Avis et réactions de la communauté

Une enquête publique pour élaborer le Règlement local de publicité intercommunal (RLPi)
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Portrait de vope

Bonjour,

Je vous prie de prendre en compte les mesures suivantes :

- Au cas où la SIL serait considérée comme micro-signalétique sur mobilier urbain, celle-si devra être mieux réglementée dans le RLPi : Nombre de plaques maximum, densité sur voie publique, pas de micro-signalétique au niveau des ronds-points et des intersection ;
- Diminuer la densité et la surface utile des publicités dans les zones 30 (voir article 8 du RLP de Mérignac).

 
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Portrait de vope

Bonjour,

Je vous prie de prendre en compte les mesures suivantes :

- les enseignes sur toiture doivent être interdites (voir article 7.2 du RLP de Pessac en vigueur) ;
- les mâts supportant des drapeaux ou oriflammes doivent être interdits (voir article 7.3 du RLP de Pessac en vigueur) ;
- concernant les enseignes scellées au sol l'intégralité de l'article 7.3 du RLP de Pessac en vigueur doit être repris dans le RLPi ;
- les publicités scellées au sol (quelque soit la surface utile) doivent être interdites dans les angles de rue et sur les pans coupés de parcelles ;
- interdire les enseignes clignotantes pour les établissements ne proposant pas de service d'urgence, conformément au RNP (interdiction pour le Crédit Agricole qui en abuse, kebabs, pizzerias, signalement de distributeurs automatiques de billets, opticiens, ...) ;
- la règle de densité définie dans le RLP de Pessac, à l'article 9 doit être repris : un dispositif publicitaire ne doit pas être implanté à moins de 40 mètres d'un autre, qu'ils soient situés sur le domaine public ou privé.

 
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Portrait de eltargrim

Je souhaite attirer l'attention sur la prolifération de publicités sur le tramway.
Celui-ci ne doit pas être un support publicitaire.
Le gain financier minime ne contrebalance pas à mon sens la pollution visuelle engendrée et la perte en terme d'image et de représentation pour la Métropole.

 
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Portrait de Nadege

Bonjour,

Il est dommageable que le projet de RLPi entraine de facto la disparition des "petits acteurs" de la publicité extérieure bordelaise. Je tiens à souligner que ces petits acteurs travaillent principalement avec le tissu économique, social, culturel, ... local.
Les grandes majors de l'affichage actuellement concessionnaires du domaine public et le long du tram commercialisent leurs supports essentiellement auprès des Grandes marques et annonceurs nationaux.

Enfin concernant le numérique, il est dommageable que Bordeaux Métropole s'interdise préventivement le développement de ce mode de communication préventivement.

Nous sommes en 2017, que l'on le veuille ou non, à l'ère de l'image.

Le numérique constitue un énorme progrès et permet surtout de dédensifier très fortement les entrées de ville.

 
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Portrait de vope

Bonjour,

Je vous prie de prendre en compte les mesures suivantes :

- La micro-signalétique (SIL) doit respecter le règlement départemental (http://contribution.gironde.fr/upload/docs/application/save/2012-03/regl...)
- Les dispositifs scellés au sol doivent être monopied (voir article 1.3 du RLP de Pessac en vigueur) ;
- Toute publicité doit être interdite dans un périmètre de 100 mètres autour des parcs et des vignes (voir article 2.2 du RLP de Pessac en vigueur) ;
- Toute publicité doit être interdite à moins de 20 mètres de part et d'autres des pistes cyclables (voir article 2.3 du RLP de Pessac en vigueur) ;
- Toute publicité doit être interdite à moins de 20 mètres de part et d'autres des voies de tram (voir article 2.4 du RLP de Pessac en vigueur) ;
- Le carrefour "avenue de la Californie / D1250" (Pessac) doit continué à être préservé avec l'interdiction de publicité à moins de 50 mètres de ce carrefour (voir article 2.6/1er alinea du RLP de Pessac en vigueur) ;
- Les enseignes au sol (posées ou scellées) de moins de 1 mètre carré doivent être limitées en nombre ou être interdites ;
- Les chevalets et enseignes posées au sol sur le trottoir (devant l'établissement) doivent laisser une largeur libre de 1,40 mètre de trottoir (loi PMR et article 4.2 du RLP de Pessac) ;
- Les liserés lumineux en néon en façade doivent être interdits (voir article 1-9-2 du RLP de Bordeaux en vigueur) ;
- Les journaux lumineux doivent être interdits (voir article 1-9-2 du RLP de Bordeaux en vigueur) ;
- les enseignes sur toiture doivent être interdites ;
- les enseignes sur les arbres doivent être interdites.

