Création de cheminements doux (piétons / cycles) le long de l’avenue du Maréchal de Lattre de Tassigny à Pessac

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+["Pour le groupe EELV de Pessac\n\nIl est tout à fait louable que la municipalité de Cestas ait réalisé une piste cyclable entre le Chemin des Sources et le Chemin de Lou Licot sur 2 km. Elle a cependant été réalisée sans tenir compte du code de la route et des recommandations du CEREMA, imposant un arrêt complet au cycliste tous les 200 m, y compris au droit de trois entrées privées, et oblige le cycliste à emprunter cette infrastructure (panneau B22a). De plus, son tracé aux intersections contraint souvent les cyclistes à contourner les camions et les voitures qui attendent de s'insérer dans la circulation, ou à attendre un long moment que ces véhicules dégagent le passage.\nLe projet de piste cyclable/voie verte présenté ici devrait au contraire favoriser la circulation des piétons et cyclistes. Il faut juste bien s'assurer que les cyclistes ont priorité sur les voitures des voies latérales si l'infrastructure est classée en voie verte. Et que d'éventuels dispositif interdisant l'accès des voitures ne soient pas dangereux pour les cyclistes comme c'est le cas sur la nouvelle piste de Cestas. En revanche, ce qui est vraiment gênant, c'est que sur un trajet entre de la rue des Provinces et Pierroton, le cycliste devra obligatoirement traverser deux fois la RN1250 et son trafic motorisé intense, ce qui est dangereux, inutile et pénalisant en terme de temps de trajet, qui plus est sur des passages piétons et pas au niveau d'un rond point. Sur un axe de ce type, très peu d'automobilistes laissent la priorité aux piétons et aux cyclistes au droit d'un passage piéton. Mais le vélo est malheureusement considéré comme un mode de déplacement secondaire, avec des infrastructures qui se construisent petit à petit, de façon parcellaire et peu coordonnée, en fonction des limites communales. À l'inverse, le tram, lui, bénéficie de projets d'ensemble. \nCompte tenu d'une fréquentation qui devrait être faible, il vaudrait mieux, si le projet se fait, choisir l'option la moins chère, raccordement au niveau du chemin des sources et voie verte uniquement.\nCe qui pose problème dans ce projet, c'est qu'il n'est pas replacé dans la politique de déplacements de la Métropole et il ne donne aucune idée de la fréquentation prévue, de l'accidentologie, ni du type de cyclistes qui vont l'emprunter alors qu'il double sur 1,1 km une infrastructure cyclable (bandes cyclables) déjà existante. Même s'il s'agit de favoriser les déplacements autonomes des enfants, l'aménagement prévu ne sera pas adapté, du fait des traversées de la nationale et des entrées-sorties de la zone industrielle. \nDans une vision d'ensemble des déplacements à vélo sur la métropole et à Pessac, il faut donner la priorité à rendre rapides, continus et sûrs, les itinéraires les plus fréquentés, proches de Bordeaux Centre, hypercentre où la voiture n'est déjà plus qu'un mode de déplacement mineur, et ne pas refaire un aménagement cyclable là où il y en a déjà un. \nSur Pessac, l'urgence est d'aménager le carrefour de l'Alouette, le passage du centre ville, le tronçon entre le Leclerc et la rue Clément Ader, car la route d'Arcachon reste l'itinéraire radial le plus direct et le plus fréquenté par les cyclistes. L'urgence est aussi d'aménager la zone d'activité Bersol, car plusieurs cyclistes y ont été tués par des camions et cette zone comporte 18000 emplois, elle est complètement saturée de voitures car l'accès piétons, vélo et transports en commun est peu attractif. \nInvestir 2 millions d'euros dans une piste en zone périphérique alors que le budget annuel des plans cyclables pour toute la Métropole est de l'ordre de 10 millions d'euros ne nous paraît donc pas très judicieux. Dans l'attente d'un plan vélo métropolitain avec un budget à la hauteur, nous proposons de voir si on ne peut pas dès à présent améliorer l'existant, à la place de ce projet : plutôt rénover le revêtement des pistes cyclables entre la rue de la Poudrière et la rue du Temps Passé, là où c'est nécessaire, améliorer le passage des piétons côté Cestas et tracer des bandes cyclables sur la chaussée existante entre l'Avenue du Temps Passé et le Chemin des Sources, ce qui éviterait deux traversées des deux voies de la RN1250 dans un sens. Et cela éviterait les alignements de propriétés et l'artificialisation du sol et rendrait la RD1250 moins roulante pour les motorisés. Ces améliorations pourraient et devraient être faites rapidement, ce qui conviendrait probablement aux principaux usagers de ce tronçon, les cyclo-sportifs et les vélo-taffeurs. Dans cet intervalle de temps, les cyclistes peu aguerris peuvent passer dans le lotissement Chantebois, pour certains trajets.\n\nFrédéric Danjon"]

