Onzième modification du PLUi 3.1 : enquête publique

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+["Un peu pressée par le temps, je n’ai pas assez vérifié les bases avant d’inscrire mes remarques sur la 11 ème modification du P.L.U. Il s’avère que, dans ses grandes lignes, notamment la création des sous-secteur A, B et C du règlement de la zone UP14 ne relèvent pas de l’actuelle modification, lui étaient antérieures, figurant sur la 9 ème modification approuvée le 24.01.2020. Mea culpa.\nToutefois cela modifie peu mes remarques, notamment du fait que, pour ce qui concerne le règlement du P.L.U. doit respecter d’une part le P.A.D.D., d’autre part le P.L.U alors effectif dont, pour ce quartier, l’O.A.P. du quartier du Grand Parc (BOR- GP CRP et OAP, pages 1 à 6/6), ce document étant celui du P.L.U.3.1, 1ère révision approuvée par délibération du Conseil de la Métropole en date du 16 décembre 2016. Cet important document, fil conducteur d’une gestion du secteur, est depuis lors applicable et s’impose. Non modifié dans le projet de 11 ème modification, il conserve son rôle de cadrage, doit être pris en compte et ne peut être laissé de côté notamment dans la rédaction du règlement de la zone UP14.\nLes remarques faites en juin 2021 lors de l’enquête publique-concertation pour la 11 ème modification (regard paysager, architectural et patrimonial), dont aucune n’a été reprise dans l’actuel document, gardent pour la plupart leur pertinence de fond : Remis en valeur depuis plus de quarante ans, Bordeaux a beaucoup gagné du fait des nombreux chantiers réalisés. Cela n’a empêché ni la création architecturale, ni la création des lignes de tram, ni la transformation spectaculaire, végétale et attractive des quais, bien au contraire puisque c’est le regard d’experts, et l’aspect réglementaire respecté qui a guidé ces interventions, qui est même à leur origine. Sans ces divers chantiers -majoritairement réussis pour ceux qui furent bien encadrés- qui ont redonné vie à une ville triste à pleurer au début des années 70, Bordeaux n’aurait pas été honorée du label Unesco en 2007, ses vieux immeubles laissés sans entretien, plus ou moins abandonnés du centre historique, caves parfois transformées en fausses sceptiques, rues et quais alors boulevards routiers n’auraient pas retrouvé la beauté et l’agrément que nous leur connaissons et qui attire tant. J’ai connu tout cela. Environnement mieux respecté et patrimoine se marient sans problème.\n Aujourd’hui, négliger la culture, l’urbanisme, l’architecture art majeur et le patrimoine dont le patrimoine moderne, c’est vouloir ignorer ce que le Bordeaux actuel doit à tout ce qui s’est fait depuis le milieu des années 70 au titre du patrimoine. C’est faire fi de l’expérience, de la connaissance acquise par la ville. Ce serait une bien curieuse idée.\n"]

+["Un peu pressée par le temps, je n’ai pas assez vérifié les bases avant d’inscrire mes remarques sur la 11 ème modification du P.L.U. Il s’avère que, dans ses grandes lignes, notamment la création des sous-secteur A, B et C du règlement de la zone UP14 ne relèvent pas de l’actuelle modification, lui étaient antérieures, figurant sur la 9 ème modification approuvée le 24.01.2020. Mea culpa.\nToutefois cela modifie peu mes remarques, notamment du fait que, pour ce qui concerne le règlement du P.L.U. doit respecter d’une part le P.A.D.D., d’autre part le P.L.U alors effectif dont, pour ce quartier, l’O.A.P. du quartier du Grand Parc (BOR- GP CRP et OAP, pages 1 à 6/6), ce document étant celui du P.L.U.3.1, 1ère révision approuvée par délibération du Conseil de la Métropole en date du 16 décembre 2016. Cet important document, fil conducteur d’une gestion du secteur, est depuis lors applicable et s’impose. Non modifié dans le projet de 11 ème modification, il conserve son rôle de cadrage, doit être pris en compte et ne peut être laissé de côté notamment dans la rédaction du règlement de la zone UP14.\nLes remarques faites en juin 2021 lors de l’enquête publique-concertation pour la 11 ème modification (regard paysager, architectural et patrimonial), dont aucune n’a été reprise dans l’actuel document, gardent pour la plupart leur pertinence de fond : Remis en valeur depuis plus de quarante ans, Bordeaux a beaucoup gagné du fait des nombreux chantiers réalisés. Cela n’a empêché ni la création architecturale, ni la création des lignes de tram, ni la transformation spectaculaire, végétale et attractive des quais, bien au contraire puisque c’est le regard d’experts, et l’aspect réglementaire respecté qui a guidé ces interventions, qui est même à leur origine. Sans ces divers chantiers -majoritairement réussis pour ceux qui furent bien encadrés- qui ont redonné vie à une ville triste à pleurer au début des années 70, Bordeaux n’aurait pas été honorée du label Unesco en 2007, ses vieux immeubles laissés sans entretien, plus ou moins abandonnés du centre historique, caves parfois transformées en fausses sceptiques, rues et quais alors boulevards routiers n’auraient pas retrouvé la beauté et l’agrément que nous leur connaissons et qui attire tant. J’ai connu tout cela. Environnement mieux respecté et patrimoine se marient sans problème.\n Aujourd’hui, négliger la culture, l’urbanisme, l’architecture art majeur et le patrimoine dont le patrimoine moderne, c’est vouloir ignorer ce que le Bordeaux actuel doit à tout ce qui s’est fait depuis le milieu des années 70 au titre du patrimoine. C’est faire fi de l’expérience, de la connaissance acquise par la ville. Ce serait une bien curieuse idée.\n"]

