Révision du Plan local de l'urbanisme « PLU 3.1 » : concertation réglementée (novembre 2010 à février 2015)

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Changements sur "infrastructures et financements"

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  • +[" Après les emprunts toxiques, enfin le sujet du financement d'une métropole millionnaire est abordé.\n\n Nous pouvons remercier l'ordre des architectes d'Aquitaine, Tram's CUB, le journal Sud-Ouest pour son article du 7 novembre \"la bête noire des architectes\".\n\n La participation à \"la fabrique métropolitaine\" s'est bien gardée d'aborder le sujet du financement du développement des infrastructures de la CUB.\n\n Les contrats PPP (partenariat public privé) sont aux collectivités territoriales ce que sont les crédit-bail à la consommation des particuliers ou des entreprises.\n\n Ce type de contrat permet aux collectivités d'investir sans aggraver leur ratio de solvabilité (par le paiement d'un loyer (charge) et non d'une créance (dette contractée à la suite d'un emprunt)).\n\n Tour de passe-passe comptable qui permet d'améliorer le ratio de solvabilité et de présenter un bilan financier correct sans faire apparaître la dette.\n\n On se garde bien aussi de nous parler du coût global (triplement des projets*) lors de la sortie du contrat (après avoir payé pendant 30 ans voire 45 ans pour certains projets, des conditions de la sortie), de l'impact dans les futurs bilans financiers à venir.\n\n En conclusion, les contrats ( PPP) des collectivités territoriales ou des établissements publics sont la future crise de la dette made in France de demain ( avec les emprunts toxiques dont le sujet a été vite clos) si on laisse faire.\n\n Le partenariat ressemble plus à un siphonnage des finances publiques que d'un partenariat équitable et durable.\n\n Les responsables d'aujourd'hui ne sont pas ceux de demain, mais la dette est signée au nom du contribuable et restera aux contribuables.\n\n Salutations citoyennes\n\n*source Sud-Ouest\n\n \n"]
  • +[" Après les emprunts toxiques, enfin le sujet du financement d'une métropole millionnaire est abordé.\n\n Nous pouvons remercier l'ordre des architectes d'Aquitaine, Tram's CUB, le journal Sud-Ouest pour son article du 7 novembre \"la bête noire des architectes\".\n\n La participation à \"la fabrique métropolitaine\" s'est bien gardée d'aborder le sujet du financement du développement des infrastructures de la CUB.\n\n Les contrats PPP (partenariat public privé) sont aux collectivités territoriales ce que sont les crédit-bail à la consommation des particuliers ou des entreprises.\n\n Ce type de contrat permet aux collectivités d'investir sans aggraver leur ratio de solvabilité (par le paiement d'un loyer (charge) et non d'une créance (dette contractée à la suite d'un emprunt)).\n\n Tour de passe-passe comptable qui permet d'améliorer le ratio de solvabilité et de présenter un bilan financier correct sans faire apparaître la dette.\n\n On se garde bien aussi de nous parler du coût global (triplement des projets*) lors de la sortie du contrat (après avoir payé pendant 30 ans voire 45 ans pour certains projets, des conditions de la sortie), de l'impact dans les futurs bilans financiers à venir.\n\n En conclusion, les contrats ( PPP) des collectivités territoriales ou des établissements publics sont la future crise de la dette made in France de demain ( avec les emprunts toxiques dont le sujet a été vite clos) si on laisse faire.\n\n Le partenariat ressemble plus à un siphonnage des finances publiques que d'un partenariat équitable et durable.\n\n Les responsables d'aujourd'hui ne sont pas ceux de demain, mais la dette est signée au nom du contribuable et restera aux contribuables.\n\n Salutations citoyennes\n\n*source Sud-Ouest\n\n \n"]
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  • +[" Après les emprunts toxiques, enfin le sujet du financement d'une métropole millionnaire est abordé.\n\n Nous pouvons remercier l'ordre des architectes d'Aquitaine, Tram's CUB, le journal Sud-Ouest pour son article du 7 novembre \"la bête noire des architectes\".\n\n La participation à \"la fabrique métropolitaine\" s'est bien gardée d'aborder le sujet du financement du développement des infrastructures de la CUB.\n\n Les contrats PPP (partenariat public privé) sont aux collectivités territoriales ce que sont les crédit-bail à la consommation des particuliers ou des entreprises.\n\n Ce type de contrat permet aux collectivités d'investir sans aggraver leur ratio de solvabilité (par le paiement d'un loyer (charge) et non d'une créance (dette contractée à la suite d'un emprunt)).\n\n Tour de passe-passe comptable qui permet d'améliorer le ratio de solvabilité et de présenter un bilan financier correct sans faire apparaître la dette.\n\n On se garde bien aussi de nous parler du coût global (triplement des projets*) lors de la sortie du contrat (après avoir payé pendant 30 ans voire 45 ans pour certains projets, des conditions de la sortie), de l'impact dans les futurs bilans financiers à venir.\n\n En conclusion, les contrats ( PPP) des collectivités territoriales ou des établissements publics sont la future crise de la dette made in France de demain ( avec les emprunts toxiques dont le sujet a été vite clos) si on laisse faire.\n\n Le partenariat ressemble plus à un siphonnage des finances publiques que d'un partenariat équitable et durable.\n\n Les responsables d'aujourd'hui ne sont pas ceux de demain, mais la dette est signée au nom du contribuable et restera aux contribuables.\n\n Salutations citoyennes\n\n*source Sud-Ouest\n\n \n"]
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  • +[" Après les emprunts toxiques, enfin le sujet du financement d'une métropole millionnaire est abordé.\n\n Nous pouvons remercier l'ordre des architectes d'Aquitaine, Tram's CUB, le journal Sud-Ouest pour son article du 7 novembre \"la bête noire des architectes\".\n\n La participation à \"la fabrique métropolitaine\" s'est bien gardée d'aborder le sujet du financement du développement des infrastructures de la CUB.\n\n Les contrats PPP (partenariat public privé) sont aux collectivités territoriales ce que sont les crédit-bail à la consommation des particuliers ou des entreprises.\n\n Ce type de contrat permet aux collectivités d'investir sans aggraver leur ratio de solvabilité (par le paiement d'un loyer (charge) et non d'une créance (dette contractée à la suite d'un emprunt)).\n\n Tour de passe-passe comptable qui permet d'améliorer le ratio de solvabilité et de présenter un bilan financier correct sans faire apparaître la dette.\n\n On se garde bien aussi de nous parler du coût global (triplement des projets*) lors de la sortie du contrat (après avoir payé pendant 30 ans voire 45 ans pour certains projets, des conditions de la sortie), de l'impact dans les futurs bilans financiers à venir.\n\n En conclusion, les contrats ( PPP) des collectivités territoriales ou des établissements publics sont la future crise de la dette made in France de demain ( avec les emprunts toxiques dont le sujet a été vite clos) si on laisse faire.\n\n Le partenariat ressemble plus à un siphonnage des finances publiques que d'un partenariat équitable et durable.\n\n Les responsables d'aujourd'hui ne sont pas ceux de demain, mais la dette est signée au nom du contribuable et restera aux contribuables.\n\n Salutations citoyennes\n\n*source Sud-Ouest\n\n \n"]
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Version créée le 18/11/2011 14:22

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