Télécabine – Projet de transport par câble entre Lormont/Cenon et Bordeaux

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+["Bonjour à toutes et tous,\n\nLe dossier de concertation n’est pas suffisamment convaincant sur l’utilité quotidienne de ce mode de transport en commun. A ce jour combien de déplacements quotidiens et pendulaires entre La Buttinière et la rue Achard ?, les documents ne l’aborde pas. Aucun chiffre sur les déplacements pendulaires en la Buttinière et Bordeaux Maritime. Une telle étude est indispensable et est à joindre au dossier de concertation et avant toute délibération sur un tel investissement. \nLe dossier spécule beaucoup sur les quartiers en devenir de la Zac Lissandre et ZAC du Pont Rouge. Les habitants des quartiers existants et futurs utiliseront-ils régulièrement et de manière quotidienne les télécabines ? Le dossier est dans la politique de l’offre plus que dans l'étude d'un besoin réel, il faut absolument « vendre » les télécabines.\n\nLes durées de maintenance sont sous-estimées, elle sera peut-être de 10 jours les 2 premières années de service mais pour un tel équipement on se situera plus entre 15 et 20 jours d’arrêt annuel pour maintenance, contrôle règlementaires et vérifications de sécurité.\n\nA moins d’un travail architectural très fin et très abouti, il convient de noter que les installations techniques sont ponctuellement assez laides, il suffit d’observer les remontées mécaniques des stations de ski : locaux techniques, machineries, câbleries, pylônes métalliques qui encombrent le paysage et s’opposent à une vue dégagée du ciel. Une installation technique entre le pont Chaban Delmas et la cité du vin serait une erreur.\n\nLes installations sont bruyantes, le dossier parle bien d’installation moins bruyantes que le tram par exemple, mais rien n’indique que les télécabines sont bruyantes en continu : du bruit non - stop dès 5h du matin jusqu’à 1h30 le lendemain.\n\nLe franchissement de la Garonne ne pourra s’améliorer qu’en décuplant le potentiel de traversée des BAT3.\n\nPersonnellement je trouve le projet plus proche de l'installation de loisir ou de l’attraction touristique que d’un mode de transport en commun utile au quotidien.\n\nSi un tel projet devait se faire, le trajet R3 serait à retenir il permet de recentrer l’arrêt télécabine vers le quartier Claveau Brandenburg et s’avance le plus loin dans Lormont au niveau de l’hyper marché, cela permettrait peut-être de rétrocéder et mutualiser les parkings imperméabilisés de l’hypermarché. En tout état de cause les télécabines devront permettre d’embarquer au moins 8 vélos.\n"]

+["Bonjour à toutes et tous,\n\nLe dossier de concertation n’est pas suffisamment convaincant sur l’utilité quotidienne de ce mode de transport en commun. A ce jour combien de déplacements quotidiens et pendulaires entre La Buttinière et la rue Achard ?, les documents ne l’aborde pas. Aucun chiffre sur les déplacements pendulaires en la Buttinière et Bordeaux Maritime. Une telle étude est indispensable et est à joindre au dossier de concertation et avant toute délibération sur un tel investissement. \nLe dossier spécule beaucoup sur les quartiers en devenir de la Zac Lissandre et ZAC du Pont Rouge. Les habitants des quartiers existants et futurs utiliseront-ils régulièrement et de manière quotidienne les télécabines ? Le dossier est dans la politique de l’offre plus que dans l'étude d'un besoin réel, il faut absolument « vendre » les télécabines.\n\nLes durées de maintenance sont sous-estimées, elle sera peut-être de 10 jours les 2 premières années de service mais pour un tel équipement on se situera plus entre 15 et 20 jours d’arrêt annuel pour maintenance, contrôle règlementaires et vérifications de sécurité.\n\nA moins d’un travail architectural très fin et très abouti, il convient de noter que les installations techniques sont ponctuellement assez laides, il suffit d’observer les remontées mécaniques des stations de ski : locaux techniques, machineries, câbleries, pylônes métalliques qui encombrent le paysage et s’opposent à une vue dégagée du ciel. Une installation technique entre le pont Chaban Delmas et la cité du vin serait une erreur.\n\nLes installations sont bruyantes, le dossier parle bien d’installation moins bruyantes que le tram par exemple, mais rien n’indique que les télécabines sont bruyantes en continu : du bruit non - stop dès 5h du matin jusqu’à 1h30 le lendemain.\n\nLe franchissement de la Garonne ne pourra s’améliorer qu’en décuplant le potentiel de traversée des BAT3.\n\nPersonnellement je trouve le projet plus proche de l'installation de loisir ou de l’attraction touristique que d’un mode de transport en commun utile au quotidien.\n\nSi un tel projet devait se faire, le trajet R3 serait à retenir il permet de recentrer l’arrêt télécabine vers le quartier Claveau Brandenburg et s’avance le plus loin dans Lormont au niveau de l’hyper marché, cela permettrait peut-être de rétrocéder et mutualiser les parkings imperméabilisés de l’hypermarché. En tout état de cause les télécabines devront permettre d’embarquer au moins 8 vélos.\n"]

