Onzième modification du PLUi 3.1 : enquête publique
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- +["\t\t\t\t\t\t\t\n(copie de mes remarques 10.06.2021, mises dans le registre papier)\n\nObjet : plan local d’urbanisme (P.L.U.) de Bordeaux Métropole 11ème modification : concertation légale\n\nEn vue de la future 11ème modification du P.L.U. de la métropole de Bordeaux, veuillez trouver ci-dessous mes remarques concernant la cité du Grand Parc à Bordeaux :\nBordeaux Unesco Port de la lune:\nLa cité du Grand Parc et, plus généralement, le quartier allant jusqu’aux boulevards et la place Ravesies sont inclus dans le secteur « Bordeaux Unesco, port de la lune » plus précisément son secteur central, principal, et non son secteur périphérique, zone tampon. Au sein de la zone centrale, les projets touchant le droit du sol devront respecter les qualités et spécificités du tissu urbain existant, être étudié avec les autorités compétentes, ce regard étant moins pointu dans la zone tampon. Cette situation est une volonté d’origine, qui prend en compte le caractère affirmé de la cité du Grand Parc, urbanisme et architecture modernes. La gestion du droit du sol, au Grand Parc, doit donc être en cohérence avec cette situation. \n\nLabel patrimoine 20 ème siècle puis loi CAP et architecture contemporaine remarquable :\n\nLa Salle des Fêtes du Grand Parc a reçu le label « patrimoine label XXème siècle » en 2007, puis l’ensemble de la cité du Grand Parc a fait l’objet de cette distinction en 2015, du fait de l’harmonie, la cohérence et l’ambition du programme d’origine, sa qualité. Pas plus que le label Unesco celui-ci n’est pas une protection au titre de la loi sur les Monuments Historiques, et ne l’équivaut pas. Cela ne « protège pas » mais la DRAC doit être saisie, étant en effet amenée à donner un avis sur tous les projets qui doivent de ce fait lui être soumis. \n C’est en outre le premier palier vers une éventuelle protection de certains bâtiments au titre de la loi sur les M.H., c’est l’esprit du texte, qui a d’ailleurs été renforcé dans le cadre de la loi CAP (Création, Architecture, Patrimoine). A la suite de cette même loi, l’architecture récente n’est plus labellisée « label XXème siècle » mais « architecture contemporaine remarquable ». La gestion est devenue un peu plus qualitativement exigeante, l’Etat ayant pris conscience des risques importants que court ce patrimoine récent mal connu du public, et de ce fait mal aimé\n\n\nP.L.U. et Code de l’urbanisme, valorisation des éléments bâtis ou non bâtis, dont patrimoine, paysages, arbres et allées d’arbres, espaces humides etc… \n\nCurieusement, et à contrario des points ci-dessus, contrairement aussi à d’autres réalisations du XXème siècle dans Bordeaux (non labellisées patrimoine XXème siècle) il n’existe dans le P.L.U. actuel aucun élément bâti repéré et listé pour son intérêt particulier au sein de la cité du Grand Parc. (5 -1 règlement / pièces écrites / 2) dispositions relatives à l’environnement et aux continuités écologiques, aux paysages et au patrimoine et paysagères / tableau B : édifices et éléments bâtis notamment B4 édifices religieux et B8 édifices particuliers- et report sur plan). Outil et aide à la gestion, le P.L.U. présente ici une incohérence inconfortable, un retard préjudiciable à son efficacité. \n\nQuelques rares arbres sont listés, qui ne reflètent pas la grande richesse végétale paysagère d’un secteur arboré de 50 hectares qui ne s’appelle pas « le Grand Parc » sans raison, et ce malgré les tempêtes qui l’ont ravagé, associées au manque d’entretien voire l’abandon des vingt dernières années qui l’ont fragilisé et appauvri, aidant à lui substituer peu à peu, par morcellement, des projets de nouvelles constructions, au détriment d’une population majoritairement modeste dont c’est le seul mais grand espace naturel proche de respiration. \nUn projet de requalification de l’espace central est en cours dont on peut cependant craindre que l’accent mis sur la création de (larges) voies orthogonales facilite involontairement le vandalisme existant par les rodéos (scooters, quads, voitures...) devenus permanents sur un territoire dont la qualité intrinsèque d’origine et les bienfaits environnementaux ont été négligés voire mal traités.