Extension du tram B vers le centre - ville de Gradignan

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+{"fr"=>"Le tram à Gradignan"}

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+["\nLe tram à Gradignan \nGradignan et Talence méritent mieux qu’un projet croupion.\n\nProjet croupion car résultant de l’explosion en vol d’un projet beaucoup plus vaste, véritable projet d’agglomération, murement réfléchi et concerté, de plus inscrit au SDOM, d’une ligne nouvelle transversale reliant Gradignan à la gare de Cenon sans passer par le centre de Bordeaux (Est-ce là son péché originel qui – pour certains - condamnait ce projet) mais par la gare de la Médoquine et Pellegrin avec son Campus de Carrère puis par les boulevards pour rejoindre la rive droite à Cenon-gare. \n\nProjet croupion car on se retrouve désormais avec deux microprojets complémentaires faisant cependant l’objet de concertations distinctes l’un consistant en un tramway en gros du Campus Montaigne-Montesquieu vers Gradignan et l’autre en un bus de Pellegrin vers Talence Thouars puis Gradignan. Cela ressemble à des lots de consolation offerts aux élus concernés. Seul le microprojet de tramway vers Gradignan sera examiné ici. Voilà ce qui reste pratiquement du projet initial.\n\nProjet croupion car fondé sur un débranchement de la ligne B, en amont de l’arrêt partiel Montaigne-Montesquieu, déjà saturée desservant essentiellement le Campus (qui double la population de Pessac) sachant que la branche Alouette « irrigue » aussi le CHU groupe Sud (Haut-Lévêque et Xavier Arnozan) et accessoirement les deux centralités de Pessac (la principale celle du centre et la secondaire avec l’Alouette) chacune avec sa gare intermodale reliant directement Bordeaux gare Saint-Jean respectivement en 6 et 9 minutes mais aussi les gares de la ligne d’Arcachon et du sud Aquitaine. Enfin la ligne SNCF du Médoc arrivant à Pessac permet à ce territoire d’être totalement désenclavé par ces correspondances.\n\nProjet croupion qui sursaturerait une ligne B déjà à la limite de ses capacités. Les prévisions pour Gradignan portent sur 10 000 passagers /jour supplémentaires. En heure de pointe des voyageurs resteront sur le quai. Tout se passe comme si on ajoutait un affluent à un fleuve déjà à la limite de l’inondation !\nProjet croupion qui déséquilibrerait encore davantage le Campus Montaigne Montesquieu et le quartier La Paillère-Compostelle de Pessac en pénalisant un réseau viaire déjà très encombré et totalement inadapté. L’avenue de Compostelle est l’entrée principale de ce Campus depuis la rocade Aucune solution n’est proposée (giratoires de la piscine et du village5 devant le nouveau bâtiment Crous pour fluidifier le trafic routier. De plus les pistes cyclables qui devraient irriguer le Campus sont inexistantes sur ce secteur.\n\nProjet croupion compte tenu d’un cadencement en heures de pointes à 15 minutes soit plus d’un tiers de plus par rapport à une liane à 10 minutes (comme la 10 existante qui dessert déjà Gradignan : complément ou substitution-suppression ou modification mais laquelle ? À part la rupture de charge évitée le projet n’apporte pas d’avantages comparatifs décisifs).\nProjet croupion parce que comportant des sections en voie unique importantes quand on connait les dysfonctionnements sur cette ligne B de la branche de l’Alouette elle-même totalement en voie unique !\n\nProjet croupion car agissant par prélèvement des rames sur l’arrêt partiel « Montaigne Montesquieu ». Il n’y a pas d’apport nouveau de rames supplémentaires pour ce projet non susceptible d’évoluer en fonction de sa fréquentation ! Ici on propose de déshabiller Pierre pour habiller Paul.\n\nProjet croupion car empruntant un échangeur routier de la rocade dont les entrées-sorties seront sensiblement perturbées par cette ligne surtout à voie unique à cet endroit. Un autre passage serait donc plus judicieux.