Extension du tramway vers Saint-Médard-en-Jalles, Le Haillan, Eysines et le Taillan-Médoc : concertation

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+[" CONTRIBUTION DU GROUPE D’OPPOSITION DES ÉLUS EYSINAIS\n\n PROLONGATION DE LA LIGNE D VERS ST MÉDARD \n\n- UNE DESSERTE LOGIQUE DU QUADRANT NORD-OUEST :\nAlors que l’agglomération bordelaise se dirige vers le million d’habitants, ses principaux axes de circulation étant déjà saturés, les transports en commun apportent une première réponse sans pour autant solutionner la congestion inévitable d’une cité qui n’a pas été conçue pour cette croissance.\nLe quadrant nord-ouest, attractif tant pour les entreprises que pour les habitants a besoin d’un équipement en site propre pour inciter les automobilistes à l’utiliser.\nLa prolongation de la ligne D au delà d’Eysines vers St Médard, via le Taillan-Médoc, par le trajet 4, est donc pertinente pour le maillage de la métropole.\nPour autant la réduction de l’utilisation de la voiture ne se fera que très lentement et restera encore impossible à court-moyen terme pour nombre des déplacements de trajet-travail transversaux. \n\n- UNE MEILLEURE RENTABILITE GLOBALE DE LA LIGNE :\nAugmenter le trafic passager de la ligne D par l’apport de la clientèle de St Médard et du Taillan-Médoc accroîtra arithmétiquement la rentabilité financière de la ligne depuis Bordeaux et améliorera l’amortissement de l’investissement global.\n\n- UNE OPPORTUNITÉ POUR EYSINES :\nPour justifier le projet du tram, Eysines a augmenté sa population d’un quart en 10 ans, passant de 19.000 habitants en 2007 à près de 24.000 en 2017, voyant son urbanisation se densifier avec de nombreux ensembles immobiliers défigurant une commune de banlieue semi-rurale il y a encore 20 ans.\nEysines se transforme ainsi en cité dortoir depuis 10 ans, et même si les nouveaux résidents y trouvent refuge à court terme, ce n’est certainement pas ce dont ils rêvent, ni ce que la population installée précédemment souhaite.\nLa surdensification rapide d’Eysines, avec des logements de faible qualité constructive, pour conforter l’arrivée du tram et son remplissage, n’est plus aujourd’hui nécessaire grâce à l’amélioration de la rentabilité de la ligne D étendue jusqu’à St Médard.\n"]

+[" CONTRIBUTION DU GROUPE D’OPPOSITION DES ÉLUS EYSINAIS\n\n PROLONGATION DE LA LIGNE D VERS ST MÉDARD \n\n- UNE DESSERTE LOGIQUE DU QUADRANT NORD-OUEST :\nAlors que l’agglomération bordelaise se dirige vers le million d’habitants, ses principaux axes de circulation étant déjà saturés, les transports en commun apportent une première réponse sans pour autant solutionner la congestion inévitable d’une cité qui n’a pas été conçue pour cette croissance.\nLe quadrant nord-ouest, attractif tant pour les entreprises que pour les habitants a besoin d’un équipement en site propre pour inciter les automobilistes à l’utiliser.\nLa prolongation de la ligne D au delà d’Eysines vers St Médard, via le Taillan-Médoc, par le trajet 4, est donc pertinente pour le maillage de la métropole.\nPour autant la réduction de l’utilisation de la voiture ne se fera que très lentement et restera encore impossible à court-moyen terme pour nombre des déplacements de trajet-travail transversaux. \n\n- UNE MEILLEURE RENTABILITE GLOBALE DE LA LIGNE :\nAugmenter le trafic passager de la ligne D par l’apport de la clientèle de St Médard et du Taillan-Médoc accroîtra arithmétiquement la rentabilité financière de la ligne depuis Bordeaux et améliorera l’amortissement de l’investissement global.\n\n- UNE OPPORTUNITÉ POUR EYSINES :\nPour justifier le projet du tram, Eysines a augmenté sa population d’un quart en 10 ans, passant de 19.000 habitants en 2007 à près de 24.000 en 2017, voyant son urbanisation se densifier avec de nombreux ensembles immobiliers défigurant une commune de banlieue semi-rurale il y a encore 20 ans.\nEysines se transforme ainsi en cité dortoir depuis 10 ans, et même si les nouveaux résidents y trouvent refuge à court terme, ce n’est certainement pas ce dont ils rêvent, ni ce que la population installée précédemment souhaite.\nLa surdensification rapide d’Eysines, avec des logements de faible qualité constructive, pour conforter l’arrivée du tram et son remplissage, n’est plus aujourd’hui nécessaire grâce à l’amélioration de la rentabilité de la ligne D étendue jusqu’à St Médard.\n"]

