OnziĂšme modification du PLUi 3.1 : enquĂȘte publique
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Changements sur "11e modification du PLU,"
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- +{"fr"=>"11e modification du PLU,"}
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- +["11e modification du PLU, PESSAC\n\nContribution du groupe local \nEELV Pessac\n\n\n\n\nUne « participation » bien limitĂ©e...\nEn prĂ©ambule, EELV Pessac tient Ă regretter lâabsence de toute rĂ©union publique sur cette modification importante du PLU et lâinformation trĂšs rĂ©duite apportĂ©e par la Ville de Pessac (sur son site, un lien vers celui de Bordeaux MĂ©tropole et le calendrier des rĂ©unions de la commission dâenquĂȘte) et de maniĂšre limitĂ©e par Bordeaux MĂ©tropole sur son site de la participation.\nAucune information nâa Ă©tĂ© mĂȘme Ă©tĂ© organisĂ©e pour associer lâensemble des Ă©lus du conseil municipal, y compris ceux de lâopposition.\n\nDes dispositions gĂ©nĂ©rales qui rĂ©pondent Ă lâurgence climatique et Ă la prĂ©servation de la biodiversitĂ©\nLâĂ©tat de notre planĂšte se dĂ©grade Ă une vitesse trĂšs trĂšs inquiĂ©tante, toutes les limites sont dĂ©passĂ©es, des boucles de rĂ©troaction nĂ©gatives sont probablement enclenchĂ©es, comme la fonte du permafrost. Toute action publique se doit donc urgemment de contribuer Ă la diminution de la consommation dâĂ©nergie, les pertes de biodiversitĂ©, lâartificialisationâŠ.. Nous sommes donc trĂšs favorables Ă tous les classements dâarbres, dâespaces boisĂ©s, de « jardins dâagrĂ©ment », de « jardins de quartiers », de « parcs de rĂ©sidence dâhabitat collectif », aux obligations de plantation dâarbres, aux transformation en zone naturelles aux emplacements rĂ©servĂ©s destinĂ©s Ă amĂ©liorer les dĂ©placements piĂ©tons et cyclistes...\nNous sommes extrĂȘmement favorables aux dispositions favorisant La mise en Ćuvre de constructions bio-climatiques notamment vis-Ă -vis des implantations sur les parcelles ou les pare-soleil, et Ă tout ce qui pourrait faciliter lâinstallation de dispositifs de production dâĂ©nergie renouvelable, notamment panneaux solaires thermiques et photovoltaĂŻques. Lâinstallation de solaire thermique devrait dâailleurs ĂȘtre obligatoire pour les nouvelles constructions. Quant Ă la lutte contre les Ăźlots de chaleur urbains, il faudrait surtout diminuer drastiquement les dĂ©placements en voiture, ce qui permettrait de convertir parkings de surface et voies de circulations motorisĂ©s en espaces verts.\n \n\nInstallations dâĂ©nergies renouvelables et en particulier photovoltaĂŻques : reprendre pour Pessac les dispositions proposĂ©es par la Ville de Bordeaux\nNous demandons que la Ville de Pessac reprenne les prĂ©conisations suivantes proposĂ©es par la Ville de Bordeaux pour dĂ©velopper les Ă©nergies renouvelables :\n« Tout projet de construction neuve crĂ©ant une surface de plancher comprise entre 80 mÂČ et 150mÂČ et tout projet dâextension et/ou de surĂ©lĂ©vation dâune surface de plancher crĂ©Ă©e comprise entre 40mÂČ et 75mÂČ doit comporter une installation de production dâĂ©lectricitĂ© Ă partir dâĂ©nergie renouvelable dâune puissance minimale de 3 kW (par exemple une installation photovoltaĂŻque dâune surface minimale de 15 mÂČ).