+["Pour le groupe EELV de Pessac\n\nIl est tout à fait louable que la municipalité de Cestas ait réalisé une piste cyclable entre le Chemin des Sources et le Chemin de Lou Licot sur 2 km. Elle a cependant été réalisée sans tenir compte du code de la route et des recommandations du CEREMA, imposant un arrêt complet au cycliste tous les 200 m, y compris au droit de trois entrées privées, et oblige le cycliste à emprunter cette infrastructure (panneau B22a). De plus, son tracé aux intersections contraint souvent les cyclistes à contourner les camions et les voitures qui attendent de s'insérer dans la circulation, ou à attendre un long moment que ces véhicules dégagent le passage.\nLe projet de piste cyclable/voie verte présenté ici devrait au contraire favoriser la circulation des piétons et cyclistes. Il faut juste bien s'assurer que les cyclistes ont priorité sur les voitures des voies latérales si l'infrastructure est classée en voie verte. Et que d'éventuels dispositif interdisant l'accès des voitures ne soient pas dangereux pour les cyclistes comme c'est le cas sur la nouvelle piste de Cestas. En revanche, ce qui est vraiment gênant, c'est que sur un trajet entre de la rue des Provinces et Pierroton, le cycliste devra obligatoirement traverser deux fois la RN1250 et son trafic motorisé intense, ce qui est dangereux, inutile et pénalisant en terme de temps de trajet, qui plus est sur des passages piétons et pas au niveau d'un rond point. Sur un axe de ce type, très peu d'automobilistes laissent la priorité aux piétons et aux cyclistes au droit d'un passage piéton. Mais le vélo est malheureusement considéré comme un mode de déplacement secondaire, avec des infrastructures qui se construisent petit à petit, de façon parcellaire et peu coordonnée, en fonction des limites communales. À l'inverse, le tram, lui, bénéficie de projets d'ensemble. \nCompte tenu d'une fréquentation qui devrait être faible, il vaudrait mieux, si le projet se fait, choisir l'option la moins chère, raccordement au niveau du chemin des sources et voie verte uniquement.\nCe qui pose problème dans ce projet, c'est qu'il n'est pas replacé dans la politique de déplacements de la Métropole et il ne donne aucune idée de la fréquentation prévue, de l'accidentologie, ni du type de cyclistes qui vont l'emprunter alors qu'il double sur 1,1 km une infrastructure cyclable (bandes cyclables) déjà existante. Même s'il s'agit de favoriser les déplacements autonomes des enfants, l'aménagement prévu ne sera pas adapté, du fait des traversées de la nationale et des entrées-sorties de la zone industrielle. \nDans une vision d'ensemble des déplacements à vélo sur la métropole et à Pessac, il faut donner la priorité à rendre rapides, continus et sûrs, les itinéraires les plus fréquentés, proches de Bordeaux Centre, hypercentre où la voiture n'est déjà plus qu'un mode de déplacement mineur, et ne pas refaire un aménagement cyclable là où il y en a déjà un. \nSur Pessac, l'urgence est d'aménager le carrefour de l'Alouette, le passage du centre ville, le tronçon entre le Leclerc et la rue Clément Ader, car la route d'Arcachon reste l'itinéraire radial le plus direct et le plus fréquenté par les cyclistes. L'urgence est aussi d'aménager la zone d'activité Bersol, car plusieurs cyclistes y ont été tués par des camions et cette zone comporte 18000 emplois, elle est complètement saturée de voitures car l'accès piétons, vélo et transports en commun est peu attractif. \nInvestir 2 millions d'euros dans une piste en zone périphérique alors que le budget annuel des plans cyclables pour toute la Métropole est de l'ordre de 10 millions d'euros ne nous paraît donc pas très judicieux. Dans l'attente d'un plan vélo métropolitain avec un budget à la hauteur, nous proposons de voir si on ne peut pas dès à présent améliorer l'existant, à la place de ce projet : plutôt rénover le revêtement des pistes cyclables entre la rue de la Poudrière et la rue du Temps Passé, là où c'est nécessaire, améliorer le passage des piétons côté Cestas et tracer des bandes cyclables sur la chaussée existante entre l'Avenue du Temps Passé et le Chemin des Sources, ce qui éviterait deux traversées des deux voies de la RN1250 dans un sens. Et cela éviterait les alignements de propriétés et l'artificialisation du sol et rendrait la RD1250 moins roulante pour les motorisés. Ces améliorations pourraient et devraient être faites rapidement, ce qui conviendrait probablement aux principaux usagers de ce tronçon, les cyclo-sportifs et les vélo-taffeurs. Dans cet intervalle de temps, les cyclistes peu aguerris peuvent passer dans le lotissement Chantebois, pour certains trajets.\n\nFrédéric Danjon"]

