Bordeaux/Bassins à flot

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+["Tentative de réponses aux arguments lus récemment sur ce site en matière de densité urbaine et de besoins d'identification du quartier.\n\nLa densité n'est pas toujours synonyme de tours de 15 étages et l'identification d'un quartier ne se résume pas forcément à l'édification d'un volume de grande hauteur...\nD'autres formes urbaines plus connues des bordelais sont aussi porteuses de qualités indéniables pour l'émergence d'un urbanisme responsable. \nSe reporter sans hésiter à l'ouvrage COMPLEX'CITE de l'agence d'urbanisme de Bordeaux et son comparatif des formes urbaines de l'agglomération.\n\nPour mémoire, les quartiers d'échoppes identifiés comme les plus denses permettent, entre autres :\n- la constitution facilitée d'une mixité fonctionnelle (habitat / services / activités commerciales et artisanales)\n- la définition d'un espace public partagé et structuré par la continuité des \"façades sur rue\"\n- l’organisation de transports adaptés à tous les types d'usagers dans des espaces hiérarchisés, de différentes échelles\n- des habitations individuelles, isolé des nuisances de la rue, donnant sur des espaces \"intermédiaires\" : balcons, terrasses, jardins privatifs ou non, patios, accès communs et individualisés, venelles\netc\nEn \"poussant\" la forme urbaine dans ses retranchements... il est possible de faire évoluer le quartier d'échoppes et d'organiser des quartiers d'habitat plus innovants. Ceux-ci développent habitat intermédiaire, villas urbaines et petits collectifs, associés à des espaces publics généreux. Privés ou publics, ces derniers intègrent dans leur conception la somme des espaces intermédiaires semi-privatifs, riches d'usages et d'échelles d’appropriation variées que permettent moins les tours.\n\nL'objectif est donc bien de produire une offre diversifiée, adaptée aux moyens, aux besoins et attentes sociales des usagers dans leur pluralité...\n\nAlors effectivement, pourquoi ne pas réfléchir à l'expression d'autres formes de densité urbaine, pourquoi ne pas imaginer des tours à Bordeaux ?\nMais le choix ne sera pas lié à la seule recherche de compacité, mais bien à l'expression de polarités, d'intensification et d’identification urbaine sur des lieux stratégiques pour la ville et l'agglomération.\nEt cela suppose une argumentation sans faille intégrant toutes les problématiques lies à la constitution de la ville : démographie, habitat, socio-économie, transports, gestion de l'eau, formes urbaines…\n\n{Une architecte urbaniste responsable...}"]

+["Tentative de réponses aux arguments lus récemment sur ce site en matière de densité urbaine et de besoins d'identification du quartier.\n\nLa densité n'est pas toujours synonyme de tours de 15 étages et l'identification d'un quartier ne se résume pas forcément à l'édification d'un volume de grande hauteur...\nD'autres formes urbaines plus connues des bordelais sont aussi porteuses de qualités indéniables pour l'émergence d'un urbanisme responsable. \nSe reporter sans hésiter à l'ouvrage COMPLEX'CITE de l'agence d'urbanisme de Bordeaux et son comparatif des formes urbaines de l'agglomération.\n\nPour mémoire, les quartiers d'échoppes identifiés comme les plus denses permettent, entre autres :\n- la constitution facilitée d'une mixité fonctionnelle (habitat / services / activités commerciales et artisanales)\n- la définition d'un espace public partagé et structuré par la continuité des \"façades sur rue\"\n- l’organisation de transports adaptés à tous les types d'usagers dans des espaces hiérarchisés, de différentes échelles\n- des habitations individuelles, isolé des nuisances de la rue, donnant sur des espaces \"intermédiaires\" : balcons, terrasses, jardins privatifs ou non, patios, accès communs et individualisés, venelles\netc\nEn \"poussant\" la forme urbaine dans ses retranchements... il est possible de faire évoluer le quartier d'échoppes et d'organiser des quartiers d'habitat plus innovants. Ceux-ci développent habitat intermédiaire, villas urbaines et petits collectifs, associés à des espaces publics généreux. Privés ou publics, ces derniers intègrent dans leur conception la somme des espaces intermédiaires semi-privatifs, riches d'usages et d'échelles d’appropriation variées que permettent moins les tours.\n\nL'objectif est donc bien de produire une offre diversifiée, adaptée aux moyens, aux besoins et attentes sociales des usagers dans leur pluralité...\n\nAlors effectivement, pourquoi ne pas réfléchir à l'expression d'autres formes de densité urbaine, pourquoi ne pas imaginer des tours à Bordeaux ?\nMais le choix ne sera pas lié à la seule recherche de compacité, mais bien à l'expression de polarités, d'intensification et d’identification urbaine sur des lieux stratégiques pour la ville et l'agglomération.\nEt cela suppose une argumentation sans faille intégrant toutes les problématiques lies à la constitution de la ville : démographie, habitat, socio-économie, transports, gestion de l'eau, formes urbaines…\n\n{Une architecte urbaniste responsable...}"]