\n \nTout projet de construction neuve crĂ©ant une surface de plancher comprise entre 151mÂČ et 250mÂČ et tout projet dâextension et/ou de surĂ©lĂ©vation dâune surface de plancher crĂ©Ă©e comprise entre 76 mÂČ et 125mÂČ doit comporter une installation de production dâĂ©lectricitĂ© Ă partir dâĂ©nergie renouvelable dâune puissance minimale de 6 kW (par exemple une installation photovoltaĂŻque dâune surface minimale de 30 mÂČ).\n \nTout projet de construction neuve crĂ©ant une surface de plancher comprise entre 251mÂČ et 400mÂČ et tout projet dâextension et/ou de surĂ©lĂ©vation dâune surface de plancher crĂ©Ă©e comprise entre 126 mÂČ et 200 mÂČ doit comporter une installation de production dâĂ©lectricitĂ© Ă partir dâĂ©nergie renouvelable dâune puissance minimale de 9 kW (par exemple une installation photovoltaĂŻque dâune surface minimale de 45 mÂČ).\n Toutefois, un projet diffĂ©rent peut ĂȘtre autorisĂ© dĂšs lors quâil est dĂ©montrĂ© que la production dâĂ©lectricitĂ© Ă partir dâĂ©nergie renouvelable dans les conditions requises ci-dessus est incompatible avec :\n- la situation du projet,\n- et/ou la configuration et les caractĂ©ristiques de la parcelle,\n- et/ou la configuration et les caractĂ©ristiques du bĂąti existant. \n \nLorsque le projet est concernĂ© par une servitude dâutilitĂ© publique, des prescriptions diffĂ©rentes de celles ci-dessus peuvent Ă©galement ĂȘtre imposĂ©es. »\nDĂ©placements et lutte contre lâartificialisation\nLe document concernant les dĂ©placements comporte beaucoup de corrections qui nâont pas Ă©tĂ© acceptĂ©es. Ce plan est un progrĂšs, mais nâest absolument pas suffisant pour modifier de façon consĂ©quente les rĂ©partitions modales dans la mĂ©tropole. En tout Ă©tat de cause, ce document devrait acter lâarrĂȘt dĂ©finitif de toute nouvelle construction de route ou dâĂ©largissement routier. Et ce PLU ne devrait plus comporter aucun emplacement rĂ©servĂ© ni aucun dispositif permettant une nouvelle construction de route ou un Ă©largissement. On le sait depuis 50 ans, et cela a Ă©tĂ© formalisĂ© par la loi de Zahavi, toute action visant lâamĂ©lioration de la circulation routiĂšre est vouĂ©e Ă lâĂ©chec, car cela permet simplement aux automobilistes dâaccĂ©der Ă des nouveaux territoires en plus grand nombre, dĂ©structurant complĂštement les espaces. La diminution temporaire de la congestion automobile est trĂšs rapidement annulĂ©e, cela sâest abondamment vĂ©rifiĂ© sur le territoire de la mĂ©tropole. La voiture occupe encore la grande majoritĂ© des espaces publics de lâagglomĂ©ration et compte pour la moitiĂ© des Ă©missions de gaz Ă effet de serre des Français. La voiture Ă©lectrique, vu son coĂ»t, est une alternative difficile Ă mettre en Ćuvre et pose le mĂȘme problĂšme dâoccupation de lâespace public. Il faut rĂ©duire lâautosolisme, favoriser ainsi le covoiturage et les transports et faire une vĂ©ritable vĂ©lorution, câest-Ă -dire offrir Ă la population dans les 5 ans un rĂ©seau cyclable complet rapide, sĂ»r et confortable sur toute lâagglomĂ©ration pour atteindre lâobjectif mĂ©tropolitain de 18 % de part modale du vĂ©lo en 2030. \nIl faudrait aussi passer immĂ©diatement toute lâagglomĂ©ration et donc Pessac Ă 30 km/h comme BĂšgles et Bordeaux et la rocade Ă 70 km/h comme le pĂ©riphĂ©rique Ă Paris. Et un moyen rapide et peu coĂ»teux de faciliter la