 
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Portrait de RAP Bordeaux

L’association Résistance à l’Agression Publicitaire souhaite réagir pour l’enquête publique sur le Règlement Local de Publicité intercommunal qui prendra fin le 5 mai 2017.

La liberté de non-réception n’est pas encore respectée

Dans le bilan de la concertation du Règlement Local de Publicité intercommunal de Bordeaux Métropole à la page 20, pour la proposition d’interdiction totale de la publicité, il est écrit que cette proposition, portée pourtant par le plus grand nombre des internautes, n’a pu être retenue dans le RLPi, afin de respecter la liberté d'expression, la liberté du commerce et de l'industrie. Nous considérons que ces libertés sont un bien absolu et qu’il ne faut pas y toucher.
En revanche, il y a un droit corollaire qui est la liberté de non réception à savoir que tout le monde a le droit de s’exprimer mais tout le monde a aussi le droit de choisir qu’un message lui soit imposé ou pas. Pour mettre mettre en œuvre cette liberté, il faut réduire la taille des publicités au format de 50cm x 70cm et les placer dans des panneaux de 2m². Ce format garantit cette liberté car on est obligés de s’approcher du panneau pour recevoir le message. En s’approchant du panneau, on donne son consentement pour recevoir le message.
Nous souhaiterions que Bordeaux Métropole mette en place une vraie liberté de non-réception.

L’hostilité vis-à-vis de la publicité

Tout au long de ce bilan, on parle de l’hostilité des personnes ayant participé à la consultation vis-à-vis de la publicité. Il y est écrit page 13 que la médiatisation de la décision de la ville de Grenoble de mettre un terme à son contrat de concession d'affichage attise ce sentiment d’hostilité. Nous ne sommes pas d’accord, l’hostilité des gens est indépendante de la décision de Grenoble. L’exemple de cette ville, citée dans les avis déposés par les citoyens n’est qu’un exemple pour illustrer le fait qu’ils souhaiteraient être moins exposés à la publicité.
De plus nous souhaiterions rappeler que selon un sondage paru dans Sud-Ouest web le 15/02/2016, à la question « Pensez-vous que la profusion de panneaux publicitaires engendre une pollution visuelle ? », les sondés ont répondu « oui » à 92.7% (pour 1268 participants).
De même selon un autre sondage paru dans Sud-Ouest web, le 27/11/2014, à la question « Seriez-vous favorable à l’adoption d’une décision à la grenobloise, à savoir supprimer la publicité affichée dans le centre-ville de Bordeaux », les sondés « oui » à 85 % (pour 1500 votants).
Ces éléments montrent que l’hostilité des gens est générale et dure depuis de nombreuses années.
Actuellement il y a 1815 panneaux publicitaires pour une surface totale de 11790 m² (selon le rapport provisoire du RLPi de janvier 2014 effectué par Cadre&Cité). Le bilan de la concertation indique que la volonté de Bordeaux Métropole est de limiter la pollution visuelle, à travers une diminution du nombre de panneaux et de la taille des formats. Avec la dernière version du RLPi, pourriez-vous partager au public, le pourcentage de diminution des panneaux en nombre et en surface afin que les citoyens puissent constater les améliorations promises par Bordeaux Métropole ?

Un manque d’effort sur les extinctions nocturnes

Bordeaux Métropole a choisi de conserver la période d’extinction des enseignes définie par la loi, à savoir de 1h à 6h du matin.
Nous aurions pensé qu’à l’heure du changement climatique et des économies d’énergie, la métropole aurait fait un effort sur ce sujet afin de montrer l’exemple aux citoyens.
De même nous aurions pensé qu’elle aurait été sensible à l’argument de Clément Rossignol qui dit que « ce que nous pourrions proposer c’est que cette période d’extinction lumineuse la nuit soit amplifiée non pas simplement de 1h à 6h mais de 23h à 6h car on peut dire qu’à partir de 23h on peut arrêter de faire du shopping et éteindre les publicités lumineuses 2h de plus permettrait d’économiser l’équivalent de la consommation d’énergie de plusieurs milliers de familles (plus de 12 gigawatt-heure). »
En conclusion, nous encourageons vivement la métropole à être aussi ambitieuse que la ville de Libourne dont le Règlement Local de Publicité (également conçu par Cadre&Cité) est plus restrictif car les enseignes lumineuses (dont les enseignes numériques) y seront éteintes entre 23 heures et 7 heures » (voir le texte réglementaire du RLP de Libourne du 28/06/2016).