\n\nProjet croupion en proposant un parc-relais INTRA-rocade donc en faisant encore rentrer sur le cours de la Libération déjà saturé en heure de pointe de nouveaux véhicules. Cela sur la propriété de Sciences-Agro aujourd’hui vaste vitrine végétale avec son parc à moutons qui avec de nombreux arbres abattus serait alors imperméabilisé et bitumé : nouvelle et conséquente artificialisation des sols !\n\nProjet croupion qui renforce encore la vieille idée de la concentration du réseau sur la ville-centre alors que la priorité devrait être enfin aujourd’hui aux lignes circulaires desservant notamment les principales zones d’activités de l’agglomération sur ses communes périphériques comme celle reliant la ligne A (Le Haillan Rostand) à la ligne B (à l’Alouette) via la zone aéroportuaire. Ou encore priorité aux lignes transversales comme le prévoyait d’ailleurs le projet initial avant qu’il ne capote sur les boulevards…\n\nProjet croupion en ne proposant que 3 alternatives de débranchement au niveau des avenues Pey Berland, La Paillère et Compostelle, toutes également préjudiciables. 1) Le débranchement au niveau de Pey-Berland serait pénalisant pour l’ensemble du Campus Montaigne Montesquieu et ses villages 3, 4, 5 et 6 avec leurs dizaines de milliers de voyageurs sans même compter les habitants des quartiers limitrophes. Tout cela au regard d’un gain immédiat pour Kedge dont le potentiel de voyageurs est nettement plus faible très réduit d’autant que la ligne B leur est déjà accessible en l’état à pied (avec de larges trottoirs) et en vélo (une piste cyclable existe déjà)! 2) Au niveau de La Paillère il nécessiterait de nombreuses expropriations de résidences, de particuliers et surtout de la station service sur le cours de La Libération. 3) Au niveau de Compostelle il pénaliserait fortement le seul accès viaire de desserte du Campus Montaigne Montesquieu, saturé aux heures de pointe ainsi que ceux des résidences de Compostelle (plus de 500 logements), mais aussi des commerces correspondants tout en défigurant en la rognant et en imperméabilisant une partie de la propriété de Sciences Agro jusque là d’apparence champêtre conformément à son appellation et à son objet.\n\nLes conditions à réunir pour améliorer ce projet:\n\nFusionner les stations Montaigne Montesquieu et Doyen Brus au niveau du débranchement entre Sciences Po et l’arrêt de la liane 10 donc au centre de gravité du secteur ouvert sur les quartiers riverains. Les rames récupérées sur l’ancien arrêt partiel sont projetées sur Pessac-centre pour se rapprocher du cadencement d’une ville comparable comme Mérignac.\n\n3 alternatives sont également proposées pour rejoindre Gradignan : soit par le pont de Naudet pour rejoindre la zone d’activités de Favard ce qui évite les problématiques liées au passage sur l’échangeur, soit par l’IUT côté rocade, soit aux limites communes de l’IUT et de Sciences Agro pour, dans les deux cas, rejoindre le cours de la Libération. \n\nInstaller le parc-relais sur la zone Favard (ancien LIDL ?) donc en extra rocade sur un secteur déjà imperméabilisé.\n\nAdapter, en tout état de cause même en dehors de ce projet, le réseau viaire de ce secteur du Campus pour fluidifier les déplacements (giratoires, pistes cyclables, trottoirs larges…) et le « végétaliser » au maximum.\n\nGradignan et Talence méritent le sot-l’y-laisse : \n\nIl s’agit alors simplement de reprendre le projet initial jusqu’à l’endroit où il s’est crashé c’est-à-dire à l’approche des boulevards :\nUn débranchement sur la ligne A au niveau de Pellegrin, les rames de l’arrêt partiel étant projetées sur cette nouvelle branche vers Talence et Gradignan.\n\nLe Campus de Carrère avec son Centre Hospitalier Universitaire est ainsi mis en relation avec les autres campus.\n\nLa desserte de la gare de La Médoquine peut justifier sa réouverture sur la ligne de ceinture.\n\nLes lignes A et B sont mises en correspondance au niveau de la station Arts et Métiers.\n\nLa ligne B pourra absorber l’évolution du trafic sans débordement.\n\nConclusion :\n\nMême si certains connaisseurs préfèrent le croupion (en matière de volaille), les gourmets choisiront plutôt le sot-l’y-laisse situé au-dessus du croupion. En effet, la proposition de reprendre partiellement le projet initial de ligne de tram vers Gradignan et Talence depuis Pellegrin est nettement au-dessus du projet croupion qui nous est présenté, même amendé : le sot-l’y-laisse est bien meilleur. Gradignan et Talence méritent le sot-l’y-laisse.\n"]