circulation des cyclistes est de transformer toutes les rues Ă©troites utilisĂ©es en transit par les automobilistes en vĂ©lorues, comme la rue Dandicolle Ă Bordeaux, avec des sens uniques tĂȘte bĂȘche pour les automobilistes. A Pessac, les rues Ă©troites que sont lâavenue Jean Cordier, lâavenue de Candau et lâavenue Pierre Corneille et bien dâautres rues encore devraient ainsi ĂȘtre transformĂ©es en vĂ©lorues, en maintenant le passage des bus. \n\nDe façon gĂ©nĂ©rale, notre mĂ©tropole souffre dâun manque de logements dans un contexte de croissance dĂ©mographique et dâune agglomĂ©ration qui est parmi les moins denses de France. Nous sommes donc de façon gĂ©nĂ©rale favorables Ă ce qui contribue Ă construire la ville sur elle-mĂȘme, en sâappuyant au maximum sur la rĂ©habilitation et la reconversion de lâexistant, et en rĂ©servant les constructions Ă proximitĂ© des stations de transport en commun. Sinon, lâartificialisation des terres et la pĂ©riurbanisation vont continuer sur toute la Gironde, avec une dĂ©pendance Ă lâautomobile qui va encore renforcer la non soutenabilitĂ© de nos territoires. Mais cette densification ne sera acceptable que si la part modale des dĂ©placements en voiture diminue drastiquement et sâaccompagne dâune vĂ©ritable qualitĂ© de vie liĂ©e aussi Ă la vĂ©gĂ©talisation de la ville, parcs, jardins de proximitĂ©, grands arbres⊠La surface urbaine consacrĂ©e aux parkings auto de surface associĂ©es aux logements, entreprises et Ă©quipements reste considĂ©rable, en moyenne 24 m2 par vĂ©hicule avec les accĂšs. Ce sont des surfaces stĂ©riles, des Ăźlots de chaleur qui devraient ĂȘtre consacrĂ©s Ă des espaces verts ou du bĂąti. \n\nLe PLU doit prendre en compte le risque feu de forĂȘt, notamment sur Pessac\nDans le rapport de prĂ©sentation figure Ă juste titre le risque inondation et dans le paragraphe « B2.4. RĂ©duire la vulnĂ©rabilitĂ© du territoire aux autres risques naturels » ne figure que le « risque de mouvement de terrainâ. \nLe feu de forĂȘt qui a touchĂ© Pessac-Toctoucau en juillet 2015, puis les feux hors normes de lâĂ©tĂ© 2022, sans parler des incendies prĂ©coces en cours au Canada, montrent que la menace croit fortement avec le changement climatique. Il faudrait donc absolument arrĂȘter lâurbanisation en lisiĂšre de forĂȘt et amĂ©nager le territoire avec notamment des pare-feux, des cartographies de zones Ă risque avec des contraintes vis-Ă -vis de la vĂ©gĂ©tation des jardins et du dĂ©broussaillage.\n Sur Pessac, le reclassement de la partie de la zone Ă urbaniser AU13 situĂ©e au nord de rue Brunet ne devrait pas ĂȘtre reclassĂ© en UM21 qui correspond Ă un tissu Ă large dominante de maisons individuelles, mais carrĂ©ment en zone naturelle : des formes urbaines peu denses sur des grandes parcelles vĂ©gĂ©talisĂ©es sont trĂšs difficile Ă dĂ©fendre du feu. Il vaut mieux un urbanisme compact, dense, avec un linĂ©aire de lisiĂšre forestiĂšre de longueur rĂ©duite et surtout pas des petits hameaux avec des grands terrains. \nVoir les travaux de Christine Bouisset, MaĂźtre de confĂ©rences UMR 6031 CNRS, UniversitĂ© de Pau et des pays de l'Adour (UPPA) :\nâLes incendies actuels montrent Ă quel point cette urbanisation complique le travail des secours face Ă un incendie de grande ampleur. La prĂ©sence de nombreux quartiers et hameaux Ă©parpillĂ©s contraint les secours Ă gĂ©rer la mise en sĂ©curitĂ© de milliers de personnes et les oblige Ă disperser leurs moyens pour protĂ©ger les maisons dans une logique dĂ©fensive, au dĂ©triment dâune stratĂ©gie offensive permettant de maĂźtriser plus rapidement la progression du feu.