Un RLPi qui discriminerait les citoyens

Le RLPi est découpé en de nombreuses zones. Ces différentes zones ont un traitement inégal concernant le niveau de protection de leur cadre de vie vis-à-vis de la publicité. Nous ne comprenons pas pourquoi les habitants du centre de Bordeaux auraient le droit d’être moins agressés par la publicité par rapport aux habitants des autres zones de la métropole.
Nous voulons une égalité de traitement entre les différents habitants de la métropole et en cela, nous souscrivons totalement à l’analyse de l’association Paysages de France : « Cette multiplication des zones trouve également sa source dans la logique même, profondément "perverse", du projet, lequel instaure donc une hiérarchie de droits entre habitants. » (voir le document « Projet RLPi Bordeaux Métropole (Gironde). Enquête publique. Observations de Paysages de France. 02-05-2017 » page 14, remis pour l’enquête publique).

Les cleantags : une future menace

Lors du conseil municipal de la ville de Bordeaux du 12/12/2016, monsieur Jean-Louis David a fait un long exposé sur les cleantags qu’il a transmis à la Vice-Présidence de la Métropole (voir la délibération du conseil municipal n°D-2016/527). Nous pensons que l’interdiction des cleantags, vu leur impact négatif sur les villes, auraient fait l’unanimité des communes de la métropole mais nous n’avons pas vu de disposition concernant ces dispositifs dans le RLPi.

La Taxe Locale de Publicité Extérieure rapporte peu

Vu la réaction de certains avis de l’enquête publique, nous souhaiterions casser le mythe selon lequel la TLPE rapporte beaucoup d’argent aux municipalités. Pour prendre un exemple, en 2015, la TLPE a rapporté à la ville de Bordeaux la somme de 1 030 000 € pour un budget total de 410 137 993,27 € soit 0,25 % du budget.
Nous constatons que la publicité s’impose dans l’espace public alors qu’elle ne rapporte que 4,1€ par année pour chaque bordelais.
Par exemple, à l’extrême si le RLPi diminuait la publicité de 50 %, cela ne représenterait que 2€ par an et par bordelais. La diminution de la TLPE suite à une forte diminution des panneaux ne serait donc pas vraiment impactante.
Nous souhaitons donc que l’on arrête de dire que la diminution de la TLPE engendrerait une forte hausse d’impôts. Cette idée ne doit donc pas Bordeaux Métropole de diminuer le nombre des panneaux de publicités.

Une présentation fastidieuse du RLPi

Comme toutes les consultations publiques, celle sur le RLPi n’a pas attiré les foules. Il faut dire que le sujet est très technique et peu abordable. Sur le site de la concertation, il y a marqué cette phrase « Comment participer à l’enquête publique ? […] Consultez le dossier complet ». Ce dossier complet contient plusieurs centaines de pages sans version synthétique pouvant permettre à des citoyens de rentrer vraiment dans le sujet.

Notre soutien à l’association Paysages de France

Enfin notre association souhaite remercier l’association Paysages de France pour le travail d’expertise qu’elle a réalisé à travers le document « Projet RLPi Bordeaux Métropole (Gironde). Enquête publique. Observations de Paysages de France. 02-05-2017 ».
Nous soutenons sans réserve leur analyse du RLPi de Bordeaux Métropole et notamment leur conclusion : ce « projet dont tout démontre qu’il est essentiellement taillé sur mesure pour
répondre aux intérêts des afficheurs et non à ceux des habitants de la métropole de
Bordeaux. En conséquence, l’association Paysages de France demande un réexamen complet dudit projet. ».
Vous avez indiqué sur le site de la participation concernant cette enquête : «Tous les avis exprimés seront examinés pour éventuellement adapter le règlement, avant son adoption définitive. ». Nous espérons donc que vous entendrez la voix de notre association et de celle de Paysages de France.

