques sont clairement exprimés en faveur d’un pont comportant au moins 2 fois 2 voies routières, avec éventuellement 2 fois une voie pour bus ou tram, et également 2 fois une piste cyclable et voie piétonnière. Toutes les autres options sont éliminées de fait donnant à la concertation un caractère totalement « illusoire ».\n\nLes raisons de cette liaison et de ce choix apparaissent clairement dans la « Synthèse des études des déplacements » : page 19. Les flux de circulation au niveau du pont François Mitterand et de la rocade sont largement sursaturés ; d’où la projection d’un report de fait des flux au niveau du futur pont à un niveau pratiquement équivalent aux flux circulant sur le pont F. Mitterand et la rocade ! (page 10), 45% de ce flux constituant un flux de transit. Un mélange des projections chiffrées à 2008 ou 2017 perturbe un peu l’analyse, cependant la circulation automobile obéit à la logique de la mécanique des fluides. Compte tenu du goulot d’étranglement que constituent le pont François Mitterand et la rocade, toute nouvelle ouverture entrainera un flux de circulation très conséquent et particulièrement polluant à tous les niveaux.\n\nA défaut de grand contournement externe par le Médoc (Merci aux groupes de pression des vignerons très influant), les décideurs contournent le problème par un contournement intra-urbain. Cela est bien entendu scandaleux, mais les groupes de pression des habitants des localités de Bègles ou de Floirac ne disposent pas de véritables moyens de pression.\n\nLes autres alternatives indiquées : tunnel, téléphérique, passerelle, navette fluviale, sont là pour faire diversion. Il n’y a pas de véritable besoin de passage piéton ou cycliste entre les HLM et « nouveaux bidonvilles » floiracais et la rocade interne béglaise. \n\nLe pôle multimodal que constitue la gare est le véritable point de convergence des besoins, le pont Saint Jean assure pour l’essentiel les besoins de connexion en matière automobile, cycliste et piétonnière (l’aménagement des quais rive gauche à partir de la gare donne un regain d’intérêt à l’accès piétonnier à partir de la rive droite à cet endroit). Le véritable manque est celui d’une liaison tram de Floirac centre en particulier ARENA avec la gare, point d’arrivée de la clientèle potentielle. La passerelle Effel est à même de remplir cette fonction, via l’ancienne voie de chemin de fer EYMET, et permettre ainsi de boucler la ligne tram à Floirac Dravemont.\n\nUne étude sérieuse de cette solution doit être réalisée. Exigeons-la!\n\n« Euratlantique » va imposer dans un futur proche une révision des aménagements urbains des zones de Belcier, Floirac et Bègles, dans ce cadre une liaison spécifique sera très vraisemblablement nécessaire. L’étude d’une liaison en dehors de ce projet est un non-sens.\n\nL’agglomération bordelaise a fait le choix avec le tram de limiter la circulation automobile intra-muros. Par pitié Messieurs et Mesdames les élus soyez cohérents, ne remettez pas en cause ce choix en multipliant les liaisons « quasi autoroutières » intra urbaines !\n"]

+["Non au grand contournement interne !\n\nDans le « Livre Blanc#2 », les choix technocratiques sont clairement exprimés en faveur d’un pont comportant au moins 2 fois 2 voies routières, avec éventuellement 2 fois une voie pour bus ou tram, et également 2 fois une piste cyclable et voie piétonnière. Toutes les autres options sont éliminées de fait donnant à la concertation un caractère totalement « illusoire ».\n\nLes raisons de cette liaison et de ce choix apparaissent clairement dans la « Synthèse des études des déplacements » : page 19. Les flux de circulation au niveau du pont François Mitterand et de la rocade sont largement sursaturés ; d’où la projection d’un report de fait des flux au niveau du futur pont à un niveau pratiquement équivalent aux flux circulant sur le pont F. Mitterand et la rocade ! (page 10), 45% de ce flux constituant un flux de transit. Un mélange des projections chiffrées à 2008 ou 2017 perturbe un peu l’analyse, cependant la circulation automobile obéit à la logique de la mécanique des fluides. Compte tenu du goulot d’étranglement que constituent le pont François Mitterand et la rocade, toute nouvelle ouverture entrainera un flux de circulation très conséquent et particulièrement polluant à tous les niveaux.