+["\nLe tram à Gradignan \nGradignan et Talence méritent mieux qu’un projet croupion.\n\nProjet croupion car résultant de l’explosion en vol d’un projet beaucoup plus vaste, véritable projet d’agglomération, murement réfléchi et concerté, de plus inscrit au SDOM, d’une ligne nouvelle transversale reliant Gradignan à la gare de Cenon sans passer par le centre de Bordeaux (Est-ce là son péché originel qui – pour certains - condamnait ce projet) mais par la gare de la Médoquine et Pellegrin avec son Campus de Carrère puis par les boulevards pour rejoindre la rive droite à Cenon-gare. \n\nProjet croupion car on se retrouve désormais avec deux microprojets complémentaires faisant cependant l’objet de concertations distinctes l’un consistant en un tramway en gros du Campus Montaigne-Montesquieu vers Gradignan et l’autre en un bus de Pellegrin vers Talence Thouars puis Gradignan. Cela ressemble à des lots de consolation offerts aux élus concernés. Seul le microprojet de tramway vers Gradignan sera examiné ici. Voilà ce qui reste pratiquement du projet initial.\n\nProjet croupion car fondé sur un débranchement de la ligne B, en amont de l’arrêt partiel Montaigne-Montesquieu, déjà saturée desservant essentiellement le Campus (qui double la population de Pessac) sachant que la branche Alouette « irrigue » aussi le CHU groupe Sud (Haut-Lévêque et Xavier Arnozan) et accessoirement les deux centralités de Pessac (la principale celle du centre et la secondaire avec l’Alouette) chacune avec sa gare intermodale reliant directement Bordeaux gare Saint-Jean respectivement en 6 et 9 minutes mais aussi les gares de la ligne d’Arcachon et du sud Aquitaine. Enfin la ligne SNCF du Médoc arrivant à Pessac permet à ce territoire d’être totalement désenclavé par ces correspondances.\n\nProjet croupion qui sursaturerait une ligne B déjà à la limite de ses capacités. Les prévisions pour Gradignan portent sur 10 000 passagers /jour supplémentaires. En heure de pointe des voyageurs resteront sur le quai. Tout se passe comme si on ajoutait un affluent à un fleuve déjà à la limite de l’inondation !\nProjet croupion qui déséquilibrerait encore davantage le Campus Montaigne Montesquieu et le quartier La Paillère-Compostelle de Pessac en pénalisant un réseau viaire déjà très encombré et totalement inadapté. L’avenue de Compostelle est l’entrée principale de ce Campus depuis la rocade Aucune solution n’est proposée (giratoires de la piscine et du village5 devant le nouveau bâtiment Crous pour fluidifier le trafic routier. De plus les pistes cyclables qui devraient irriguer le Campus sont inexistantes sur ce secteur.\n\nProjet croupion compte tenu d’un cadencement en heures de pointes à 15 minutes soit plus d’un tiers de plus par rapport à une liane à 10 minutes (comme la 10 existante qui dessert déjà Gradignan : complément ou substitution-suppression ou modification mais laquelle ? À part la rupture de charge évitée le projet n’apporte pas d’avantages comparatifs décisifs).\nProjet croupion parce que comportant des sections en voie unique importantes quand on connait les dysfonctionnements sur cette ligne B de la branche de l’Alouette elle-même totalement en voie unique !\n\nProjet croupion car agissant par prélèvement des rames sur l’arrêt partiel « Montaigne Montesquieu ». Il n’y a pas d’apport nouveau de rames supplémentaires pour ce projet non susceptible d’évoluer en fonction de sa fréquentation ! Ici on propose de déshabiller Pierre pour habiller Paul.\n\nProjet croupion car empruntant un échangeur routier de la rocade dont les entrées-sorties seront sensiblement perturbées par cette ligne surtout à voie unique à cet endroit. Un autre passage serait donc plus judicieux.