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+["Un peu pressée par le temps, je n’ai pas assez vérifié les bases avant d’inscrire mes remarques sur la 11 ème modification du P.L.U. Il s’avère que, dans ses grandes lignes, notamment la création des sous-secteur A, B et C du règlement de la zone UP14 ne relèvent pas de l’actuelle modification, lui étaient antérieures, figurant sur la 9 ème modification approuvée le 24.01.2020. Mea culpa.\nToutefois cela modifie peu mes remarques, notamment du fait que, pour ce qui concerne le règlement du P.L.U. doit respecter d’une part le P.A.D.D., d’autre part le P.L.U alors effectif dont, pour ce quartier, l’O.A.P. du quartier du Grand Parc (BOR- GP CRP et OAP, pages 1 à 6/6), ce document étant celui du P.L.U.3.1, 1ère révision approuvée par délibération du Conseil de la Métropole en date du 16 décembre 2016. Cet important document, fil conducteur d’une gestion du secteur, est depuis lors applicable et s’impose. Non modifié dans le projet de 11 ème modification, il conserve son rôle de cadrage, doit être pris en compte et ne peut être laissé de côté notamment dans la rédaction du règlement de la zone UP14.\nLes remarques faites en juin 2021 lors de l’enquête publique-concertation pour la 11 ème modification (regard paysager, architectural et patrimonial), dont aucune n’a été reprise dans l’actuel document, gardent pour la plupart leur pertinence de fond : Remis en valeur depuis plus de quarante ans, Bordeaux a beaucoup gagné du fait des nombreux chantiers réalisés. Cela n’a empêché ni la création architecturale, ni la création des lignes de tram, ni la transformation spectaculaire, végétale et attractive des quais, bien au contraire puisque c’est le regard d’experts, et l’aspect réglementaire respecté qui a guidé ces interventions, qui est même à leur origine. Sans ces divers chantiers -majoritairement réussis pour ceux qui furent bien encadrés- qui ont redonné vie à une ville triste à pleurer au début des années 70, Bordeaux n’aurait pas été honorée du label Unesco en 2007, ses vieux immeubles laissés sans entretien, plus ou moins abandonnés du centre historique, caves parfois transformées en fausses sceptiques, rues et quais alors boulevards routiers n’auraient pas retrouvé la beauté et l’agrément que nous leur connaissons et qui attire tant. J’ai connu tout cela. Environnement mieux respecté et patrimoine se marient sans problème.\n Aujourd’hui, négliger la culture, l’urbanisme, l’architecture art majeur et le patrimoine dont le patrimoine moderne, c’est vouloir ignorer ce que le Bordeaux actuel doit à tout ce qui s’est fait depuis le milieu des années 70 au titre du patrimoine. C’est faire fi de l’expérience, de la connaissance acquise par la ville. Ce serait une bien curieuse idée.\n"]

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+["Un peu pressée par le temps, je n’ai pas assez vérifié les bases avant d’inscrire mes remarques sur la 11 ème modification du P.L.U. Il s’avère que, dans ses grandes lignes, notamment la création des sous-secteur A, B et C du règlement de la zone UP14 ne relèvent pas de l’actuelle modification, lui étaient antérieures, figurant sur la 9 ème modification approuvée le 24.01.2020. Mea culpa.\nToutefois cela modifie peu mes remarques, notamment du fait que, pour ce qui concerne le règlement du P.L.U. doit respecter d’une part le P.A.D.D., d’autre part le P.L.U alors effectif dont, pour ce quartier, l’O.A.P. du quartier du Grand Parc (BOR- GP CRP et OAP, pages 1 à 6/6), ce document étant celui du P.L.U.3.1, 1ère révision approuvée par délibération du Conseil de la Métropole en date du 16 décembre 2016. Cet important document, fil conducteur d’une gestion du secteur, est depuis lors applicable et s’impose. Non modifié dans le projet de 11 ème modification, il conserve son rôle de cadrage, doit être pris en compte et ne peut être laissé de côté notamment dans la rédaction du règlement de la zone UP14.\nLes remarques faites en juin 2021 lors de l’enquête publique-concertation pour la 11 ème modification (regard paysager, architectural et patrimonial), dont aucune n’a été reprise dans l’actuel document, gardent pour la plupart leur pertinence de fond : Remis en valeur depuis plus de quarante ans, Bordeaux a beaucoup gagné du fait des nombreux chantiers réalisés. Cela n’a empêché ni la création architecturale, ni la création des lignes de tram, ni la transformation spectaculaire, végétale et attractive des quais, bien au contraire puisque c’est le regard d’experts, et l’aspect réglementaire respecté qui a guidé ces interventions, qui est même à leur origine. Sans ces divers chantiers -majoritairement réussis pour ceux qui furent bien encadrés- qui ont redonné vie à une ville triste à pleurer au début des années 70, Bordeaux n’aurait pas été honorée du label Unesco en 2007, ses vieux immeubles laissés sans entretien, plus ou moins abandonnés du centre historique, caves parfois transformées en fausses sceptiques, rues et quais alors boulevards routiers n’auraient pas retrouvé la beauté et l’agrément que nous leur connaissons et qui attire tant. J’ai connu tout cela. Environnement mieux respecté et patrimoine se marient sans problème.\n Aujourd’hui, négliger la culture, l’urbanisme, l’architecture art majeur et le patrimoine dont le patrimoine moderne, c’est vouloir ignorer ce que le Bordeaux actuel doit à tout ce qui s’est fait depuis le milieu des années 70 au titre du patrimoine. C’est faire fi de l’expérience, de la connaissance acquise par la ville. Ce serait une bien curieuse idée.\n"]

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Version créée le 11/06/2023 20:52