Bus à haut niveau de service (BHNS) entre Bordeaux gare Saint-Jean et Saint-Aubin de Médoc : quel tracé et quelles caractéristiques générales ?

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+["Bien que n’étant qu’un usager occasionnel de la liane 3+ puisque je me déplace habituellement à vélo, j’ai pu constater l’irrégularité actuelle des passages des bus aux arrêts et la lenteur de ce mode de transports englué dans la circulation urbaine. \nEn conséquence, je ne peux que souscrire à une projet de « transport à haut niveau de service » (THNS) et ce à la condition qu’il se rapproche le plus possible d’un « transport en commun en site propre » (TCSP) pour être efficace. \nIl faut donc que les couloirs de bus soient multipliés (en alternant le sens quand il n’est pas possible d’en avoir des deux côtés [cf. la section Le Haillan – Bordeaux Caudéran]) pour sortir les bus de la circulation, raccourcir les temps de transports et améliorer la régularité (et la fréquence aux heures de pointe) des passages aux arrêts. \nCe n’est en effet qu’à cette condition que diminuera le nombre de trajets domicile-travail effectués en voiture particulière. \nCeci dit, dans une période où sont recherchées des économies budgétaires par tous les moyens et où se tarissent les sources de financements, je trouve personnellement le coût du projet présenté (100 millions d’euros HT) dispendieux (bilan coût / avantages déséquilibré). \nNe pourrait-on, pour abaisser le montant du projet revoir à la baisse les prétentions notamment esthétiques (arrêts), et techniques (distributeurs de tickets, giratoires percés à feux dont les coûts d’investissement et de fonctionnement sont élevés, WiFi, remplacement des véhicules, …), réserver ces intentions à un avenir plus serein ou les mettre en œuvre graduellement ? \nCe qu’il faut avant tout, c’est de la rapidité dans l’action et de l’efficacité : il faut agir pour diminuer le nombre de véhicules particuliers sur la voirie urbaine et donc limiter la pollution produite par ces derniers. \nJe suis également fort surpris que l’on soit prêt à donner satisfaction à un souhait arrivé en troisième position dans les enquêtes menées auprès des usagers : l’accès WiFi dans les bus. Il ne s’agit pas là de confort mais d’un problème de santé publique. \nCe type d’accès a été interdit dans les écoles, les particuliers luttent contre la mise en place de pylônes émetteurs à proximité de leur domicile et ils accepteraient de baigner (encore davantage) dans les ondes lorsqu’ils prennent le bus ? N’est-ce pas là la préoccupation de la population la moins âgée et la plus insouciante ? Que vont devenir les personnes électro-sensibles ? \nVous comprendrez aisément que le suis contre cet aspect technique. \nPour ce qui concerne le trajet de la desserte, je ne comprends pas que le terminus soit à Saint Aubin de Médoc alors que la population la plus nombreuse est en direction de Saint Médard Issac. Il me paraîtrait plus efficient de prolonger la ligne en direction d’Issac et de créer une ligne de rabattement depuis Saint Aubin vers le ligne de BHNS. "]