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+["Bonjour à toutes et tous,\n\nLe dossier de concertation n’est pas suffisamment convaincant sur l’utilité quotidienne de ce mode de transport en commun. A ce jour combien de déplacements quotidiens et pendulaires entre La Buttinière et la rue Achard ?, les documents ne l’aborde pas. Aucun chiffre sur les déplacements pendulaires en la Buttinière et Bordeaux Maritime. Une telle étude est indispensable et est à joindre au dossier de concertation et avant toute délibération sur un tel investissement. \nLe dossier spécule beaucoup sur les quartiers en devenir de la Zac Lissandre et ZAC du Pont Rouge. Les habitants des quartiers existants et futurs utiliseront-ils régulièrement et de manière quotidienne les télécabines ? Le dossier est dans la politique de l’offre plus que dans l'étude d'un besoin réel, il faut absolument « vendre » les télécabines.\n\nLes durées de maintenance sont sous-estimées, elle sera peut-être de 10 jours les 2 premières années de service mais pour un tel équipement on se situera plus entre 15 et 20 jours d’arrêt annuel pour maintenance, contrôle règlementaires et vérifications de sécurité.\n\nA moins d’un travail architectural très fin et très abouti, il convient de noter que les installations techniques sont ponctuellement assez laides, il suffit d’observer les remontées mécaniques des stations de ski : locaux techniques, machineries, câbleries, pylônes métalliques qui encombrent le paysage et s’opposent à une vue dégagée du ciel. Une installation technique entre le pont Chaban Delmas et la cité du vin serait une erreur.\n\nLes installations sont bruyantes, le dossier parle bien d’installation moins bruyantes que le tram par exemple, mais rien n’indique que les télécabines sont bruyantes en continu : du bruit non - stop dès 5h du matin jusqu’à 1h30 le lendemain.\n\nLe franchissement de la Garonne ne pourra s’améliorer qu’en décuplant le potentiel de traversée des BAT3.\n\nPersonnellement je trouve le projet plus proche de l'installation de loisir ou de l’attraction touristique que d’un mode de transport en commun utile au quotidien.\n\nSi un tel projet devait se faire, le trajet R3 serait à retenir il permet de recentrer l’arrêt télécabine vers le quartier Claveau Brandenburg et s’avance le plus loin dans Lormont au niveau de l’hyper marché, cela permettrait peut-être de rétrocéder et mutualiser les parkings imperméabilisés de l’hypermarché. En tout état de cause les télécabines devront permettre d’embarquer au moins 8 vélos.\n"]

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+["Bonjour à toutes et tous,\n\nLe dossier de concertation n’est pas suffisamment convaincant sur l’utilité quotidienne de ce mode de transport en commun. A ce jour combien de déplacements quotidiens et pendulaires entre La Buttinière et la rue Achard ?, les documents ne l’aborde pas. Aucun chiffre sur les déplacements pendulaires en la Buttinière et Bordeaux Maritime. Une telle étude est indispensable et est à joindre au dossier de concertation et avant toute délibération sur un tel investissement. \nLe dossier spécule beaucoup sur les quartiers en devenir de la Zac Lissandre et ZAC du Pont Rouge. Les habitants des quartiers existants et futurs utiliseront-ils régulièrement et de manière quotidienne les télécabines ? Le dossier est dans la politique de l’offre plus que dans l'étude d'un besoin réel, il faut absolument « vendre » les télécabines.\n\nLes durées de maintenance sont sous-estimées, elle sera peut-être de 10 jours les 2 premières années de service mais pour un tel équipement on se situera plus entre 15 et 20 jours d’arrêt annuel pour maintenance, contrôle règlementaires et vérifications de sécurité.\n\nA moins d’un travail architectural très fin et très abouti, il convient de noter que les installations techniques sont ponctuellement assez laides, il suffit d’observer les remontées mécaniques des stations de ski : locaux techniques, machineries, câbleries, pylônes métalliques qui encombrent le paysage et s’opposent à une vue dégagée du ciel. Une installation technique entre le pont Chaban Delmas et la cité du vin serait une erreur.\n\nLes installations sont bruyantes, le dossier parle bien d’installation moins bruyantes que le tram par exemple, mais rien n’indique que les télécabines sont bruyantes en continu : du bruit non - stop dès 5h du matin jusqu’à 1h30 le lendemain.\n\nLe franchissement de la Garonne ne pourra s’améliorer qu’en décuplant le potentiel de traversée des BAT3.\n\nPersonnellement je trouve le projet plus proche de l'installation de loisir ou de l’attraction touristique que d’un mode de transport en commun utile au quotidien.\n\nSi un tel projet devait se faire, le trajet R3 serait à retenir il permet de recentrer l’arrêt télécabine vers le quartier Claveau Brandenburg et s’avance le plus loin dans Lormont au niveau de l’hyper marché, cela permettrait peut-être de rétrocéder et mutualiser les parkings imperméabilisés de l’hypermarché. En tout état de cause les télécabines devront permettre d’embarquer au moins 8 vélos.\n"]

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Version créée le 30/11/2022 13:49