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Du mauvais et du bon

Avatar: sandrine delbos sandrine delbos

Du mauvais et du bon 1) Un futur PLU contradictoire sur AMBARES! Comment peut-on promouvoir une charte paysagère, l’opération 1 million d’arbres ? Comment peut on vouloir modifier le PLU pour d’après le dossier de consultation apporter des réponses aux effets du changement climatique en confortant la préservation des espaces naturels, en accentuant la présence de la nature en ville ? Comment une commune, Ambares et Lagrave, peut-elle mettre en place une charte paysagère et demander au prochain PLU la mise en place de nombreux espaces boisés classés tout en délivrant aujourd’hui sur les parcelles concernées des autorisations de lotir par DP ou PA. C’est contradictoire mais révélateur de la politique de la commune : construire, construire alors que la commune prône à travers sa charte mais aussi la création de ces nouveaux EBC la volonté de « Promouvoir des projets de constructions soucieux du contexte naturel dans lequel ils s’insèrent. Refuser systématiquement des permis de construire qui « tournent le dos» à leur environnement, voire dévégétalisent ou nuisent aux qualités paysagères environnantes. Tout projet de construction doit participer au maintien et au renforcement des qualités paysagères de son quartier ! » (extrait de la charte paysagère) De plus ces autorisations d’urbanisme sont délivrées rapidement par la mairie afin de permettre aux promoteurs de bénéficier pendant 5 ans de la règlementation actuelle (sans EBC). En fait sur Ambares la demande de création d’EBC n’est qu’un écran de fumée : se dire plus vert mais tout bétonner ! 2) Remarques sur l’écriture : Comme le précédent le PLU 11ème est une usine à gaz ! Ne serait-il pas possible de mettre quelques schémas pour expliquer certaines règles et éviter les interprétations. Il manque des définitions par exemple que comprendre par fragmenter les volumes. La rédaction de l’article 2.3.1 pour la construction « isolée annexe à l’habitation » semble inappropriée et contradictoire avec les autres règles voulant favoriser la végétalisation. Il faut que ce bâti ne soit pas dans le cercle en pleine terre. Sinon à quoi ce dernier sert il si on peut y construire 30 m² dedans ? Or à la lecture de la règle le ‘sans tenir compte » pose problème. De même la rédaction de la notion d’annexe avec la proposition de « sans disposer d’accès direct à celle-ci au lieu de « isolée ». En effet, cela veut dire qu’il pourrait être proposée de coller ce bâti à la maison. Donc former une extension avec la maison. Or ce n’est pas du tout l’état d’esprit de ce type de bâti. Et cela va porter à confusion entre extension et annexe. Quelles sont les règles applicables si l’on veut faire une piscine en même temps que sa maison. Les règles dérogatoires pour la piscine ne concernent à priori que le cas où l’habitation est existante avant le PLU3.1. on devra donc appliquer les règles de la construction neuve ? Enfin, il serait nécessaire de réécrire la règle de la constructibilité des terrains desservis par une bande d’accès ou servitude de passage. En effet, cette règle est facilement détournée par les promoteurs ou particuliers. Ceux-ci créent en lieu et place d’une bande d’accès ou servitude dans les secteurs où elles sont interdites une voie répondant aux normes du PLU afin de pouvoir construire en 2nd rang ou alors autre système un permis de construire pour une 2ème maison sur l’arrière de la parcelle qui une fois achevée fait l’objet d’une division de terrain afin de détacher cette maison en 2nd rang. Quel est l’objectif voulu par BM ? si c’est de conserver les jardins situés à l’arrière ou les cœurs d’ilots ne faudrait il pas tout simplement interdire les constructions en 2nd rang (quelque soit son mode de desserte) et ne pas s’embêter avec la règle des bandes d’accès ou servitudes existantes ou non au PLU 3.1 (règle qui est trop facilement détournée) Sur le coefficient de végétalisation et les EPT, pourquoi certaines zones ne sont elles pas concernées ou ont des taux très bas ? Les zones US ont je pense autant d’impact sur les ilots de chaleur que les zones UM. A revoir Pour finir pourquoi autant de « doivent être privilégiés » pour l’aspect architectural. Le PLU ne peut-il pas à minima imposer aux constructions destinées au service public ou d’intérêt collectif mais aussi aux promoteurs ces nouvelles règles architecturales (double orientation, utilisation de matériaux naturels, renouvelables, recyclables, de réemploi, ou biosourcés, végétalisation et/ou l’implantation de panneaux photovoltaïques solaires lors de la réalisation d’une toiture terrasse, protections solaires externes, …). Ces constructions sont souvent les plus gourmandes en espace aussi elles doivent impérativement compenser dans la qualité de la construction afin de répondre aux défis de demain et offrir aux futurs usagers des lieux où il fait bon vivre. En vous remerciant

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