Le groupe local de Bordeaux de l’association Résistance à l’Agression Publicitaire

Portrait de Alain Mask

une fois de plus vous nous parlez de visuel et de pollution du paysage mais vous oubliez sans doute que la ville de Bordeaux ne cesse jamais de faire des rénovations et des travaux en tous genres pour le bien de tous avec la création ou le développement de nombreux espaces verts et lieux de détente; j'ai vu des places revivre avec des petits banc "à l'ancienne"; cette ville est belle, vous ne pouvez le nier; il faut donc pouvoir financer tout cela sans étouffer les contribuables en leur augmentant sans cesse les impôts; vous dites que 2 euros par personne ce n'est rien, c'est faux car 2 euros plus 2 euros plus encore quelques euros finissent par grever le budget des bordelais et les pousser à la restriction; d'ailleurs pourquoi ne dénoncez vous pas plutôt la pollution des nuisances sonores, celle de l'eau calcaire, des ondes électro magnétiques des nombreuses antennes et relais, et plus récemment la nuisance grave des nouveaux compteurs Linky pour les relevés d'électricité qui rendent malades les personnes et détruisent une partie de certains appareils avec risques d'incendies, de cancers, migraines, folie...
Pourquoi ne dénoncez vous pas le fait d'avoir réclamé 2 euros à chaque électeur des primaires alors que le vote est un droit et ne doit en aucun cas être monnayé ? n'est ce pas une pollution civique ? et puis comme je l'ai expliqué dans mon argumentaire, vous ne tenez aucun compte du désastre que subiraient les petits propriétaires, artisans, commerçants, associations et particuliers qui ont eu à une époque la chance de pouvoir disposer d'un emplacement publicitaire; ce n'est pas votre cas sans doute sinon vous auriez un avis différent; je suis cependant d'accord avec vous sur un point, celui de la réduction des horaires d'affichage lumineux la nuit

Portrait de Alain Mask

bonjour, je vous demande de bien vouloir assouplir le projet du nouveau règlement local de publicité intercommunal en tenant compte du fait que nombre de petits propriétaires particuliers, artisans, commerçants ou associations n'ont pu accéder à la propriété en souscrivant un crédit, avec des charges, taxes et impôts à payer, que grâce à la petite aide qui leur était proposée dès le départ avec la location d'un emplacement publicitaire sur le mur d'un bâtiment ou sur un coin de terrain suffisamment visible pour intéresser une société d'affichage; la plupart du temps les panneaux existants ont été soigneusement étudiés par les services de l'urbanisme et des collectivités territoriales et ne gênent en rien l'environnement, ne sont pas polluant et ne présentent aucun risque; les restrictions de leurs surfaces et la diminution de leur nombre a déjà occasionné un sérieux manque à gagner pour les publicitaires qui ont alors répercuté le problème sur les petits propriétaires; une nouvelle restriction dans la réglementation si elle devait être décidée aurait probablement des conséquences graves dans l'emploi avec des suppressions budgétaires, des pertes de postes de travail, des mises au chômage ou en retraite anticipée, de possibles délocalisations; certains petits propriétaires qui font partie de ce qui reste de la classe "moyenne" ne seraient plus en mesure de payer l'intégralité de leur crédit, de leurs charges, de leurs impôts avec les répercussions que cela aurait sur leur vie de famille et sur la participation sociale; une partie de l'argent des ménages ne serait plus réinjecté dans l'économie locale entrainant des pertes au niveau de la région et du département; alors bien sur, tout le monde souhaite vivre dans un beau cadre avec un paysage verdoyant mais très peu de personnes ont les moyens de s'acheter un château, un manoir ou une maison bourgeoise avec un parc, alors pensez aux gens modestes qui toute leur vie ont travaillé dur pour pouvoir acheter à crédit une petite maison en ville ou à la campagne, qu'ils ont retapé avec les moyens du bord et qu'ils seraient probablement obligé d'abandonner si on leur enlevait la bouée de sauvetage qu'est leur emplacement publicitaire; je ne défend pas les grosses firmes mais s'en prendre aux publicitaires dans ce contexte serait ruiner en même temps les petits propriétaires ou mettre un frein sérieux à la consommation; voilà l'appel que je fais, réaliste et non pas utopique, merci d'en tenir compte Monsieur le maire de Bordeaux, messieurs et mesdames les élus locaux, messieurs et mesdames les décideurs des différentes administrations compétentes, très cordialement

 
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Portrait de gabmar

Ce projet de règlement conduit unilatéralement ne profite qu'à ceux qui l'ont rédigé.
Bannir les annonceurs des boulevards bordelais et de tous les axes pénétrants de la ville ne permet plus à ces professionnels de mener un business structuré et valorisant pour l'immense diversité de commerces présents sur ce support.
La cartographie proposée est par ailleurs mal évaluée car de nombreuses zones bâties ne bénéficient pas d'un zonage propre.
Ainsi, la finalité sera d'une part la captation majoritaire des revenus issus de la publicité par les mairies et d'autre part une hausse des impôts locaux découlant du manque à gagner des communes via la chute importante de la taxe sur la publicité.
Une refonte de ce règlement est nécessaire pour que tous les acteurs concernés soient entendus, y compris les riverains et les commerçants !