\n\nProjet croupion en proposant un parc-relais INTRA-rocade donc en faisant encore rentrer sur le cours de la Libération déjà saturé en heure de pointe de nouveaux véhicules. Cela sur la propriété de Sciences-Agro aujourd’hui vaste vitrine végétale avec son parc à moutons qui avec de nombreux arbres abattus serait alors imperméabilisé et bitumé : nouvelle et conséquente artificialisation des sols !\n\nProjet croupion qui renforce encore la vieille idée de la concentration du réseau sur la ville-centre alors que la priorité devrait être enfin aujourd’hui aux lignes circulaires desservant notamment les principales zones d’activités de l’agglomération sur ses communes périphériques comme celle reliant la ligne A (Le Haillan Rostand) à la ligne B (à l’Alouette) via la zone aéroportuaire. Ou encore priorité aux lignes transversales comme le prévoyait d’ailleurs le projet initial avant qu’il ne capote sur les boulevards…\n\nProjet croupion en ne proposant que 3 alternatives de débranchement au niveau des avenues Pey Berland, La Paillère et Compostelle, toutes également préjudiciables. 1) Le débranchement au niveau de Pey-Berland serait pénalisant pour l’ensemble du Campus Montaigne Montesquieu et ses villages 3, 4, 5 et 6 avec leurs dizaines de milliers de voyageurs sans même compter les habitants des quartiers limitrophes. Tout cela au regard d’un gain immédiat pour Kedge dont le potentiel de voyageurs est nettement plus faible très réduit d’autant que la ligne B leur est déjà accessible en l’état à pied (avec de larges trottoirs) et en vélo (une piste cyclable existe déjà)! 2) Au niveau de La Paillère il nécessiterait de nombreuses expropriations de résidences, de particuliers et surtout de la station service sur le cours de La Libération. 3) Au niveau de Compostelle il pénaliserait fortement le seul accès viaire de desserte du Campus Montaigne Montesquieu, saturé aux heures de pointe ainsi que ceux des résidences de Compostelle (plus de 500 logements), mais aussi des commerces correspondants tout en défigurant en la rognant et en imperméabilisant une partie de la propriété de Sciences Agro jusque là d’apparence champêtre conformément à son appellation et à son objet.\n\nLes conditions à réunir pour améliorer ce projet:\n\nFusionner les stations Montaigne Montesquieu et Doyen Brus au niveau du débranchement entre Sciences Po et l’arrêt de la liane 10 donc au centre de gravité du secteur ouvert sur les quartiers riverains. Les rames récupérées sur l’ancien arrêt partiel sont projetées sur Pessac-centre pour se rapprocher du cadencement d’une ville comparable comme Mérignac.\n\n3 alternatives sont également proposées pour rejoindre Gradignan : soit par le pont de Naudet pour rejoindre la zone d’activités de Favard ce qui évite les problématiques liées au passage sur l’échangeur, soit par l’IUT côté rocade, soit aux limites communes de l’IUT et de Sciences Agro pour, dans les deux cas, rejoindre le cours de la Libération. \n\nInstaller le parc-relais sur la zone Favard (ancien LIDL ?) donc en extra rocade sur un secteur déjà imperméabilisé.\n\nAdapter, en tout état de cause même en dehors de ce projet, le réseau viaire de ce secteur du Campus pour fluidifier les déplacements (giratoires, pistes cyclables, trottoirs larges…) et le « végétaliser » au maximum.\n\nGradignan et Talence méritent le sot-l’y-laisse : \n\nIl s’agit alors simplement de reprendre le projet initial jusqu’à l’endroit où il s’est crashé c’est-à-dire à l’approche des boulevards :\nUn débranchement sur la ligne A au niveau de Pellegrin, les rames de l’arrêt partiel étant projetées sur cette nouvelle branche vers Talence et Gradignan.\n\nLe Campus de Carrère avec son Centre Hospitalier Universitaire est ainsi mis en relation avec les autres campus.\n\nLa desserte de la gare de La Médoquine peut justifier sa réouverture sur la ligne de ceinture.\n\nLes lignes A et B sont mises en correspondance au niveau de la station Arts et Métiers.\n\nLa ligne B pourra absorber l’évolution du trafic sans débordement.\n\nConclusion :\n\nMême si certains connaisseurs préfèrent le croupion (en matière de volaille), les gourmets choisiront plutôt le sot-l’y-laisse situé au-dessus du croupion. En effet, la proposition de reprendre partiellement le projet initial de ligne de tram vers Gradignan et Talence depuis Pellegrin est nettement au-dessus du projet croupion qui nous est présenté, même amendé : le sot-l’y-laisse est bien meilleur. Gradignan et Talence méritent le sot-l’y-laisse.\n"]