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+["Pour le groupe EELV de Pessac\n\nIl est tout à fait louable que la municipalité de Cestas ait réalisé une piste cyclable entre le Chemin des Sources et le Chemin de Lou Licot sur 2 km. Elle a cependant été réalisée sans tenir compte du code de la route et des recommandations du CEREMA, imposant un arrêt complet au cycliste tous les 200 m, y compris au droit de trois entrées privées, et oblige le cycliste à emprunter cette infrastructure (panneau B22a). De plus, son tracé aux intersections contraint souvent les cyclistes à contourner les camions et les voitures qui attendent de s'insérer dans la circulation, ou à attendre un long moment que ces véhicules dégagent le passage.\nLe projet de piste cyclable/voie verte présenté ici devrait au contraire favoriser la circulation des piétons et cyclistes. Il faut juste bien s'assurer que les cyclistes ont priorité sur les voitures des voies latérales si l'infrastructure est classée en voie verte. Et que d'éventuels dispositif interdisant l'accès des voitures ne soient pas dangereux pour les cyclistes comme c'est le cas sur la nouvelle piste de Cestas. En revanche, ce qui est vraiment gênant, c'est que sur un trajet entre de la rue des Provinces et Pierroton, le cycliste devra obligatoirement traverser deux fois la RN1250 et son trafic motorisé intense, ce qui est dangereux, inutile et pénalisant en terme de temps de trajet, qui plus est sur des passages piétons et pas au niveau d'un rond point. Sur un axe de ce type, très peu d'automobilistes laissent la priorité aux piétons et aux cyclistes au droit d'un passage piéton. Mais le vélo est malheureusement considéré comme un mode de déplacement secondaire, avec des infrastructures qui se construisent petit à petit, de façon parcellaire et peu coordonnée, en fonction des limites communales. À l'inverse, le tram, lui, bénéficie de projets d'ensemble. \nCompte tenu d'une fréquentation qui devrait être faible, il vaudrait mieux, si le projet se fait, choisir l'option la moins chère, raccordement au niveau du chemin des sources et voie verte uniquement.\nCe qui pose problème dans ce projet, c'est qu'il n'est pas replacé dans la politique de déplacements de la Métropole et il ne donne aucune idée de la fréquentation prévue, de l'accidentologie, ni du type de cyclistes qui vont l'emprunter alors qu'il double sur 1,1 km une infrastructure cyclable (bandes cyclables) déjà existante. Même s'il s'agit de favoriser les déplacements autonomes des enfants, l'aménagement prévu ne sera pas adapté, du fait des traversées de la nationale et des entrées-sorties de la zone industrielle. \nDans une vision d'ensemble des déplacements à vélo sur la métropole et à Pessac, il faut donner la priorité à rendre rapides, continus et sûrs, les itinéraires les plus fréquentés, proches de Bordeaux Centre, hypercentre où la voiture n'est déjà plus qu'un mode de déplacement mineur, et ne pas refaire un aménagement cyclable là où il y en a déjà un. \nSur Pessac, l'urgence est d'aménager le carrefour de l'Alouette, le passage du centre ville, le tronçon entre le Leclerc et la rue Clément Ader, car la route d'Arcachon reste l'itinéraire radial le plus direct et le plus fréquenté par les cyclistes. L'urgence est aussi d'aménager la zone d'activité Bersol, car plusieurs cyclistes y ont été tués par des camions et cette zone comporte 18000 emplois, elle est complètement saturée de voitures car l'accès piétons, vélo et transports en commun est peu attractif. \nInvestir 2 millions d'euros dans une piste en zone périphérique alors que le budget annuel des plans cyclables pour toute la Métropole est de l'ordre de 10 millions d'euros ne nous paraît donc pas très judicieux. Dans l'attente d'un plan vélo métropolitain avec un budget à la hauteur, nous proposons de voir si on ne peut pas dès à présent améliorer l'existant, à la place de ce projet : plutôt rénover le revêtement des pistes cyclables entre la rue de la Poudrière et la rue du Temps Passé, là où c'est nécessaire, améliorer le passage des piétons côté Cestas et tracer des bandes cyclables sur la chaussée existante entre l'Avenue du Temps Passé et le Chemin des Sources, ce qui éviterait deux traversées des deux voies de la RN1250 dans un sens. Et cela éviterait les alignements de propriétés et l'artificialisation du sol et rendrait la RD1250 moins roulante pour les motorisés. Ces améliorations pourraient et devraient être faites rapidement, ce qui conviendrait probablement aux principaux usagers de ce tronçon, les cyclo-sportifs et les vélo-taffeurs. Dans cet intervalle de temps, les cyclistes peu aguerris peuvent passer dans le lotissement Chantebois, pour certains trajets.\n\nFrédéric Danjon"]