â https://www.liberation.fr/environnement/incendies-lurbanisation-grandissante-pres-des-forets-complique-le-travail-des-pompiers-20220813_NZ43H6CGT5BYJHQV7IPNT35ZNU/\n\nPas de « dĂ©sencombrement » de lâespace en continuitĂ© avec le parc Lavielle\nNous sommes trĂšs favorables au classement des cyprĂšs chauves N° AI-5937 et Ă la protection de la trame verte et bleue du ruisseau dâArs/Lartigon P3508 . Mais le rectangle occupĂ© par le parc Lavielle et une ancienne propriĂ©tĂ©, entre lâavenue de Candau, lâavenue de la mission Haut Brion et lâavenue Schweitzer constitue un espace remarquable par son cĂŽtĂ© sauvage, dans un environnement trĂšs construit : sur Talence, le vallon du ruisseau dâArs est en voie dâĂȘtre intĂ©gralement bĂ©tonnĂ©, avec des rĂ©sidences et des grandes surfaces de parking auto (entre lâavenue Marc Sangnier et lâAvenue Roul). Le fond de la parcelle de la clinique mutualiste oĂč coule aussi le ruisseau dâArs vient dâĂȘtre largement impermĂ©abilisĂ© par des grands parkings auto qui auraient dĂ» ĂȘtre rĂ©alisĂ©s en ouvrage et payants, la clinique Ă©tant bien desservie par les transports publics et accessible Ă vĂ©lo.\nNous sommes donc trĂšs opposĂ©s Ă toute construction sur cet espace et donc trĂšs favorables Ă lâinterdiction de construire (Icin). Il y a pourtant actuellement un grand panneau le long de lâavenue de Candau annonçant une construction. \nMais nous sommes aussi tout Ă fait opposĂ©s à « un amĂ©nagement du bois sur la partie Est du parc Lavielle afin de le dĂ©sencombrer et de le transformer en parc urbain ». Le parc Lavielle est justement protĂ©gĂ© du nĆud routier environnant par cet espace Ă lâEst « encombré » de vĂ©gĂ©taux, on ne gagnerait rien Ă ce « nettoyage ». Au contraire, cette partie Est est garante de cette ambiance trĂšs nature du parc Lavielle actuel. Et il semble curieux que dans cette rĂ©vision lâon supprime la possibilitĂ© de crĂ©ation du bassin de retenue Fanning Lafontaine (suppression emplacement rĂ©servĂ© de superstructure 2.58). Alors que dans le mĂȘme temps il est prĂ©conisĂ© ce « dĂ©sencombrement » Ă 300 m en aval, donc de la partie Est du triangle comprenant le parc Lavielle Ă cause de forts risques dâinondation. Cette incohĂ©rence est trĂšs trĂšs surprenante.\nDeux autres ripisylves peu accessibles ont Ă©tĂ© traversĂ©es dâun chemin : le mĂȘme Lartigon/ruisseau dâArs Ă Pessac centre entre lâavenue Roger Chaumet et La Poste, et le Serpent entre Le Pontet et Saige oĂč une large piste bĂ©tonnĂ©e a Ă©tĂ© construite. Des espaces peu accessibles et sauvages sont donc devenus extrĂȘmement rares intra-rocade. \nEn revanche, le parc Razon Ă Pessac centre est en piteux Ă©tat, et est dĂ©foncĂ© un dimanche sur deux par des vides greniers avec des voitures garĂ©es sur les pelouses. Il faudrait mettre des moyens sur ce parc plutĂŽt que de dĂ©sencombre le ruisseau dâArs et y interdire les vides greniers.