+["Bien que n’étant qu’un usager occasionnel de la liane 3+ puisque je me déplace habituellement à vélo, j’ai pu constater l’irrégularité actuelle des passages des bus aux arrêts et la lenteur de ce mode de transports englué dans la circulation urbaine. \nEn conséquence, je ne peux que souscrire à une projet de « transport à haut niveau de service » (THNS) et ce à la condition qu’il se rapproche le plus possible d’un « transport en commun en site propre » (TCSP) pour être efficace. \nIl faut donc que les couloirs de bus soient multipliés (en alternant le sens quand il n’est pas possible d’en avoir des deux côtés [cf. la section Le Haillan – Bordeaux Caudéran]) pour sortir les bus de la circulation, raccourcir les temps de transports et améliorer la régularité (et la fréquence aux heures de pointe) des passages aux arrêts. \nCe n’est en effet qu’à cette condition que diminuera le nombre de trajets domicile-travail effectués en voiture particulière. \nCeci dit, dans une période où sont recherchées des économies budgétaires par tous les moyens et où se tarissent les sources de financements, je trouve personnellement le coût du projet présenté (100 millions d’euros HT) dispendieux (bilan coût / avantages déséquilibré). \nNe pourrait-on, pour abaisser le montant du projet revoir à la baisse les prétentions notamment esthétiques (arrêts), et techniques (distributeurs de tickets, giratoires percés à feux dont les coûts d’investissement et de fonctionnement sont élevés, WiFi, remplacement des véhicules, …), réserver ces intentions à un avenir plus serein ou les mettre en œuvre graduellement ? \nCe qu’il faut avant tout, c’est de la rapidité dans l’action et de l’efficacité : il faut agir pour diminuer le nombre de véhicules particuliers sur la voirie urbaine et donc limiter la pollution produite par ces derniers. \nJe suis également fort surpris que l’on soit prêt à donner satisfaction à un souhait arrivé en troisième position dans les enquêtes menées auprès des usagers : l’accès WiFi dans les bus. Il ne s’agit pas là de confort mais d’un problème de santé publique. \nCe type d’accès a été interdit dans les écoles, les particuliers luttent contre la mise en place de pylônes émetteurs à proximité de leur domicile et ils accepteraient de baigner (encore davantage) dans les ondes lorsqu’ils prennent le bus ? N’est-ce pas là la préoccupation de la population la moins âgée et la plus insouciante ? Que vont devenir les personnes électro-sensibles ? \nVous comprendrez aisément que le suis contre cet aspect technique. \nPour ce qui concerne le trajet de la desserte, je ne comprends pas que le terminus soit à Saint Aubin de Médoc alors que la population la plus nombreuse est en direction de Saint Médard Issac. Il me paraîtrait plus efficient de prolonger la ligne en direction d’Issac et de créer une ligne de rabattement depuis Saint Aubin vers le ligne de BHNS. "]

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+["Bien que n’étant qu’un usager occasionnel de la liane 3+ puisque je me déplace habituellement à vélo, j’ai pu constater l’irrégularité actuelle des passages des bus aux arrêts et la lenteur de ce mode de transports englué dans la circulation urbaine. \nEn conséquence, je ne peux que souscrire à une projet de « transport à haut niveau de service » (THNS) et ce à la condition qu’il se rapproche le plus possible d’un « transport en commun en site propre » (TCSP) pour être efficace. \nIl faut donc que les couloirs de bus soient multipliés (en alternant le sens quand il n’est pas possible d’en avoir des deux côtés [cf. la section Le Haillan – Bordeaux Caudéran]) pour sortir les bus de la circulation, raccourcir les temps de transports et améliorer la régularité (et la fréquence aux heures de pointe) des passages aux arrêts. \nCe n’est en effet qu’à cette condition que diminuera le nombre de trajets domicile-travail effectués en voiture particulière. \nCeci dit, dans une période où sont recherchées des économies budgétaires par tous les moyens et où se tarissent les sources de financements, je trouve personnellement le coût du projet présenté (100 millions d’euros HT) dispendieux (bilan coût / avantages déséquilibré). \nNe pourrait-on, pour abaisser le montant du projet revoir à la baisse les prétentions notamment esthétiques (arrêts), et techniques (distributeurs de tickets, giratoires percés à feux dont les coûts d’investissement et de fonctionnement sont élevés, WiFi, remplacement des véhicules, …), réserver ces intentions à un avenir plus serein ou les mettre en œuvre graduellement ? \nCe qu’il faut avant tout, c’est de la rapidité dans l’action et de l’efficacité : il faut agir pour diminuer le nombre de véhicules particuliers sur la voirie urbaine et donc limiter la pollution produite par ces derniers. \nJe suis également fort surpris que l’on soit prêt à donner satisfaction à un souhait arrivé en troisième position dans les enquêtes menées auprès des usagers : l’accès WiFi dans les bus. Il ne s’agit pas là de confort mais d’un problème de santé publique. \nCe type d’accès a été interdit dans les écoles, les particuliers luttent contre la mise en place de pylônes émetteurs à proximité de leur domicile et ils accepteraient de baigner (encore davantage) dans les ondes lorsqu’ils prennent le bus ? N’est-ce pas là la préoccupation de la population la moins âgée et la plus insouciante ? Que vont devenir les personnes électro-sensibles ? \nVous comprendrez aisément que le suis contre cet aspect technique. \nPour ce qui concerne le trajet de la desserte, je ne comprends pas que le terminus soit à Saint Aubin de Médoc alors que la population la plus nombreuse est en direction de Saint Médard Issac. Il me paraîtrait plus efficient de prolonger la ligne en direction d’Issac et de créer une ligne de rabattement depuis Saint Aubin vers le ligne de BHNS. "]

