Extension du tram B vers le centre - ville de Gradignan

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Changements sur "Le tram à Gradignan et la"

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+{"fr"=>"Le tram à Gradignan et la"}

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+["Le tram à Gradignan et la biodiversité\n\nLa biodiversité est ces jours-ci sur le devant de la scène et tous les acteurs mettent en avant l'impératif de sa conservation si ce n'est sa restauration. A tous les niveaux. A tous les niveaux ? La politique métropolitaine bordelaise est-elle en phase avec ces objectifs ?\n\nLe projet de tram à Gradignan respecte-il la biodiversité ?\n\nLe tracé tel qu'il est défini (en fait imposé) détruit par lui-même des espaces verts (au moins 10.000 m²). Supprime des jardins par expropriation, avenue Favard (surface non précisée). Détruit 130 arbres entre Laurenzane et le collège Monjous ( rien que des arbres au moins cinquantenaires, sept platanes multi-centenaires de l'allée historique du château de Laurenzane, tous les beaux arbres anciens face au collège, un cèdre remarquable sur la résidence Martinon). Ces destructions seront-elles compensées par des plantations équivalentes dans les landes de Gascogne comme pour le projet immobilier sur le parc du château Saint-Albe ? Le dossier reconnait entre le collège et Laurenzane \"un enjeu pour la faune car l'ensemble forme un corridor boisé\". Tant pis pour le corridor !\n\nLa réalisation d'un tram est intimement liée à la densification de l'habitat autour de son tracé. Les espaces non encore urbanisés sont disponibles en bout de tracé. A Beausoleil. En 2016, le PLU a déclassé plusieurs dizaines d'hectares d'espaces boisés et naturels au sud de la commune et les a rendu constructibles. A Villenave-d'Ornon, l'urbanisation nouvelle s'est étendue au sud du nouveau terminus de la ligne C, sur plus de 1 km sur l'avenue des Pyrénées, avec plusieurs centaines de logements en cours de construction. A Gradignan, la délibération du Conseil municipal du 17 octobre 2016 justifie la création de la ZAC (1000 logements en centre-ville) par l' \"arrivée du Transport en Commun en Site Propre (TCSP)\". Cette ZAC va détruire 11 hectares d'espaces verts et boisés sur les secteurs de la Clairière et de la Cité-Jardin. Sans compter les jardins qui vont être bétonnés route de Léognan et allée des Pins. Aucune étude d'impact environnemental n'a été réalisée sur la destruction de ces 11 hectares de nature.\n\nLe projet de tram à Gradignan ne respecte pas la biodiversité.\nL'animalus tramophilus survivra bien !"]

+["Le tram à Gradignan et la biodiversité\n\nLa biodiversité est ces jours-ci sur le devant de la scène et tous les acteurs mettent en avant l'impératif de sa conservation si ce n'est sa restauration. A tous les niveaux. A tous les niveaux ? La politique métropolitaine bordelaise est-elle en phase avec ces objectifs ?\n\nLe projet de tram à Gradignan respecte-il la biodiversité ?\n\nLe tracé tel qu'il est défini (en fait imposé) détruit par lui-même des espaces verts (au moins 10.000 m²). Supprime des jardins par expropriation, avenue Favard (surface non précisée). Détruit 130 arbres entre Laurenzane et le collège Monjous ( rien que des arbres au moins cinquantenaires, sept platanes multi-centenaires de l'allée historique du château de Laurenzane, tous les beaux arbres anciens face au collège, un cèdre remarquable sur la résidence Martinon). Ces destructions seront-elles compensées par des plantations équivalentes dans les landes de Gascogne comme pour le projet immobilier sur le parc du château Saint-Albe ? Le dossier reconnait entre le collège et Laurenzane \"un enjeu pour la faune car l'ensemble forme un corridor boisé\". Tant pis pour le corridor !\n\nLa réalisation d'un tram est intimement liée à la densification de l'habitat autour de son tracé. Les espaces non encore urbanisés sont disponibles en bout de tracé. A Beausoleil. En 2016, le PLU a déclassé plusieurs dizaines d'hectares d'espaces boisés et naturels au sud de la commune et les a rendu constructibles. A Villenave-d'Ornon, l'urbanisation nouvelle s'est étendue au sud du nouveau terminus de la ligne C, sur plus de 1 km sur l'avenue des Pyrénées, avec plusieurs centaines de logements en cours de construction. A Gradignan, la délibération du Conseil municipal du 17 octobre 2016 justifie la création de la ZAC (1000 logements en centre-ville) par l' \"arrivée du Transport en Commun en Site Propre (TCSP)\". Cette ZAC va détruire 11 hectares d'espaces verts et boisés sur les secteurs de la Clairière et de la Cité-Jardin. Sans compter les jardins qui vont être bétonnés route de Léognan et allée des Pins. Aucune étude d'impact environnemental n'a été réalisée sur la destruction de ces 11 hectares de nature.\n\nLe projet de tram à Gradignan ne respecte pas la biodiversité.\nL'animalus tramophilus survivra bien !"]