\n\nPour remédier aux lacunes de l’actuel P.L.U., devenues incompréhensibles à propos de cette cité, contradictoires avec les qualités qui lui sont désormais officiellement reconnues, il conviendrait de réaliser un repérage sur plan et listage des éléments bâtis les plus intéressants, notamment :\n-Salle des fêtes du Grand Parc, dont la réhabilitation et restauration réussie est saluée de tous (architecte : S. Botarelli, R. Bedout, C. Ferret ; décor céramique conçu par C. Ferret, réalisé par P. Corriger (rubrique B 8)\n-Eglise de la Trinité (architectes A. Conte et G. Prymersky ; vitraux H. Guérin) (rubrique B 4) \n- Centre d’Animation, ancienne Maison des Jeunes et de la Culture (architectes G. Autier et G. Pessard. décor de façade Annette Messager, artiste connue sur le plan international. (B 8)\n- Mairie annexe- poste, qui a fait l’objet d’interventions maladroites la dégradant et mérite une remise en valeur qualitative, y compris son patio central végétal et ses bassins, dénaturés il y a quelques années. Ce bâtiment a, cachées, endormies, toutes ses potentialités. (B 8)\n- Pourquoi pas aussi, maintenant, les immeubles G.H. et I dont la réhabilitation et réinterprétation contemporaine à la fois respectueuse de l’architecture d’origine, mais aussi ambitieuse et généreuse leur a valu plusieurs prix (dont le Mies van der Rohe Award, prix européen en 2019). Le Pritzker Price, équivalent d’un prix Nobel pour l’architecture, vient d’être attribué aux architectes Lacaton et Vassal pour l’ensemble de leur œuvre. (B 8)\n- A moins que l’on ne préfère pour toute la cité un repérage E « ensembles bâtis et paysagers », plus global mais peut-être ici moins pratique, moins adapté.\n- Jouxtant le Grand Parc, la résidence Jasminéa, des architectes Leibar et Seigneurin, rue R. Schuman, pourrait rentrer dans ce repérage, du fait de la loi CAP. (B 8)\n\n\nDe même, il serait nécessaire, simple, et répondant à la politique municipale, de lister un plus grand nombres d’arbres, isolés ou non, mais intéressants, que ce soit pour leur rôle de témoin de ce que fut le quartier avant la cité (arbres de l’ancien rond-point de Luze, cèdres et autres grands et vieux arbres issus de propriétés privées disparues) pour leur rôle structurant la composition urbaine, ainsi les arbres d’alignement, ou pour leur qualité esthétique et environnementale, établissant aussi d’agréables filtres visuels et aidant à l’abaissement de la température en été. A la différence de ce qui se fit lors de la création de la cité, cette étude et sélection devra tenir compte de la nature des sols, et des nécessités liées au réchauffement climatique. Il fait bien plus chaud, le soleil tape, depuis quelques temps, sur les nouveaux espaces minéralisés jouxtant la place de l’Europe. Certains arbres sont morts, qui ne bénéficiaient pas du sol correspondant à leurs besoins. Il faut noter qu’il n’existe plus aucun bassin, plus aucun point d’eau (fontaine) au Grand Parc. Tous ont été supprimés ou neutralisés, oubliant les besoins humains et les chauds étés urbains girondins.