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Seul le microprojet de tramway vers Gradignan sera examiné ici. Voilà ce qui reste pratiquement du projet initial.\n\nProjet croupion car fondé sur un débranchement de la ligne B, en amont de l’arrêt partiel Montaigne-Montesquieu, déjà saturée desservant essentiellement le Campus (qui double la population de Pessac) sachant que la branche Alouette « irrigue » aussi le CHU groupe Sud (Haut-Lévêque et Xavier Arnozan) et accessoirement les deux centralités de Pessac (la principale celle du centre et la secondaire avec l’Alouette) chacune avec sa gare intermodale reliant directement Bordeaux gare Saint-Jean respectivement en 6 et 9 minutes mais aussi les gares de la ligne d’Arcachon et du sud Aquitaine. Enfin la ligne SNCF du Médoc arrivant à Pessac permet à ce territoire d’être totalement désenclavé par ces correspondances.\n\nProjet croupion qui sursaturerait une ligne B déjà à la limite de ses capacités. Les prévisions pour Gradignan portent sur 10 000 passagers /jour supplémentaires. En heure de pointe des voyageurs resteront sur le quai. Tout se passe comme si on ajoutait un affluent à un fleuve déjà à la limite de l’inondation !\nProjet croupion qui déséquilibrerait encore davantage le Campus Montaigne Montesquieu et le quartier La Paillère-Compostelle de Pessac en pénalisant un réseau viaire déjà très encombré et totalement inadapté. L’avenue de Compostelle est l’entrée principale de ce Campus depuis la rocade Aucune solution n’est proposée (giratoires de la piscine et du village5 devant le nouveau bâtiment Crous pour fluidifier le trafic routier. De plus les pistes cyclables qui devraient irriguer le Campus sont inexistantes sur ce secteur.\n\nProjet croupion compte tenu d’un cadencement en heures de pointes à 15 minutes soit plus d’un tiers de plus par rapport à une liane à 10 minutes (comme la 10 existante qui dessert déjà Gradignan : complément ou substitution-suppression ou modification mais laquelle ? À part la rupture de charge évitée le projet n’apporte pas d’avantages comparatifs décisifs).\nProjet croupion parce que comportant des sections en voie unique importantes quand on connait les dysfonctionnements sur cette ligne B de la branche de l’Alouette elle-même totalement en voie unique !\n\nProjet croupion car agissant par prélèvement des rames sur l’arrêt partiel « Montaigne Montesquieu ». Il n’y a pas d’apport nouveau de rames supplémentaires pour ce projet non susceptible d’évoluer en fonction de sa fréquentation ! Ici on propose de déshabiller Pierre pour habiller Paul.\n\nProjet croupion car empruntant un échangeur routier de la rocade dont les entrées-sorties seront sensiblement perturbées par cette ligne surtout à voie unique à cet endroit. Un autre passage serait donc plus judicieux.\n\nProjet croupion en proposant un parc-relais INTRA-rocade donc en faisant encore rentrer sur le cours de la Libération déjà saturé en heure de pointe de nouveaux véhicules. Cela sur la propriété de Sciences-Agro aujourd’hui vaste vitrine végétale avec son parc à moutons qui avec de nombreux arbres abattus serait alors imperméabilisé et bitumé : nouvelle et conséquente artificialisation des sols !\n\nProjet croupion qui renforce encore la vieille idée de la concentration du réseau sur la ville-centre alors que la priorité devrait être enfin aujourd’hui aux lignes circulaires desservant notamment les principales zones d’activités de l’agglomération sur ses communes périphériques comme celle reliant la ligne A (Le Haillan Rostand) à la ligne B (à l’Alouette) via la zone aéroportuaire. Ou encore priorité aux lignes transversales comme le prévoyait d’ailleurs le projet initial avant qu’il ne capote sur les boulevards…\n\nProjet croupion en ne proposant que 3 alternatives de débranchement au niveau des avenues Pey Berland, La Paillère et Compostelle, toutes également préjudiciables. 