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+["Le tram à Gradignan et la biodiversité\n\nLa biodiversité est ces jours-ci sur le devant de la scène et tous les acteurs mettent en avant l'impératif de sa conservation si ce n'est sa restauration. A tous les niveaux. A tous les niveaux ? La politique métropolitaine bordelaise est-elle en phase avec ces objectifs ?\n\nLe projet de tram à Gradignan respecte-il la biodiversité ?\n\nLe tracé tel qu'il est défini (en fait imposé) détruit par lui-même des espaces verts (au moins 10.000 m²). Supprime des jardins par expropriation, avenue Favard (surface non précisée). Détruit 130 arbres entre Laurenzane et le collège Monjous ( rien que des arbres au moins cinquantenaires, sept platanes multi-centenaires de l'allée historique du château de Laurenzane, tous les beaux arbres anciens face au collège, un cèdre remarquable sur la résidence Martinon). Ces destructions seront-elles compensées par des plantations équivalentes dans les landes de Gascogne comme pour le projet immobilier sur le parc du château Saint-Albe ? Le dossier reconnait entre le collège et Laurenzane \"un enjeu pour la faune car l'ensemble forme un corridor boisé\". Tant pis pour le corridor !\n\nLa réalisation d'un tram est intimement liée à la densification de l'habitat autour de son tracé. Les espaces non encore urbanisés sont disponibles en bout de tracé. A Beausoleil. En 2016, le PLU a déclassé plusieurs dizaines d'hectares d'espaces boisés et naturels au sud de la commune et les a rendu constructibles. A Villenave-d'Ornon, l'urbanisation nouvelle s'est étendue au sud du nouveau terminus de la ligne C, sur plus de 1 km sur l'avenue des Pyrénées, avec plusieurs centaines de logements en cours de construction. A Gradignan, la délibération du Conseil municipal du 17 octobre 2016 justifie la création de la ZAC (1000 logements en centre-ville) par l' \"arrivée du Transport en Commun en Site Propre (TCSP)\". Cette ZAC va détruire 11 hectares d'espaces verts et boisés sur les secteurs de la Clairière et de la Cité-Jardin. Sans compter les jardins qui vont être bétonnés route de Léognan et allée des Pins. Aucune étude d'impact environnemental n'a été réalisée sur la destruction de ces 11 hectares de nature.\n\nLe projet de tram à Gradignan ne respecte pas la biodiversité.\nL'animalus tramophilus survivra bien !"]

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+["Le tram à Gradignan et la biodiversité\n\nLa biodiversité est ces jours-ci sur le devant de la scène et tous les acteurs mettent en avant l'impératif de sa conservation si ce n'est sa restauration. A tous les niveaux. A tous les niveaux ? La politique métropolitaine bordelaise est-elle en phase avec ces objectifs ?\n\nLe projet de tram à Gradignan respecte-il la biodiversité ?\n\nLe tracé tel qu'il est défini (en fait imposé) détruit par lui-même des espaces verts (au moins 10.000 m²). Supprime des jardins par expropriation, avenue Favard (surface non précisée). Détruit 130 arbres entre Laurenzane et le collège Monjous ( rien que des arbres au moins cinquantenaires, sept platanes multi-centenaires de l'allée historique du château de Laurenzane, tous les beaux arbres anciens face au collège, un cèdre remarquable sur la résidence Martinon). Ces destructions seront-elles compensées par des plantations équivalentes dans les landes de Gascogne comme pour le projet immobilier sur le parc du château Saint-Albe ? Le dossier reconnait entre le collège et Laurenzane \"un enjeu pour la faune car l'ensemble forme un corridor boisé\". Tant pis pour le corridor !\n\nLa réalisation d'un tram est intimement liée à la densification de l'habitat autour de son tracé. Les espaces non encore urbanisés sont disponibles en bout de tracé. A Beausoleil. En 2016, le PLU a déclassé plusieurs dizaines d'hectares d'espaces boisés et naturels au sud de la commune et les a rendu constructibles. A Villenave-d'Ornon, l'urbanisation nouvelle s'est étendue au sud du nouveau terminus de la ligne C, sur plus de 1 km sur l'avenue des Pyrénées, avec plusieurs centaines de logements en cours de construction. A Gradignan, la délibération du Conseil municipal du 17 octobre 2016 justifie la création de la ZAC (1000 logements en centre-ville) par l' \"arrivée du Transport en Commun en Site Propre (TCSP)\". Cette ZAC va détruire 11 hectares d'espaces verts et boisés sur les secteurs de la Clairière et de la Cité-Jardin. Sans compter les jardins qui vont être bétonnés route de Léognan et allée des Pins. Aucune étude d'impact environnemental n'a été réalisée sur la destruction de ces 11 hectares de nature.\n\nLe projet de tram à Gradignan ne respecte pas la biodiversité.\nL'animalus tramophilus survivra bien !"]

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Version créée le 08/05/2019 17:43