Portrait de Alain Mask

oui, je suis tout à fait d'accord avec vous, un progrès utile ne se fait pas au moyen d'une regression sauvage et pénalisante; le soit disant remède serait pire que le mal; la suppression ou diminution d'affichages mettrait en difficulté nombre de sociétés, d'associations, d'artisans, de commerçants et également de particuliers petits propriétaires;

Portrait de Dani33

Ma famille est contre la publicité sur panneaux dans les villes de la métropole car il s'agit d'une pollution visuelle qui détourne très souvent l'attention des conducteurs, ce qui va à l'encontre de l'usage de la voiture et nos paysages sont complètement dégradés alors que les communes essayent au maximum de mettre en évidence ce patrimoine qui fait parti de notre culture. Merci Respectueuses salutations DM

Portrait de Alain Mask

dans ce cas il faut alors supprimer aussi les rails du tram, les abris bus, les réverbères, les immeubles en béton, les routes et les trottoirs, les magasins, les centres commerciaux, les voitures, les motos, les avions, les trains, les autoroutes, les usines, brefs les villes, donc nous n'avons plus qu'à retourner à l'age de pierre; et que veut dire "ma famille" est contre; même dans les familles unies chacun a droit à un point de vue personnel et à des divergences sur des sujets sérieux; nous ne sommes pas dans un état "mafieux" ou un parrain ordonne au nom de tous

Portrait de bbs

Le probléme est l'équilibre entre le cadre de vie et les intérêts économiques, sans redevances de loyer des panneaux, pas de revenu a injecter dans l'économie locale !!
de plus la commune de Mérignac devrait se poser les bonnes question un panneau propre en bien moins polluant que des rues de ZI non entretenue depuis des années par des services de la voirie inexistants dans les Zones D'activité comme celle du Phare par exemple !!

Portrait de Alain Mask

oui, cela me semble logique;

Portrait de Frantz

Bonjour,

Ne soyons pas dupe, ce projet de RLPI est de la poudre au yeux, c'est l'arbre qui masque la forêt. Combien va coûter cette mascarade ? L'audit réalisé et le temps passé par les élus a faire toutes ces réunions...Pendant que les ressources de la métropole sont mobilisées sur ce faux problème, elles ne le sont pas sur de vrais sujets.

- L'inexorable augmentation des taxes foncières et d'habitations. Celles ci seront évidement majorées suite à la perte des taxes collectées via les opérateurs publicitaire
- L'appauvrissement du service publique dans l'enseignement (hausse des repas dans les cantines scolaire, hausse des frais liés au périscolaire...)
- L'insalubrité des infrastructures à l'images des quelques piscines municipales encore existantes
- Les problèmes de transport et la saturation des axes routiers intérieurs et extérieurs de la métropole.
- Les problèmes d'accès au logement, avec plus de 33000 demandeurs de logements sociaux sur la Métropole...
- Le financement du Stade Matmut et la dette que cela représente pour nous tous

Bref la liste des vrais sujets est longue comme le bras mais allez y préoccupez vous des quelques pancartes publicitaires qui participent à l'économie de la collectivité... #comment scier la branche sur laquelle on est assis.

Portrait de Alain Mask

aie!!, le débat s'élargit et semble ouvrir la voie à de vrais problèmes, intéressant mais risque de sujets génants

Portrait de maribel

Je demande ardemment un assouplissement du projet trop restrictif à mon point de vue

Portrait de Alain Mask

oui, je suis d'accord

Portrait de yves

Règlementer est une nécessité si c'est organisé dans le dialogue l'écoute et le respect afin de servir harmonieusement l' intéret commun.
Hors ce projet de règlement ne semble servir l'intérêt que de ceux qui le rédige puisque sa finalité est d'interdire dans la presque quasi totalité du territoire toute forme de publicité. Sauf celle supportée par le mobilier urbain organisé sous la seule compétences des communes.
Un paradoxe pour des centaines de propriétaires privés qui perdront le bénéfice de ce complément de revenu que les collectivités ne compenseront pas.
Les erreurs des règlements locaux se suivent et se ressemblent car ils tolèrent de la publicité sur un infime espace sans aucune organisation géographique et provoque de la concentration pour mieux la stigmatiser lors du prochain règlement.
Pourquoi limiter à 5 axes dits "structurants" sur des portions hachées la publicité quand la métropole en compte 10 fois plus ? Pourquoi privilégier un format de publicité à une taille si réduite qu'elle en perdrait automatiquement sa vocation celle de faire la promotion du commerce local?
Les axes de reflexions doivent aussi se porter sur la prolifération des enseignes qui trop souvent échappent par manque de contrôle à la vigilance des autorités dont l'impact visuel est bien supérieur à celui de la publicité.