1) Le débranchement au niveau de Pey-Berland serait pénalisant pour l’ensemble du Campus Montaigne Montesquieu et ses villages 3, 4, 5 et 6 avec leurs dizaines de milliers de voyageurs sans même compter les habitants des quartiers limitrophes. Tout cela au regard d’un gain immédiat pour Kedge dont le potentiel de voyageurs est nettement plus faible très réduit d’autant que la ligne B leur est déjà accessible en l’état à pied (avec de larges trottoirs) et en vélo (une piste cyclable existe déjà)! 2) Au niveau de La Paillère il nécessiterait de nombreuses expropriations de résidences, de particuliers et surtout de la station service sur le cours de La Libération. 3) Au niveau de Compostelle il pénaliserait fortement le seul accès viaire de desserte du Campus Montaigne Montesquieu, saturé aux heures de pointe ainsi que ceux des résidences de Compostelle (plus de 500 logements), mais aussi des commerces correspondants tout en défigurant en la rognant et en imperméabilisant une partie de la propriété de Sciences Agro jusque là d’apparence champêtre conformément à son appellation et à son objet.\n\nLes conditions à réunir pour améliorer ce projet:\n\nFusionner les stations Montaigne Montesquieu et Doyen Brus au niveau du débranchement entre Sciences Po et l’arrêt de la liane 10 donc au centre de gravité du secteur ouvert sur les quartiers riverains. Les rames récupérées sur l’ancien arrêt partiel sont projetées sur Pessac-centre pour se rapprocher du cadencement d’une ville comparable comme Mérignac.\n\n3 alternatives sont également proposées pour rejoindre Gradignan : soit par le pont de Naudet pour rejoindre la zone d’activités de Favard ce qui évite les problématiques liées au passage sur l’échangeur, soit par l’IUT côté rocade, soit aux limites communes de l’IUT et de Sciences Agro pour, dans les deux cas, rejoindre le cours de la Libération. \n\nInstaller le parc-relais sur la zone Favard (ancien LIDL ?) donc en extra rocade sur un secteur déjà imperméabilisé.\n\nAdapter, en tout état de cause même en dehors de ce projet, le réseau viaire de ce secteur du Campus pour fluidifier les déplacements (giratoires, pistes cyclables, trottoirs larges…) et le « végétaliser » au maximum.\n\nGradignan et Talence méritent le sot-l’y-laisse : \n\nIl s’agit alors simplement de reprendre le projet initial jusqu’à l’endroit où il s’est crashé c’est-à-dire à l’approche des boulevards :\nUn débranchement sur la ligne A au niveau de Pellegrin, les rames de l’arrêt partiel étant projetées sur cette nouvelle branche vers Talence et Gradignan.\n\nLe Campus de Carrère avec son Centre Hospitalier Universitaire est ainsi mis en relation avec les autres campus.\n\nLa desserte de la gare de La Médoquine peut justifier sa réouverture sur la ligne de ceinture.\n\nLes lignes A et B sont mises en correspondance au niveau de la station Arts et Métiers.\n\nLa ligne B pourra absorber l’évolution du trafic sans débordement.\n\nConclusion :\n\nMême si certains connaisseurs préfèrent le croupion (en matière de volaille), les gourmets choisiront plutôt le sot-l’y-laisse situé au-dessus du croupion. En effet, la proposition de reprendre partiellement le projet initial de ligne de tram vers Gradignan et Talence depuis Pellegrin est nettement au-dessus du projet croupion qui nous est présenté, même amendé : le sot-l’y-laisse est bien meilleur. Gradignan et Talence méritent le sot-l’y-laisse.\n"]