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+["Bien que n’étant qu’un usager occasionnel de la liane 3+ puisque je me déplace habituellement à vélo, j’ai pu constater l’irrégularité actuelle des passages des bus aux arrêts et la lenteur de ce mode de transports englué dans la circulation urbaine. \nEn conséquence, je ne peux que souscrire à une projet de « transport à haut niveau de service » (THNS) et ce à la condition qu’il se rapproche le plus possible d’un « transport en commun en site propre » (TCSP) pour être efficace. \nIl faut donc que les couloirs de bus soient multipliés (en alternant le sens quand il n’est pas possible d’en avoir des deux côtés [cf. la section Le Haillan – Bordeaux Caudéran]) pour sortir les bus de la circulation, raccourcir les temps de transports et améliorer la régularité (et la fréquence aux heures de pointe) des passages aux arrêts. \nCe n’est en effet qu’à cette condition que diminuera le nombre de trajets domicile-travail effectués en voiture particulière. \nCeci dit, dans une période où sont recherchées des économies budgétaires par tous les moyens et où se tarissent les sources de financements, je trouve personnellement le coût du projet présenté (100 millions d’euros HT) dispendieux (bilan coût / avantages déséquilibré). \nNe pourrait-on, pour abaisser le montant du projet revoir à la baisse les prétentions notamment esthétiques (arrêts), et techniques (distributeurs de tickets, giratoires percés à feux dont les coûts d’investissement et de fonctionnement sont élevés, WiFi, remplacement des véhicules, …), réserver ces intentions à un avenir plus serein ou les mettre en œuvre graduellement ? \nCe qu’il faut avant tout, c’est de la rapidité dans l’action et de l’efficacité : il faut agir pour diminuer le nombre de véhicules particuliers sur la voirie urbaine et donc limiter la pollution produite par ces derniers. \nJe suis également fort surpris que l’on soit prêt à donner satisfaction à un souhait arrivé en troisième position dans les enquêtes menées auprès des usagers : l’accès WiFi dans les bus. Il ne s’agit pas là de confort mais d’un problème de santé publique. \nCe type d’accès a été interdit dans les écoles, les particuliers luttent contre la mise en place de pylônes émetteurs à proximité de leur domicile et ils accepteraient de baigner (encore davantage) dans les ondes lorsqu’ils prennent le bus ? N’est-ce pas là la préoccupation de la population la moins âgée et la plus insouciante ? Que vont devenir les personnes électro-sensibles ? \nVous comprendrez aisément que le suis contre cet aspect technique. \nPour ce qui concerne le trajet de la desserte, je ne comprends pas que le terminus soit à Saint Aubin de Médoc alors que la population la plus nombreuse est en direction de Saint Médard Issac. Il me paraîtrait plus efficient de prolonger la ligne en direction d’Issac et de créer une ligne de rabattement depuis Saint Aubin vers le ligne de BHNS. "]

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Version créée le 24/09/2015 14:30