Portrait de Alain Mask

je suis aussi d'accord avec vous, je pense qu'une majorité de personnes comprend les risques de ces restrictions proposées et souhaitent s'y opposer

Portrait de gary

une aberration que de restreindre autant les choses alors que l'affichage SAUVAGE ! des élections présidentielles bat son plein et que personne ne dit rien.
le contribuable sera la victime collatérale de cette décision car moins de panneaux donc moins de TLPE donc + d'impôts locaux!! l'affichage est un des derniers medias locaux permettant aux commerçants locaux de faire du commerce LOCAL.

Portrait de gary

une aberration que de restreindre autant les choses alors que l'affichage SAUVAGE ! des élections présidentielles bat son plein et que personne ne dit rien.
le contribuable sera la victime collatérale de cette décision car moins de panneaux donc moins de TLPE donc + d'impôts locaux!! l'affichage est un des derniers medias locaux permettant aux commerçants locaux de faire du commerce LOCAL.

Portrait de Alain Mask

oui, je suis d'accord à cent pour cent (même si c'est dit deux fois)

Portrait de Alain Mask

remarque amusante mais judicieuse, j'approuve!

Portrait de ursa

Mon panneau ne gêne pas et représente un complément non négligeable à ma petite retraite.
Selon moi, il n'y a aucune raison de le retirer.

Portrait de ursa

Mon panneau ne gêne pas et représente un complément non négligeable à ma petite retraite.
Selon moi, il n'y a aucune raison de le retirer.

 
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Portrait de Alain Mask

nombreux sont dans votre cas, vous avez mon respect et j'espère que vous serez soutenu dans votre intervention

Portrait de JeanFrancois

Le niveau de protection du cadre de vie doit être le même pour tous les habitants.
Le nombre de zones doit être limité à trois au maximum.
• ZPR 1 : Zone à dominante d'habitations en agglomération
• ZPR 2 : Zone à dominante industrielle et commerciale en agglomération
• ZPR 3 : Zone hors agglomération (pour mémoire publicité en règle générale interdite)
Ne sont pas autorisées :
• Les publicités et les enseignes numériques
• Les publicités déroulantes
• Les publicités et enseignes avec couleurs fluorescentes
Extinction des dispositifs lumineux :
• Entre 22 heures et 6 heures pour les publicités et le mobilier urbain
• 1 heure après la fin de l’activité pour les enseignes

 
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Portrait de blain

Ce projet de RLPi sera trop complexe à mettre en ouvre (7zones !) Une simplification de zonage serait plus compréhensible.
Autre critique ; ce document privilégie le cœur historique de Bordeaux au détriment des entrées de villes et des zones périurbaines. Hors c'est précisément dans ces espaces intermédiaires entre ville t campagne (les entrées de ville à la française) que des règles rigoureuses devraient être prises pour requalifier l'aspect de ces espaces anarchiques.
Dans le détail du projet soumis à concertation, on relève les points suivants :
articles E-5-2-2 et E-6-2-2 : les enseignes scellées au sol de 8m2 entretiennent la confusion fréquente entre publicité et enseigne puisqu'il s'agit la plupart du temps d'un panneau identique à celui des pub scellés au sol de 8m2 (seul le visuel est différent). a privilégier les enseignes scellées au sol de forme "totem" avec des limites de hauteur.
Articles E-9 : une formulation plus simple serait "les enseignes sont allumées au plus tôt une heure avant le début de l'activité et éteintes au plus tard une heure après la fin de l'activité de l'établissement"
Articles E-5-2-4 et E-6-2-4 : le format de 6m2 pour des enseignes numériques est tout à fait excessif
Articles P-5-2-3, P-6-2-3 : les publicités scellées au sol de 8m2 n'apportent aucune avancée visuelle (seul un œil exercé sait discriminer dans la rue un panneau de 12m2 d'un de 8m2)
Articles P-6-2-4, P-7-2-4, P-2b-2-4, P-4b-2-4, P-5-2-4 : les mobiliers urbain de 8m2 constituent un contre exemple sur la voie publique. ce format a été abandonné par la ville de Paris au profit du 2m2 mieux adapté aux piétons et moins intrusif.
Article P-14 : pourquoi donc les mobiliers urbains et eux seuls seraient exemptés des règles d'extinction nocturne ?
Article E-5-2-4 et E-6-2-4 : les publicités numériques ont un impact très dommageable sur l'environnement (à plus forte raison si elles font 6m2 !). De plus, elles sont accidentogènes et énergivores ! à interdire absolument !
Article P-7-2-3 : des publicités scellées au sol de 50m2 ? pourquoi pas de 100m2 ?
article P-7-2-5 : des écrans vidéo de 50m2 ? c'est une coquille on espère ! à corriger