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+["\nLe tram à Gradignan \nGradignan et Talence méritent mieux qu’un projet croupion.\n\nProjet croupion car résultant de l’explosion en vol d’un projet beaucoup plus vaste, véritable projet d’agglomération, murement réfléchi et concerté, de plus inscrit au SDOM, d’une ligne nouvelle transversale reliant Gradignan à la gare de Cenon sans passer par le centre de Bordeaux (Est-ce là son péché originel qui – pour certains - condamnait ce projet) mais par la gare de la Médoquine et Pellegrin avec son Campus de Carrère puis par les boulevards pour rejoindre la rive droite à Cenon-gare. \n\nProjet croupion car on se retrouve désormais avec deux microprojets complémentaires faisant cependant l’objet de concertations distinctes l’un consistant en un tramway en gros du Campus Montaigne-Montesquieu vers Gradignan et l’autre en un bus de Pellegrin vers Talence Thouars puis Gradignan. Cela ressemble à des lots de consolation offerts aux élus concernés. Seul le microprojet de tramway vers Gradignan sera examiné ici. Voilà ce qui reste pratiquement du projet initial.\n\nProjet croupion car fondé sur un débranchement de la ligne B, en amont de l’arrêt partiel Montaigne-Montesquieu, déjà saturée desservant essentiellement le Campus (qui double la population de Pessac) sachant que la branche Alouette « irrigue » aussi le CHU groupe Sud (Haut-Lévêque et Xavier Arnozan) et accessoirement les deux centralités de Pessac (la principale celle du centre et la secondaire avec l’Alouette) chacune avec sa gare intermodale reliant directement Bordeaux gare Saint-Jean respectivement en 6 et 9 minutes mais aussi les gares de la ligne d’Arcachon et du sud Aquitaine. Enfin la ligne SNCF du Médoc arrivant à Pessac permet à ce territoire d’être totalement désenclavé par ces correspondances.\n\nProjet croupion qui sursaturerait une ligne B déjà à la limite de ses capacités. Les prévisions pour Gradignan portent sur 10 000 passagers /jour supplémentaires. En heure de pointe des voyageurs resteront sur le quai. Tout se passe comme si on ajoutait un affluent à un fleuve déjà à la limite de l’inondation !\nProjet croupion qui déséquilibrerait encore davantage le Campus Montaigne Montesquieu et le quartier La Paillère-Compostelle de Pessac en pénalisant un réseau viaire déjà très encombré et totalement inadapté. L’avenue de Compostelle est l’entrée principale de ce Campus depuis la rocade Aucune solution n’est proposée (giratoires de la piscine et du village5 devant le nouveau bâtiment Crous pour fluidifier le trafic routier. De plus les pistes cyclables qui devraient irriguer le Campus sont inexistantes sur ce secteur.\n\nProjet croupion compte tenu d’un cadencement en heures de pointes à 15 minutes soit plus d’un tiers de plus par rapport à une liane à 10 minutes (comme la 10 existante qui dessert déjà Gradignan : complément ou substitution-suppression ou modification mais laquelle ? À part la rupture de charge évitée le projet n’apporte pas d’avantages comparatifs décisifs).\nProjet croupion parce que comportant des sections en voie unique importantes quand on connait les dysfonctionnements sur cette ligne B de la branche de l’Alouette elle-même totalement en voie unique !\n\nProjet croupion car agissant par prélèvement des rames sur l’arrêt partiel « Montaigne Montesquieu ». Il n’y a pas d’apport nouveau de rames supplémentaires pour ce projet non susceptible d’évoluer en fonction de sa fréquentation ! Ici on propose de déshabiller Pierre pour habiller Paul.\n\nProjet croupion car empruntant un échangeur routier de la rocade dont les entrées-sorties seront sensiblement perturbées par cette ligne surtout à voie unique à cet endroit. Un autre passage serait donc plus judicieux.\n\nProjet croupion en proposant un parc-relais INTRA-rocade donc en faisant encore rentrer sur le cours de la Libération déjà saturé en heure de pointe de nouveaux véhicules. Cela sur la propriété de Sciences-Agro aujourd’hui vaste vitrine végétale avec son parc à moutons qui avec de nombreux arbres abattus serait alors imperméabilisé et bitumé : nouvelle et conséquente artificialisation des sols !