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  • +Je ne considère pas l

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  • +Je ne considère pas l’urbanisation comme une chose négative. Cependant, ce qui est négatif c’est de ne pas anticiper. Ne pas anticiper les infrastructures routières (voitures/cycles/velos/piétons) est un obstacle à l’acceptation des projets en cours et futurs. Des personnes se garent effectivement sur ces parcelles (qu’elles aillent prendre le tram ou dans les commerces de proximité). Le quartier du secteur Vaclav Havel est déjà victime du stationnement sauvage, dans son ensemble. la route de Toulouse, hormis les embouteillages, n’est plus structurée comme il le faut pour accueillir les personnes étant dans l’obligation de prendre la voiture. Nous habitons à Villenave, à la limite de Begles et chaque jour j’amène mon enfant à l’école la plus proche. Donc tous les jours je passe par le quartier de Vaclav Havel et je dois traverser la rue Louise Mallet et l’avenue Danielle Mitterand, notamment. Entre le stationnement sauvage, sur la voie de roulage et les embouteillages, autant vous dire que les trajets ne sont pas paisibles. Une fois mon enfant a l’école, il faut se rendre au travail et arriver à l’heure aussi, ce qui n’est pas toujours évident. Ainsi, avant de souhaiter réaliser de nouvelles opérations immobilières privées ou sociales, et donc d’aggraver le problème des embouteillages et du mal stationnement, il s’agirait de trouver la meilleure solution pour que tous les usagers de la route (a pied, à vélo, en bus, en tram ou en voiture) puissent se déplacer de manières plus apaisée. Des lors, les consultations pour déclasser des parcelles ne seraient que des formalités administratives. La clé n’est elle pas d’anticiper sur les besoins actuels des habitants du quartiers et usagers avant de rajouter de nouveaux habitants et usagers avec les mêmes problématiques?

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