 
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Portrait de chanthy

L' idée de modifier les panneaux 4x 3 n' est pas nouvelle.
Des communes s'y sont déjà essayées.
Résultat :prolifération des petits panneaux déroulants dans les carrefours et sur les trottoirs (merci pour les poussettes,fauteuils roulants, ...)
Un carrefour à Pessac ( place du marché) a eu la chance de voir supprimé les hortensias pour cause de mauvaise visibilité mais le panneau qui les remplacent au beau milieu du carrefour, lui ,ne gène pas!!!!....Etonnant, non.....
Panneau Clear Channel n° 210
Cordialement et merci à la reine publicité

 
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Portrait de Milouche

Panneautage: Panneaux directionnels et d'information suffisants, arrêtons la publicité à outrance
Supports de communication: le tram n'est pas un outil de pub pour les banque sou autres, il doit rester sur l'évènementiel
Merci

 
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Portrait de JUJU

La publicité permet aux commerces locaux de s'annoncer et d'être plus visible. Elle permet même à certains de survivre.
Aussi n'oublions pas qu'il y a des entreprises derrière chaque dispositif qui localement font vivre des familles. Ces mêmes dispositifs sont taxés via la taxe locale sur la publicité et les enseignes, rapportant plusieurs milliers d'euros aux villes chaque année.

Comment seront compensées ces pertes ?

Portrait de Alain Mask

oui, je partage aussi votre point de vue

Portrait de camillou78

A noter je suis surpris que vous parliez de liberté d'expression dans votre texte de présentation pour justifier la présence de panneaux publicitaire. il me semble qu'il ne faut pas confondre les panneaux qui servent à la communication des citoyens (information sur les événements de la ville, les élections..Etc.) et les panneaux publicitaire à proprement parler. les premiers me semblent indispensables a conserver les seconds me paraissent superflus. de plus il ne s'agit pas de liberté d'expression lorsque l'on parle de publicité commerciale! il y a bien d'autres moyens à l'heure actuelle pour les commerçants de vendre leurs produits. par ailleurs les villes qui ont fait le choix (en france ou en europe) de supprimer les enseignes publicitaires n'ont pas vu leur chiffre économique s'effondrer ni tous les commerçants quitter la ville. Il s'agit d'une question de choix politique.

Portrait de Alain Mask

de plus en plus de petits commerces s'effondrent pour laisser la place à des grandes surfaces ou des boites franchisées avec toujours les mêmes enseignes et les mêmes produits, mais vous semblez oublier les particuliers petits propriétaires et les associations; c'est vous qui allez compenser le manque à gagner des retraités ? les politiques eux ont osé demander une participation de 2 euros pour des élections préparatoires qui ont été un désastre, vous avez accepté ? moi pas!

Portrait de camillou78

Limiter le nombre de panneaux publicitaire par m2 et limiter leur taille! cela provoque une pollution visuelle trop importante dans notre ville.

Portrait de Alain Mask

n'importe quoi, dans ce cas supprimons aussi tous les grands bâtiments, remplaçons le béton par du bois (mais là on touche aux forêts), remplaçons les villes par des villages, les voitures par des chevaux, les motos par des ânes, les usines et les machines outils par des esclaves; oh mais j'y pense, ce serait un retour en arrière vers le moyen age; plus sérieusement, dans ce cas c'est tout le système de la civilisation actuelle avec le commerce, le travail, l'industrialisation, les administrations, bref, l'humanité tout entière qu'il faudrait changer; qui se sent capable d'en prendre la responsabilité ?

Portrait de Dani33

Oui c'est une pollution visuelle qui s'ajoute a la pollution sonore

Portrait de So

Moins c'est mieux. Il faut ce limiter à l'utile.