\n\nSecteur Rocquencourt/treefrog\nNous sommes favorables au reclassement du zonage du secteur Rocquencourt, de U10 Ă US2, Ă condition dâabandonner tout projet/rĂ©servation pour le passage dâune voie routiĂšre entre lâIUT et la rocade, et Ă condition que cette zone soit trĂšs accessible aux piĂ©tons et cyclistes et que le nombre de places de parking auto soit trĂšs rĂ©duit et en ouvrage. Les nouveaux espaces publics du Campus Pessac-Talence Ă lâintĂ©rieur des Ăźlots sont dâailleurs trĂšs peu adaptĂ©s Ă la circulation des cyclistes, avec des cheminements Ă angle droit, des escaliers, des bordures Ă franchir, des barriĂšres qui ne sâouvrent pas. Et il nây a aucun garage vĂ©lo fermĂ© alors que les vols de vĂ©los sont frĂ©quents. \n\nPetits dĂ©laissĂ©s Ă bĂątir\nVu lâĂ©norme demande en logements, les petits dĂ©laissĂ©s de lotissement devraient dâailleurs ĂȘtre bĂątis plutĂŽt que dâĂȘtre transformĂ©s en minuscules espaces verts que les collectivitĂ©s peinent Ă entretenir, et qui ne seront probablement que trĂšs peu utilisĂ©s. Ainsi le dĂ©laissĂ© de lotissement situĂ© Ă lâangle de la rue Lacordaire et de la rue Jules Verne pourrait ĂȘtre bĂąti, il faudrait dĂ©voyer la rue Lacordaire dans la parcelle 007 qui nâest quâune trĂšs grosse surface goudronnĂ©e inutile. Lâinscription de cet emplacement rĂ©servĂ© Ers 4.403 en jardin de quartier ne paraĂźt pas absolument nĂ©cessaire. Il y a assez de jardins alentour, et un vrai square Ă proximitĂ©, rue Cassin.\n\nProtection des Parcs, bĂątisses, maisons bourgeoises, maisons et Ă©choppes\nPessac comporte un important patrimoine de bĂątisses et maisons anciennes accompagnĂ©es dâarbres qui contribuent fortement au paysage, mais qui sont menacĂ©es de destruction (villa mauresque Ă Saige-Formanoir et chartreuse au 4 rue de Camponac dĂ©truites rĂ©cemment). Nous somme donc trĂšs favorables au classement de ce bĂąti et des parcs, Pessac comportant de vastes quartiers de maisons plus rĂ©centes sans aucune valeur esthĂ©tique, oĂč la densification nĂ©cessaire Ă la rĂ©sorption de la crise du logement peut avoir lieu. \nNous proposons de renforcer ou mettre en place les protections suivantes :\n - Classement en EBC du 10, rue Camponac en complĂ©ment de la protection E2165 (E2 Parcs et bĂątisses)\n- Classement en EBC du 2bis rue Camponac en complĂ©ment de la protection E2163\n\nA ce propos, le ruisseau du Pape ClĂ©ment, qui coule entre la rue de la Paix et lâavenue du docteur Nancel PĂ©nard (comprenant la propriĂ©tĂ© Ellul) et protĂ©gĂ© par un EBC P3506, est classĂ© en UP42-4L30 (zone dâintĂ©rĂȘt patrimonial) et comporte 3 arbres classĂ©s. Pour complĂ©ter la protection de cet endroit exceptionnel Ă Pessac, il faudrait Ă©largir lâEBC et aussi classer plusieurs bĂątis. En particulier la maison qui fait lâangle nord est du croisement de la rue de la Paix et de la rue du Pape ClĂ©ment (n° 23, avenue Pape ClĂ©ment) qui, avec son jardin qui constitue un ensemble remarquable. \nSes voisines aux 17 et 15 rue de la Paix mĂ©ritent le mĂȘme classement, EBC pour les parcelles et protections des maisons. Tout ce secteur est probablement en zone inondable, une forte densification est Ă proscrire. \nNous demandons aussi le classement des bĂątisses du 340 et 342 avenue du marĂ©chal de Lattre Tassigny ainsi que des bĂątisses au sud de lâavenue Pasteur entre la rue SabrazĂšs et la rue Gambetta. \nEt aussi : \nla maison Ă lâangle de la rue Jean Meyrau et de lâavenue du gĂ©nĂ©ral Leclerc, \nles arcachonnaises de la rue Danglade, \nla propriĂ©tĂ© au sud de la gare alouette France rue Martin Luther King.