\n\nEspaces boisés classés (E.B.C.) : \n\nPrésents dans le P.L.U. créé en 2005, figurant notamment sur une grande partie de la parcelle cadastrale 60, section PX, du cœur du Grand Parc, une notable quantité des espaces boisés classés (E.B.C.) ont été supprimés lors d’une révision ultérieure, permettant une plus grande constructibilité des terrains jusqu’alors naturels, mais réduisant les espaces verts.. Il conviendrait au contraire de réviser, améliorer sensiblement et de manière plus appropriée les E.B.C. sur un secteur déjà assez occupé par l’habitat, notamment social et qui ne saurait avoir vocation à devenir une réserve foncière, à moins d’en trahir l’essence même et la qualité de vie voulue à l’origine par la ville de Bordeaux et les bailleurs sociaux. S’il y a la volonté publique, et les moyens associés, le Grand Parc peut redevenir, parallèlement aux immeubles de logements, aux activités et aux équipements un grand jardin public et un quartier attirant. L’opération GHI allait dans ce sens, qui valorise aussi Bordeaux.\n\nUne attention particulière devrait être portée à un espace limité en surface, quasi inconnu, mais d’un intérêt particulier, véritable pépite venue d’un paysage disparu et qu’il faut absolument sauvegarder : sur la parcelle cadastrale PW 54 et une petite partie de la parcelle PW 64, à l’angle de la rue Henri Expert, passe encore à l’air libre le Limancet, ruisseau canalisé sur la plupart de son parcours. Discrète, cette enclave présente par suite aussi une végétation riche qui a poussé naturellement et sans contrainte, biotope intéressant pour la faune et la flore au cœur du béton, mais fragile. Le pont ancien situé sur la parcelle voisine n° 67, propriété privée, mériterait de figurer dans le petit patrimoine à repérer (B 7).\n\nBordeaux ville de Pierre :\n\nLa ville de Bordeaux a entrepris en 2004 et sur la totalité de son territoire un recensement du paysage architectural et urbain, concernant alors précisément la « ville de pierre », c'est-à -dire le bâti ancien traditionnel. Une mission spécifique a été créée, qui a achevé ce travail en 2019. Utilisant d’autres modes constructifs, d’autres matériaux et partis architecturaux, il est normal que le patrimoine plus récent (tels que architecture industrielle, stades, salles de spectacles et autres équipements, cités comme celle de la Benauge et cité du Grand Parc) n’y figurent pas : Une autre grille d’analyse doit s’adapter à eux. La ville de Bordeaux entreprenant la remise en valeur de la ceinture des boulevards, ce repérage est d’ores et déjà indispensable. En outre 23% des parcelles de la ville de pierre contiennent au moins un immeuble en béton, briques, bois, métal, etc. (info Bordeaux ville de pierre- expo. mission recensement). \nLe recensement du patrimoine architectural de chaque bâtiment du Grand Parc amènera, par ses critères objectifs, un travail analytique adapté, une gradation de qualité permettant ensuite, comme pour la ville de pierre et grâce aux dispositions réglementaires du P.L.U. la préservation et la mise en valeur de ce patrimoine dans le cadre d’une gestion mieux maîtrisée, plus qualitative et plus sereine.\n\n\nLoi sur les Monuments Historiques :\n\nIl n’y a actuellement pas de bâtiment protégé au titre des Monuments Historiques dans le quartier du Grand Parc ni à sa proximité. Par suite, la plupart du secteur nord de la ville intra-boulevards n’est touché par aucune servitude de protection des abords des M.H. (rayon de protection). C’est quasiment le seul secteur de la ville en ce cas, ce qui n’est pas le reflet d’une volonté ou d’un abandon, mais le fait d’un secteur urbanisé plus récemment, d’un patrimoine plus jeune. Plus « libre », du fait de l’absence de M.H., la gestion y est par définition juridiquement moins exigeante en termes de qualité architecturale. Ce n’est pas, par effet inverse, sans implication. Le risque est notamment d’avoir ici moins de recherche d’intégration des projets dans le tissu urbain existant, une moindre possibilité, pour la ville gestionnaire, d’obtenir une harmonie d’ensemble et une difficulté pour elle à éviter les projets d’architecture célibataire, le tout au détriment aussi des qualités propres au secteur.