\n\nProjet croupion qui renforce encore la vieille idée de la concentration du réseau sur la ville-centre alors que la priorité devrait être enfin aujourd’hui aux lignes circulaires desservant notamment les principales zones d’activités de l’agglomération sur ses communes périphériques comme celle reliant la ligne A (Le Haillan Rostand) à la ligne B (à l’Alouette) via la zone aéroportuaire. Ou encore priorité aux lignes transversales comme le prévoyait d’ailleurs le projet initial avant qu’il ne capote sur les boulevards…\n\nProjet croupion en ne proposant que 3 alternatives de débranchement au niveau des avenues Pey Berland, La Paillère et Compostelle, toutes également préjudiciables. 1) Le débranchement au niveau de Pey-Berland serait pénalisant pour l’ensemble du Campus Montaigne Montesquieu et ses villages 3, 4, 5 et 6 avec leurs dizaines de milliers de voyageurs sans même compter les habitants des quartiers limitrophes. Tout cela au regard d’un gain immédiat pour Kedge dont le potentiel de voyageurs est nettement plus faible très réduit d’autant que la ligne B leur est déjà accessible en l’état à pied (avec de larges trottoirs) et en vélo (une piste cyclable existe déjà)! 2) Au niveau de La Paillère il nécessiterait de nombreuses expropriations de résidences, de particuliers et surtout de la station service sur le cours de La Libération. 3) Au niveau de Compostelle il pénaliserait fortement le seul accès viaire de desserte du Campus Montaigne Montesquieu, saturé aux heures de pointe ainsi que ceux des résidences de Compostelle (plus de 500 logements), mais aussi des commerces correspondants tout en défigurant en la rognant et en imperméabilisant une partie de la propriété de Sciences Agro jusque là d’apparence champêtre conformément à son appellation et à son objet.\n\nLes conditions à réunir pour améliorer ce projet:\n\nFusionner les stations Montaigne Montesquieu et Doyen Brus au niveau du débranchement entre Sciences Po et l’arrêt de la liane 10 donc au centre de gravité du secteur ouvert sur les quartiers riverains. Les rames récupérées sur l’ancien arrêt partiel sont projetées sur Pessac-centre pour se rapprocher du cadencement d’une ville comparable comme Mérignac.\n\n3 alternatives sont également proposées pour rejoindre Gradignan : soit par le pont de Naudet pour rejoindre la zone d’activités de Favard ce qui évite les problématiques liées au passage sur l’échangeur, soit par l’IUT côté rocade, soit aux limites communes de l’IUT et de Sciences Agro pour, dans les deux cas, rejoindre le cours de la Libération. \n\nInstaller le parc-relais sur la zone Favard (ancien LIDL ?) donc en extra rocade sur un secteur déjà imperméabilisé.\n\nAdapter, en tout état de cause même en dehors de ce projet, le réseau viaire de ce secteur du Campus pour fluidifier les déplacements (giratoires, pistes cyclables, trottoirs larges…) et le « végétaliser » au maximum.\n\nGradignan et Talence méritent le sot-l’y-laisse : \n\nIl s’agit alors simplement de reprendre le projet initial jusqu’à l’endroit où il s’est crashé c’est-à-dire à l’approche des boulevards :\nUn débranchement sur la ligne A au niveau de Pellegrin, les rames de l’arrêt partiel étant projetées sur cette nouvelle branche vers Talence et Gradignan.\n\nLe Campus de Carrère avec son Centre Hospitalier Universitaire est ainsi mis en relation avec les autres campus.\n\nLa desserte de la gare de La Médoquine peut justifier sa réouverture sur la ligne de ceinture.\n\nLes lignes A et B sont mises en correspondance au niveau de la station Arts et Métiers.\n\nLa ligne B pourra absorber l’évolution du trafic sans débordement.\n\nConclusion :\n\nMême si certains connaisseurs préfèrent le croupion (en matière de volaille), les gourmets choisiront plutôt le sot-l’y-laisse situé au-dessus du croupion. En effet, la proposition de reprendre partiellement le projet initial de ligne de tram vers Gradignan et Talence depuis Pellegrin est nettement au-dessus du projet croupion qui nous est présenté, même amendé : le sot-l’y-laisse est bien meilleur. Gradignan et Talence méritent le sot-l’y-laisse.\n"]

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Version créée le 02/12/2019 13:03