\nIl faudrait planter beaucoup plus d'arbres de grand dĂ©veloppement partout, par exemple place Chambrelent (Pessac) ou sur le pourtour du bassin de retenue de Carmaux (rue de la Fraternelle â Pessac/MĂ©rignac).\nLe secteur du Bois des Roses Ă Pessac fait lâobjet dâune protection P3218 et ne comprend quâun tout petit EBC au sud. Compte-tenu du caractĂšre exceptionnel de cet espace vert bien protĂ©gĂ© au coeur dâun grand Ăźlot, et de sa valeur paysagĂšre et rĂ©crĂ©ative, nous demandons quâun EBC soit inscrit sur la partie boisĂ©e du terrain du parc, et sur le numĂ©ro 8 de lâavenue de Brivazac qui comporte un ensemble exceptionnel de grands arbres. \nUne obligation de planter des arbres pourrait aussi ĂȘtre inscrite sur le terrain herbeux qui est derriĂšre le 9 de la rue Louis Armand (prolongement de la place du Muguet). Dâautant que ce quartier se densifie de plus en plus, notamment avec des rĂ©sidences Ă©tudiantes.\n\nEmplacements rĂ©servĂ©s infrastructure PiĂ©tons/VĂ©los\nNous sommes trĂšs favorables Ă la modification de lâERv P368 - Ălargissement de l'avenue J.Cordier entre l'av. des Ărables et l'av. du Vallon. Lâavenue Jean Cordier est un cauchemar pour les piĂ©tons, elle devrait dâailleurs ĂȘtre transformĂ©e en vĂ©lorue, sa largeur nâĂ©tant absolument pas adaptĂ©e Ă lâimportant trafic automobile quâelle supporte. \nLa mĂȘme remarque vaut pour la modification de lâERv T835 - Ălargissement de la rue de Candau entre l'av. du Pont de Chiquet et le chemin de Peybouquet.\nIl nous paraĂźt important de prolonger le cheminement piĂ©tons-vĂ©los le long du Peugue entre lâavenue des Provinces et la rue des FrĂšres RouyĂšre en crĂ©ant un emplacement rĂ©servĂ© Ă cet effet. Dans les zones urbanisĂ©e il est important de disposer de promenades/cheminements linĂ©aires sur des grandes distances, ce cheminement Ă©tant en outre un lien entre le bassin de Cap de Bos et la foret du Bourghail.\nLâaccĂšs au parc de Camponac Ă travers lâallĂ©e de Platane traversant la rĂ©sidence de Camponac le long des tennis a Ă©tĂ© supprimĂ© par un clotĂ»rage de la rĂ©sidence, il faut rĂ©tablir cette continuitĂ© nĂ©cessaire pour les piĂ©tons, cyclistes, PMR, personnes avec poussettes en mettant un emplacement rĂ©servĂ©. Le passage par la rue de Camponac ou lâavenue Roger Chaumet est trĂšs pĂ©nible. \nIl faut aussi mettre des obligations de plantation dâarbres dans cette rĂ©sidence de Camponac ou beaucoup dâarbres ont Ă©tĂ© coupĂ©s sans ĂȘtre remplacĂ©s, notamment le long de la voie de chemin de fer.\n\nUn emplacement rĂ©servĂ© est placĂ© au sud de lâavenue Nancel PĂ©nard P295. A cet endroit, les emprises sont trop Ă©troites pour mettre en place des trottoirs et bandes cyclables de 1,5 m de large chacun Ă cause de la propriĂ©tĂ© qui fait lâangle ouest avec la rue Baraillot (n° 147, avenue Nancel PĂ©nard). Cet endroit est dangereux pour les piĂ©tons et cyclistes, le long de cette voie Ă forte circulation motorisĂ©e. Nous rĂ©clamons donc la mise en place dâun emplacement rĂ©servĂ© sur cette propriĂ©tĂ© qui laisse une emprise de 12 m de façade Ă façade.\n"]
Version créée le
14/06/2023 12:52