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+["Tentative de réponses aux arguments lus récemment sur ce site en matière de densité urbaine et de besoins d'identification du quartier.\n\nLa densité n'est pas toujours synonyme de tours de 15 étages et l'identification d'un quartier ne se résume pas forcément à l'édification d'un volume de grande hauteur...\nD'autres formes urbaines plus connues des bordelais sont aussi porteuses de qualités indéniables pour l'émergence d'un urbanisme responsable. \nSe reporter sans hésiter à l'ouvrage COMPLEX'CITE de l'agence d'urbanisme de Bordeaux et son comparatif des formes urbaines de l'agglomération.\n\nPour mémoire, les quartiers d'échoppes identifiés comme les plus denses permettent, entre autres :\n- la constitution facilitée d'une mixité fonctionnelle (habitat / services / activités commerciales et artisanales)\n- la définition d'un espace public partagé et structuré par la continuité des \"façades sur rue\"\n- l’organisation de transports adaptés à tous les types d'usagers dans des espaces hiérarchisés, de différentes échelles\n- des habitations individuelles, isolé des nuisances de la rue, donnant sur des espaces \"intermédiaires\" : balcons, terrasses, jardins privatifs ou non, patios, accès communs et individualisés, venelles\netc\nEn \"poussant\" la forme urbaine dans ses retranchements... il est possible de faire évoluer le quartier d'échoppes et d'organiser des quartiers d'habitat plus innovants. Ceux-ci développent habitat intermédiaire, villas urbaines et petits collectifs, associés à des espaces publics généreux. Privés ou publics, ces derniers intègrent dans leur conception la somme des espaces intermédiaires semi-privatifs, riches d'usages et d'échelles d’appropriation variées que permettent moins les tours.\n\nL'objectif est donc bien de produire une offre diversifiée, adaptée aux moyens, aux besoins et attentes sociales des usagers dans leur pluralité...\n\nAlors effectivement, pourquoi ne pas réfléchir à l'expression d'autres formes de densité urbaine, pourquoi ne pas imaginer des tours à Bordeaux ?\nMais le choix ne sera pas lié à la seule recherche de compacité, mais bien à l'expression de polarités, d'intensification et d’identification urbaine sur des lieux stratégiques pour la ville et l'agglomération.\nEt cela suppose une argumentation sans faille intégrant toutes les problématiques lies à la constitution de la ville : démographie, habitat, socio-économie, transports, gestion de l'eau, formes urbaines…\n\n{Une architecte urbaniste responsable...}"]

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+["Tentative de réponses aux arguments lus récemment sur ce site en matière de densité urbaine et de besoins d'identification du quartier.\n\nLa densité n'est pas toujours synonyme de tours de 15 étages et l'identification d'un quartier ne se résume pas forcément à l'édification d'un volume de grande hauteur...\nD'autres formes urbaines plus connues des bordelais sont aussi porteuses de qualités indéniables pour l'émergence d'un urbanisme responsable. \nSe reporter sans hésiter à l'ouvrage COMPLEX'CITE de l'agence d'urbanisme de Bordeaux et son comparatif des formes urbaines de l'agglomération.\n\nPour mémoire, les quartiers d'échoppes identifiés comme les plus denses permettent, entre autres :\n- la constitution facilitée d'une mixité fonctionnelle (habitat / services / activités commerciales et artisanales)\n- la définition d'un espace public partagé et structuré par la continuité des \"façades sur rue\"\n- l’organisation de transports adaptés à tous les types d'usagers dans des espaces hiérarchisés, de différentes échelles\n- des habitations individuelles, isolé des nuisances de la rue, donnant sur des espaces \"intermédiaires\" : balcons, terrasses, jardins privatifs ou non, patios, accès communs et individualisés, venelles\netc\nEn \"poussant\" la forme urbaine dans ses retranchements... il est possible de faire évoluer le quartier d'échoppes et d'organiser des quartiers d'habitat plus innovants. Ceux-ci développent habitat intermédiaire, villas urbaines et petits collectifs, associés à des espaces publics généreux. Privés ou publics, ces derniers intègrent dans leur conception la somme des espaces intermédiaires semi-privatifs, riches d'usages et d'échelles d’appropriation variées que permettent moins les tours.\n\nL'objectif est donc bien de produire une offre diversifiée, adaptée aux moyens, aux besoins et attentes sociales des usagers dans leur pluralité...\n\nAlors effectivement, pourquoi ne pas réfléchir à l'expression d'autres formes de densité urbaine, pourquoi ne pas imaginer des tours à Bordeaux ?\nMais le choix ne sera pas lié à la seule recherche de compacité, mais bien à l'expression de polarités, d'intensification et d’identification urbaine sur des lieux stratégiques pour la ville et l'agglomération.\nEt cela suppose une argumentation sans faille intégrant toutes les problématiques lies à la constitution de la ville : démographie, habitat, socio-économie, transports, gestion de l'eau, formes urbaines…\n\n{Une architecte urbaniste responsable...}"]

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Version créée le 11/12/2011 17:32