\nIl a été vu plus haut que le label « architecture contemporaine remarquable », issu de la loi C.A.P. (Création, Architecture, Patrimoine) est le premier palier vers une éventuelle protection au titre de la loi sur les M.H. Parmi les immeubles du Grand Parc, plusieurs bâtiments pourraient faire l’objet d’une demande de protection monument historique auprès de la Direction Régionale des Affaires Culturelles (D.R.A.C.). Outre la reconnaissance juridique officielle qui dépasse celle liée aux labels, cette protection permettrait une gestion optimisée des bâtiments et leurs travaux. Elle permettrait potentiellement les subventions correspondantes. Une demande faite conjointement sur plusieurs bâtiments du Grand Parc donnerait certainement du poids à la démarche communale.\n Ces protections valoriseraient de toute évidence ce quartier encore mal connu mais inclus comme on l’a vu à l’intérieur des périmètres patrimoniaux bordelais. Preuve en est avec le rayonnement retrouvé de la Salle des Fêtes, et pas seulement pour les qualités de l’équipement : Son architecture et sa façade séduisent, qui sont désormais mis en avant dans la communication locale et les brochures touristiques. La gestion des abords de M.H. serait pour autant là encore sur mesure, adaptée aux spécificités de la cité dans laquelle nul ne demandera, demain, d’utiliser pierre de taille ou tuiles canal ! \n\nParmi ces bâtiments se retrouve évidemment la Salle des Fêtes. Viennent ensuite des bâtiments déjà cités : l’église la Trinité (l’église du Saint Esprit, à Lormont, d’époque et typologie architecturale similaire est inscrite à l’inventaire des M.H. par arrêté du 07.12.2000) le centre d’animation et aussi la mairie. Le centre d’animation, fatigué et défraichi, mais par chance encore « dans son jus », nécessite d’importants travaux tant intérieurs qu’extérieurs. Il est nécessaire qu’ils en respectent le caractère, la qualité architecturale et artistique (dont restauration des décors d’A. Messager). Il faut avoir cette approche de restauration. Le coût, lourd comme ce fut inévitablement le cas pour la Salle des Fêtes, serait moindre pour la collectivité si le bâtiment pouvait bénéficier des subventionnements correspondants.\nUn peu plus tard, la mairie annexe – poste mériterait un nouveau regard afin de révéler ses très réelles importantes qualités architecturales, actuellement difficilement lisibles sous les dénaturations successives (dont neutralisation bassins du patio). Cela pourrait entrer dans le cadre d’un double projet de protection et restauration-transformation, subventionné à divers titres. \nA l’exception d’une très belle composition murale en céramique à thème décoratif sur un mur intérieur d’un commerce (actuel pressing, ancienne poissonnerie), qu’il faudra en son temps sauver d’une éventuelle démolition du bâtiment, il n’est plus guère possible d’évoquer le centre commercial de l’Europe. Particulièrement intéressant à l’origine, novateur, il a vieilli puis été dénaturé par une très médiocre réhabilitation-maquillage il y a une quinzaine d’années. Il a été depuis partiellement détruit par un incendie et enfin occupé et vidé de sa fréquentation normale par la présence envahissante et dégradante de trafics en tous genres. \n\nAutres :\nIl semble donc que la démolition reconstruction du centre commercial de l’Europe soit en cours d’étude. Ce centre, bas et formé de bâtiments orthogonaux encadrant une large allée centrale découverte, recoupé par des allées perpendiculaires, était à l’origine très transparent, ouvert, offrant une multiplicité d’accès lui conférant légèreté et transparence. Sa faible hauteur, R+1, le rendait discret, vite caché aux vues des appartements des immeubles bien plus élevés, caché par les arbres l’entourant. Dans un contexte aujourd’hui bien différent, il semble très important de sauvegarder cet effet de cuvette de l’urbanisme du Grand