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+[" CONTRIBUTION DU GROUPE D’OPPOSITION DES ÉLUS EYSINAIS\n\n PROLONGATION DE LA LIGNE D VERS ST MÉDARD \n\n- UNE DESSERTE LOGIQUE DU QUADRANT NORD-OUEST :\nAlors que l’agglomération bordelaise se dirige vers le million d’habitants, ses principaux axes de circulation étant déjà saturés, les transports en commun apportent une première réponse sans pour autant solutionner la congestion inévitable d’une cité qui n’a pas été conçue pour cette croissance.\nLe quadrant nord-ouest, attractif tant pour les entreprises que pour les habitants a besoin d’un équipement en site propre pour inciter les automobilistes à l’utiliser.\nLa prolongation de la ligne D au delà d’Eysines vers St Médard, via le Taillan-Médoc, par le trajet 4, est donc pertinente pour le maillage de la métropole.\nPour autant la réduction de l’utilisation de la voiture ne se fera que très lentement et restera encore impossible à court-moyen terme pour nombre des déplacements de trajet-travail transversaux. \n\n- UNE MEILLEURE RENTABILITE GLOBALE DE LA LIGNE :\nAugmenter le trafic passager de la ligne D par l’apport de la clientèle de St Médard et du Taillan-Médoc accroîtra arithmétiquement la rentabilité financière de la ligne depuis Bordeaux et améliorera l’amortissement de l’investissement global.\n\n- UNE OPPORTUNITÉ POUR EYSINES :\nPour justifier le projet du tram, Eysines a augmenté sa population d’un quart en 10 ans, passant de 19.000 habitants en 2007 à près de 24.000 en 2017, voyant son urbanisation se densifier avec de nombreux ensembles immobiliers défigurant une commune de banlieue semi-rurale il y a encore 20 ans.\nEysines se transforme ainsi en cité dortoir depuis 10 ans, et même si les nouveaux résidents y trouvent refuge à court terme, ce n’est certainement pas ce dont ils rêvent, ni ce que la population installée précédemment souhaite.\nLa surdensification rapide d’Eysines, avec des logements de faible qualité constructive, pour conforter l’arrivée du tram et son remplissage, n’est plus aujourd’hui nécessaire grâce à l’amélioration de la rentabilité de la ligne D étendue jusqu’à St Médard.\n"]

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+[" CONTRIBUTION DU GROUPE D’OPPOSITION DES ÉLUS EYSINAIS\n\n PROLONGATION DE LA LIGNE D VERS ST MÉDARD \n\n- UNE DESSERTE LOGIQUE DU QUADRANT NORD-OUEST :\nAlors que l’agglomération bordelaise se dirige vers le million d’habitants, ses principaux axes de circulation étant déjà saturés, les transports en commun apportent une première réponse sans pour autant solutionner la congestion inévitable d’une cité qui n’a pas été conçue pour cette croissance.\nLe quadrant nord-ouest, attractif tant pour les entreprises que pour les habitants a besoin d’un équipement en site propre pour inciter les automobilistes à l’utiliser.\nLa prolongation de la ligne D au delà d’Eysines vers St Médard, via le Taillan-Médoc, par le trajet 4, est donc pertinente pour le maillage de la métropole.\nPour autant la réduction de l’utilisation de la voiture ne se fera que très lentement et restera encore impossible à court-moyen terme pour nombre des déplacements de trajet-travail transversaux. \n\n- UNE MEILLEURE RENTABILITE GLOBALE DE LA LIGNE :\nAugmenter le trafic passager de la ligne D par l’apport de la clientèle de St Médard et du Taillan-Médoc accroîtra arithmétiquement la rentabilité financière de la ligne depuis Bordeaux et améliorera l’amortissement de l’investissement global.\n\n- UNE OPPORTUNITÉ POUR EYSINES :\nPour justifier le projet du tram, Eysines a augmenté sa population d’un quart en 10 ans, passant de 19.000 habitants en 2007 à près de 24.000 en 2017, voyant son urbanisation se densifier avec de nombreux ensembles immobiliers défigurant une commune de banlieue semi-rurale il y a encore 20 ans.\nEysines se transforme ainsi en cité dortoir depuis 10 ans, et même si les nouveaux résidents y trouvent refuge à court terme, ce n’est certainement pas ce dont ils rêvent, ni ce que la population installée précédemment souhaite.\nLa surdensification rapide d’Eysines, avec des logements de faible qualité constructive, pour conforter l’arrivée du tram et son remplissage, n’est plus aujourd’hui nécessaire grâce à l’amélioration de la rentabilité de la ligne D étendue jusqu’à St Médard.\n"]

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Version créée le 10/11/2017 18:19