Portrait de majo

Refuser tout affichage publicitaire sur les clôtures ou grillage (ne l'accepter que sur un mur aveugle et à condition qu'il y ait un petit format). Le maire doit pouvoir les faire enlever immédiatement et sans aucune dérogation du type s'est un commerçant ou une association. Résultat s'est l'anarchie. Pas de publicité non plus aux abords des ronds points. Aucun grand panneaux publicitaire : fixe ou déroulant aux abords des feux et des carrefours (règlementé aussi par le code de la route mais pas respecté sur la commune). Aucune publicité aux abords de tous les espaces verts qu'ils soient public ou privé. Garder tous les espaces verts en zones protégées s'est impératif : qu'ils soient public ou privé ou étant sur des lotissements.

Portrait de Alain Mask

encore des restrictions, il n'y a pas que les murs qui sont aveugles, pourquoi s'en prendre aux retraités, aux associations, aux petits propriétaires, artisans, commerçants et autres catégories sociales modestes mais qui contribuent au fonctionnement de l'économie locale et nationale; vous voyez tout en petit et si on vous propose de plus petits revenus vous êtes d'accord ?

Portrait de Nad33

Il faut vraiment limiter au maximum les grands panneaux publicitaires, réelle source de pollution visuelle.
Les pré enseignes peuvent être utiles, mais doivent être de taille modeste.
Les enseignes présentes sur les commerces ne sont pas gênantes à condition qu'elle ne soient pas éclairées, en particulier durant toute la nuit. Car cela occasionne une pollution visuelle importante mais également un gâchis énergétique.
Enfin il faudrait prohiber les écrans publicitaires, qui nuisent aux paysages, consomment de l'électricité, et sont sources de distraction au volant.

Portrait de Alain Mask

pas d'accord sur la limitation de taille des enseignes car cela entrainerait une diminution des aides accordées aux petits propriétaires modestes, associations, artisans, petits commerçants, mais d'accord avec vous sur les panneaux vidéo ou lumineux fluo agressifs;

Portrait de Dani33

Oui pollution visuelle

Portrait de majo

Vous avez tout à fait raison mais il faut aller encore plus loin dans la suppression de tant de publicité visuelle. Se qui n'est pas le cas à Villenave d'Ornon où le maire se retranche vers se fameux RLPI en cours d'élaboration et où l'affichage dans notre commune se fait partout et sans respect de la Loi en vigueur.

Portrait de Raphyfrenchy

Je suis pour le fait de réduire les espaces publicitaires.

Portrait de Alain Mask

pas d'accord car non justifié, puisque non argumenté

Portrait de Raphyfrenchy

Je suis pour le fait de réduire les espaces publicitaires.

Portrait de Alain Mask

vous vous répétez cher monsieur ou madame et toujours sans aucun argument

Portrait de Se respecter

Dans les zones commerciales, et leurs abords, des indications publicitaires directionnelles me paraissent souhaitables.
Pour les chevalets publicitaires ou autres signalétiques devant certains commerces en retrait de rue je trouve aussi souhaitables de les conserver.
Pour les enseignes temporaires, garder les signalétiques.
Les manifestations temporaires par banderole sont elles touchées par votre projet ? Il est impératif de les conserver.
Eviter l'anarchie c'est bien mais tout règlementé c'est pire !
Oeuvrons avec bon sens et ayons confiance en l'autre.
Et Préservons notre liberté d'expression.
Dans les quartiers, Il manque de supports dédiés pour la communications d'événements plus confidentiels comme des activités ou ateliers spécifiques, portes ouvertes, fête, vide garage... = Un vecteur d' incitation visuelle à la créativité individuelle.
La réglementation sur les supports c'est bien mais le vrai problème est tout de même le contenu de la publicité et l'impact qu'elle a sur les plus jeunes, en particulier pour la nourriture. A quand les réglementations limitant la publicité pour la viande !

 
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Portrait de jc landais

Moins il y aura de panneaux publicitaires de grandes tailles moins il y aura de pollution visuelle. Ok pour les enseignes sur frontons mais sans éclairages.

Portrait de Alain Mask

encore des restrictions et sans aucun argument, pourquoi limiter la taille des enseignes ? cela a déjà été fait, sur quel support, grand mur? petit mur? quel contexte? quel endroit? chaque cas, chaque emplacement est différent, mais pour les petits propriétaires qui seraient touchés par ces restriction c'est grave; vous accepteriez de payer 4 fois plus de taxes pour compenser ?

Portrait de Peyo33

La mise en place de panneaux déroulants me semble être une des pistes qui permettrait de réduire de façon significative la présence de panneaux.
En suite, il conviendrait de contraindre les différentes enseignes à COMPLETEMENT supprimer la pollution lumineuse en période nocturne (à partir de 23 heures, par exemple)