Parc, les plus hauts bâtiments formant très volontairement les limites extérieures de la cité et limitant ainsi les vues entre logements. C’est en découvrant cela que j’ai –je crois la première- nommé dans mes remarques « Central Park » le cœur du Grand Parc, lors de l’enquête publique de la création du P.L.U. 2005. Tout en tenant nécessairement compte du difficile contexte et des besoins actuels, il importe de ne pas substituer au centre commercial bas et aéré un ensemble bâti haut et massif, qui porterait une très lourde atteinte aux qualités urbaines intrinsèques de la cité. Opposé aux dispositions d’origine, il serait en outre un véritable et volumineux obstacle central éloignant les habitants les uns des autres, la voiture devenant reine des lieux. Sauf à risquer l’incohérence, on peut en outre difficilement décider d’avoir moins de parkings que souhaité par un opérateur dans une rue commerçante à crééer, très proche de la gare, important axe de passage, et rajouter des parkings en hauteur au cœur d’un secteur d’habitat bien nommé Grand Parc. Par contre, des parkings pourraient se faire en sous-sol : on en fit il n’y a pas si longtemps sur les quais, un terrain et un contexte humide bien plus difficiles.\nLe Centre Social et Culturel, sa surface utile indispensable ne sauraient être amoindris sans porter une atteinte lourde et dommageable atteinte au très difficile équilibre social du quartier.\nIl faut sans doute vivre au Grand Parc pour savoir à quel point les structures sociales existantes sont indispensables, et devraient être renforcées. La précédente municipalité souhaitait « déplacer » le bâtiment, se référant pour cela au plan guide de l’agence Base, paysagistes, et le fait qu’il représentait un obstacle visuel vers les espaces verts. Or ce plan guide avait été conçu en fonction des demandes de son client, la municipalité. Celle-ci avait se basait sans doute sur une précédente étude de l’Aurba, qui proposait en effet le déplacement du bâtiment dans un but de lien et transparence entre le grand espace vert et le parking de la place de l’Europe, qu’elle proposait de totalement transformer en espace vert, les parkings étant redistribués en périphérie du quartier. Un bâtiment –par ex. le centre social- venait alors fermer perpendiculairement ce nouvel espace côté rue (ancien rond point et espace dévolu au marché). Le parking étant resté en place, l’argument tombe. Le déplacement du bâtiment n’a plus de motifs. \n \nVégétalisation des toits ? Il semble encore souhaitable de souligner le fait que la cité du Grand Parc présente des bâtiments très majoritairement à toit plat. L’aspect des vélums s’accorderait bien, semble t-il, avec la présence de panneaux solaires, de toitures végétalisées, de ruches, etc. Dans ce quartier, sachant que ce ne n’est pas s’aventurer beaucoup que dire que cela ne nuirait certainement en rien aux labels et protections juridiques, au contraire, n’y aurait-il pas possibilité de développer certaines de ces solutions, au cas par cas, au moins sur certains des bâtiments publics et surfaces commerciales telles qu’Auchan ?\nAutre point, qui n’est pas spécifique au Grand Parc, ni même Bordelais : Comment le P.L.U. pourrait-il amener les réalisateurs d’opérations immobilières (sociétés et particuliers, tout public) à utiliser un éclairage nocturne extérieur mesuré, moins violent et agressif que ce qui fleurit partout depuis quelques années ? C’est une pollution nocturne aussi démesurée qu’inutile pour les uns, nuisible pour tous les autres. \nNota : plusieurs plans analytiques et des propositions avaient été joints à mes remarques sur le PLU mis à enquête publique en 2004, dont un relevé des arbres du Grand Parc. Ces dossiers doivent exister dans vos archives. Ils ne sont plus à jour mais mémoire d’un moment. J’en dispose toujours.\n"]
Version créée le
10/06/2023 10:54