\n\nA défaut de grand contournement externe par le Médoc (Merci aux groupes de pression des vignerons très influant), les décideurs contournent le problème par un contournement intra-urbain. Cela est bien entendu scandaleux, mais les groupes de pression des habitants des localités de Bègles ou de Floirac ne disposent pas de véritables moyens de pression.\n\nLes autres alternatives indiquées : tunnel, téléphérique, passerelle, navette fluviale, sont là pour faire diversion. Il n’y a pas de véritable besoin de passage piéton ou cycliste entre les HLM et « nouveaux bidonvilles » floiracais et la rocade interne béglaise. \n\nLe pôle multimodal que constitue la gare est le véritable point de convergence des besoins, le pont Saint Jean assure pour l’essentiel les besoins de connexion en matière automobile, cycliste et piétonnière (l’aménagement des quais rive gauche à partir de la gare donne un regain d’intérêt à l’accès piétonnier à partir de la rive droite à cet endroit). Le véritable manque est celui d’une liaison tram de Floirac centre en particulier ARENA avec la gare, point d’arrivée de la clientèle potentielle. La passerelle Effel est à même de remplir cette fonction, via l’ancienne voie de chemin de fer EYMET, et permettre ainsi de boucler la ligne tram à Floirac Dravemont.\n\nUne étude sérieuse de cette solution doit être réalisée. Exigeons-la!\n\n« Euratlantique » va imposer dans un futur proche une révision des aménagements urbains des zones de Belcier, Floirac et Bègles, dans ce cadre une liaison spécifique sera très vraisemblablement nécessaire. L’étude d’une liaison en dehors de ce projet est un non-sens.\n\nL’agglomération bordelaise a fait le choix avec le tram de limiter la circulation automobile intra-muros. Par pitié Messieurs et Mesdames les élus soyez cohérents, ne remettez pas en cause ce choix en multipliant les liaisons « quasi autoroutières » intra urbaines !\n"]

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+["Non au grand contournement interne !\n\nDans le « Livre Blanc#2 », les choix technocratiques sont clairement exprimés en faveur d’un pont comportant au moins 2 fois 2 voies routières, avec éventuellement 2 fois une voie pour bus ou tram, et également 2 fois une piste cyclable et voie piétonnière. Toutes les autres options sont éliminées de fait donnant à la concertation un caractère totalement « illusoire ».\n\nLes raisons de cette liaison et de ce choix apparaissent clairement dans la « Synthèse des études des déplacements » : page 19. Les flux de circulation au niveau du pont François Mitterand et de la rocade sont largement sursaturés ; d’où la projection d’un report de fait des flux au niveau du futur pont à un niveau pratiquement équivalent aux flux circulant sur le pont F. Mitterand et la rocade ! (page 10), 45% de ce flux constituant un flux de transit. Un mélange des projections chiffrées à 2008 ou 2017 perturbe un peu l’analyse, cependant la circulation automobile obéit à la logique de la mécanique des fluides. Compte tenu du goulot d’étranglement que constituent le pont François Mitterand et la rocade, toute nouvelle ouverture entrainera un flux de circulation très conséquent et particulièrement polluant à tous les niveaux.\n\nA défaut de grand contournement externe par le Médoc (Merci aux groupes de pression des vignerons très influant), les décideurs contournent le problème par un contournement intra-urbain. Cela est bien entendu scandaleux, mais les groupes de pression des habitants des localités de Bègles ou de Floirac ne disposent pas de véritables moyens de pression.\n\nLes autres alternatives indiquées : tunnel, téléphérique, passerelle, navette fluviale, sont là pour faire diversion. Il n’y a pas de véritable besoin de passage piéton ou cycliste entre les HLM et « nouveaux bidonvilles » floiracais et la rocade interne béglaise. \n\nLe pôle multimodal que constitue la gare est le véritable point de convergence des besoins, le pont Saint Jean assure pour l’essentiel les besoins de connexion en matière automobile, cycliste et piétonnière (l’aménagement des quais rive gauche à partir de la gare donne un regain d’intérêt à l’accès piétonnier à partir de la rive droite à cet endroit). Le véritable manque est celui d’une liaison tram de Floirac centre en particulier ARENA avec la gare, point d’arrivée de la clientèle potentielle. La passerelle Effel est à même de remplir cette fonction, via l’ancienne voie de chemin de fer EYMET, et permettre ainsi de boucler la ligne tram à Floirac Dravemont.