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+["Pour le groupe EELV de Pessac\n\nIl est tout à fait louable que la municipalité de Cestas ait réalisé une piste cyclable entre le Chemin des Sources et le Chemin de Lou Licot sur 2 km. Elle a cependant été réalisée sans tenir compte du code de la route et des recommandations du CEREMA, imposant un arrêt complet au cycliste tous les 200 m, y compris au droit de trois entrées privées, et oblige le cycliste à emprunter cette infrastructure (panneau B22a). De plus, son tracé aux intersections contraint souvent les cyclistes à contourner les camions et les voitures qui attendent de s'insérer dans la circulation, ou à attendre un long moment que ces véhicules dégagent le passage.\nLe projet de piste cyclable/voie verte présenté ici devrait au contraire favoriser la circulation des piétons et cyclistes. Il faut juste bien s'assurer que les cyclistes ont priorité sur les voitures des voies latérales si l'infrastructure est classée en voie verte. Et que d'éventuels dispositif interdisant l'accès des voitures ne soient pas dangereux pour les cyclistes comme c'est le cas sur la nouvelle piste de Cestas. En revanche, ce qui est vraiment gênant, c'est que sur un trajet entre de la rue des Provinces et Pierroton, le cycliste devra obligatoirement traverser deux fois la RN1250 et son trafic motorisé intense, ce qui est dangereux, inutile et pénalisant en terme de temps de trajet, qui plus est sur des passages piétons et pas au niveau d'un rond point. Sur un axe de ce type, très peu d'automobilistes laissent la priorité aux piétons et aux cyclistes au droit d'un passage piéton. Mais le vélo est malheureusement considéré comme un mode de déplacement secondaire, avec des infrastructures qui se construisent petit à petit, de façon parcellaire et peu coordonnée, en fonction des limites communales. À l'inverse, le tram, lui, bénéficie de projets d'ensemble. \nCompte tenu d'une fréquentation qui devrait être faible, il vaudrait mieux, si le projet se fait, choisir l'option la moins chère, raccordement au niveau du chemin des sources et voie verte uniquement.\nCe qui pose problème dans ce projet, c'est qu'il n'est pas replacé dans la politique de déplacements de la Métropole et il ne donne aucune idée de la fréquentation prévue, de l'accidentologie, ni du type de cyclistes qui vont l'emprunter alors qu'il double sur 1,1 km une infrastructure cyclable (bandes cyclables) déjà existante. Même s'il s'agit de favoriser les déplacements autonomes des enfants, l'aménagement prévu ne sera pas adapté, du fait des traversées de la nationale et des entrées-sorties de la zone industrielle. \nDans une vision d'ensemble des déplacements à vélo sur la métropole et à Pessac, il faut donner la priorité à rendre rapides, continus et sûrs, les itinéraires les plus fréquentés, proches de Bordeaux Centre, hypercentre où la voiture n'est déjà plus qu'un mode de déplacement mineur, et ne pas refaire un aménagement cyclable là où il y en a déjà un. \nSur Pessac, l'urgence est d'aménager le carrefour de l'Alouette, le passage du centre ville, le tronçon entre le Leclerc et la rue Clément Ader, car la route d'Arcachon reste l'itinéraire radial le plus direct et le plus fréquenté par les cyclistes. L'urgence est aussi d'aménager la zone d'activité Bersol, car plusieurs cyclistes y ont été tués par des camions et cette zone comporte 18000 emplois, elle est complètement saturée de voitures car l'accès piétons, vélo et transports en commun est peu attractif. \nInvestir 2 millions d'euros dans une piste en zone périphérique alors que le budget annuel des plans cyclables pour toute la Métropole est de l'ordre de 10 millions d'euros ne nous paraît donc pas très judicieux. Dans l'attente d'un plan vélo métropolitain avec un budget à la hauteur, nous proposons de voir si on ne peut pas dès à présent améliorer l'existant, à la place de ce projet : plutôt rénover le revêtement des pistes cyclables entre la rue de la Poudrière et la rue du Temps Passé, là où c'est nécessaire, améliorer le passage des piétons côté Cestas et tracer des bandes cyclables sur la chaussée existante entre l'Avenue du Temps Passé et le Chemin des Sources, ce qui éviterait deux traversées des deux voies de la RN1250 dans un sens. Et cela éviterait les alignements de propriétés et l'artificialisation du sol et rendrait la RD1250 moins roulante pour les motorisés. Ces améliorations pourraient et devraient être faites rapidement, ce qui conviendrait probablement aux principaux usagers de ce tronçon, les cyclo-sportifs et les vélo-taffeurs. Dans cet intervalle de temps, les cyclistes peu aguerris peuvent passer dans le lotissement Chantebois, pour certains trajets.\n\nFrédéric Danjon"]

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Version créée le 22/11/2019 16:19