\n\nUne étude sérieuse de cette solution doit être réalisée. Exigeons-la!\n\n« Euratlantique » va imposer dans un futur proche une révision des aménagements urbains des zones de Belcier, Floirac et Bègles, dans ce cadre une liaison spécifique sera très vraisemblablement nécessaire. L’étude d’une liaison en dehors de ce projet est un non-sens.\n\nL’agglomération bordelaise a fait le choix avec le tram de limiter la circulation automobile intra-muros. Par pitié Messieurs et Mesdames les élus soyez cohérents, ne remettez pas en cause ce choix en multipliant les liaisons « quasi autoroutières » intra urbaines !\n"]

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+["Non au grand contournement interne !\n\nDans le « Livre Blanc#2 », les choix technocratiques sont clairement exprimés en faveur d’un pont comportant au moins 2 fois 2 voies routières, avec éventuellement 2 fois une voie pour bus ou tram, et également 2 fois une piste cyclable et voie piétonnière. Toutes les autres options sont éliminées de fait donnant à la concertation un caractère totalement « illusoire ».\n\nLes raisons de cette liaison et de ce choix apparaissent clairement dans la « Synthèse des études des déplacements » : page 19. Les flux de circulation au niveau du pont François Mitterand et de la rocade sont largement sursaturés ; d’où la projection d’un report de fait des flux au niveau du futur pont à un niveau pratiquement équivalent aux flux circulant sur le pont F. Mitterand et la rocade ! (page 10), 45% de ce flux constituant un flux de transit. Un mélange des projections chiffrées à 2008 ou 2017 perturbe un peu l’analyse, cependant la circulation automobile obéit à la logique de la mécanique des fluides. Compte tenu du goulot d’étranglement que constituent le pont François Mitterand et la rocade, toute nouvelle ouverture entrainera un flux de circulation très conséquent et particulièrement polluant à tous les niveaux.\n\nA défaut de grand contournement externe par le Médoc (Merci aux groupes de pression des vignerons très influant), les décideurs contournent le problème par un contournement intra-urbain. Cela est bien entendu scandaleux, mais les groupes de pression des habitants des localités de Bègles ou de Floirac ne disposent pas de véritables moyens de pression.\n\nLes autres alternatives indiquées : tunnel, téléphérique, passerelle, navette fluviale, sont là pour faire diversion. Il n’y a pas de véritable besoin de passage piéton ou cycliste entre les HLM et « nouveaux bidonvilles » floiracais et la rocade interne béglaise. \n\nLe pôle multimodal que constitue la gare est le véritable point de convergence des besoins, le pont Saint Jean assure pour l’essentiel les besoins de connexion en matière automobile, cycliste et piétonnière (l’aménagement des quais rive gauche à partir de la gare donne un regain d’intérêt à l’accès piétonnier à partir de la rive droite à cet endroit). Le véritable manque est celui d’une liaison tram de Floirac centre en particulier ARENA avec la gare, point d’arrivée de la clientèle potentielle. La passerelle Effel est à même de remplir cette fonction, via l’ancienne voie de chemin de fer EYMET, et permettre ainsi de boucler la ligne tram à Floirac Dravemont.\n\nUne étude sérieuse de cette solution doit être réalisée. Exigeons-la!\n\n« Euratlantique » va imposer dans un futur proche une révision des aménagements urbains des zones de Belcier, Floirac et Bègles, dans ce cadre une liaison spécifique sera très vraisemblablement nécessaire. L’étude d’une liaison en dehors de ce projet est un non-sens.\n\nL’agglomération bordelaise a fait le choix avec le tram de limiter la circulation automobile intra-muros. Par pitié Messieurs et Mesdames les élus soyez cohérents, ne remettez pas en cause ce choix en multipliant les liaisons « quasi autoroutières » intra urbaines !\n"]

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Version créée le 05/04/2010 22:12