Projet de Zone à Faibles Emissions mobilité (ZFE-m)

Projet

Changements sur "Bonjour, ce principe d"

Sélectionner le mode de vue :

Mode d'affichage HTML :

Titre

+{"fr"=>"Bonjour, ce principe d"}

Corps du texte

+["Bonjour, ce principe d'interdiction fondé sur la vignette Crit'air, elle même décorrélée des émissions réelles des véhicules, me paraît totalement délirant.\nIl est admis que sur un véhicule moderne le gros des émissions de particules fines provient des freins et de pneus, de plus en plus larges. Pourquoi dans ces conditions bannir des véhicules, représentant un faible pourcentage du total des véhicules en circulation suivant vos propres chiffres, et donc un faible pourcentage des émissions?\nLes données avancées supposent que les véhicules pris en compte émettent autant que la limite haute de certification, certainement majorée d'un coefficient de vieillissement. Il y a donc ds chances que le parc incriminé émettent moins que ces projections, diminuant d'autant l'impact réel sur la qualité de l'air.\nEnfin, quelles dérogations intelligentes seront possibles à ce dispositif pour ne pas pénaliser les citoyens dont les usages contribuent peu aux problématiques de qualité de l'air.\nRésidant dans l'emprise de la future ZFE, j'ai 3 véhicules. 1 électrique et 1 essence convertie au E85, qui servent tous les jours pour les trajets pour les enfants et le travail, je me déplace également régulièrement à vélo.\nLe dernier véhicule est un diesel Crit'air 4, utilisé pour les déplacements plus importants (vacances, week-ends, ...), et lorsque l'un des autres véhicules est indisponible (entretien, panne). Ce véhicule est appelé à être interdit de circulation. Il faudrait donc que je le remplace, malgré les investissements sur les autres véhicules du quotidien, malgré l'impact écologique de la fabrication d'un véhicule neux pour remplacer un véhicule amorti depuis plus de 20 ans et parfaitement opérationnel, malgré la faible circulation annuelle du véhicule?\nBien entendu, je suis considéré comme trop riche pour prétendre à une aide financière conséquente, pourtant mes revenus ne me permettent pas d'investir dans un nouveau véhicule récent suffisamment grand pour une famille de 5.\nD'autant que rien ne garantit que d'ici 5 ans ce nouveau véhicule ne sera pas à son tour banni de la ZFE.\nEnfin, je ne vois nulle part d'engagement à réaliser un bilan quantitatif de l'impact réel de la mesure sur la qualité de l'air, à distance raisonnable de sa mise en place? C'est pourtant un jalon important de toute démarche scientifique. Comme si, comme à l'accoutumée, ce genre de décision politique était pris au doigt mouillé, par des technocrates déconnectés de la réalité et influencés par des lobbys aux intérêts très éloignés de l'objectif annoncé."]

+["Bonjour, ce principe d'interdiction fondé sur la vignette Crit'air, elle même décorrélée des émissions réelles des véhicules, me paraît totalement délirant.\nIl est admis que sur un véhicule moderne le gros des émissions de particules fines provient des freins et de pneus, de plus en plus larges. Pourquoi dans ces conditions bannir des véhicules, représentant un faible pourcentage du total des véhicules en circulation suivant vos propres chiffres, et donc un faible pourcentage des émissions?\nLes données avancées supposent que les véhicules pris en compte émettent autant que la limite haute de certification, certainement majorée d'un coefficient de vieillissement. Il y a donc ds chances que le parc incriminé émettent moins que ces projections, diminuant d'autant l'impact réel sur la qualité de l'air.\nEnfin, quelles dérogations intelligentes seront possibles à ce dispositif pour ne pas pénaliser les citoyens dont les usages contribuent peu aux problématiques de qualité de l'air.\nRésidant dans l'emprise de la future ZFE, j'ai 3 véhicules. 1 électrique et 1 essence convertie au E85, qui servent tous les jours pour les trajets pour les enfants et le travail, je me déplace également régulièrement à vélo.\nLe dernier véhicule est un diesel Crit'air 4, utilisé pour les déplacements plus importants (vacances, week-ends, ...), et lorsque l'un des autres véhicules est indisponible (entretien, panne). Ce véhicule est appelé à être interdit de circulation. Il faudrait donc que je le remplace, malgré les investissements sur les autres véhicules du quotidien, malgré l'impact écologique de la fabrication d'un véhicule neux pour remplacer un véhicule amorti depuis plus de 20 ans et parfaitement opérationnel, malgré la faible circulation annuelle du véhicule?\nBien entendu, je suis considéré comme trop riche pour prétendre à une aide financière conséquente, pourtant mes revenus ne me permettent pas d'investir dans un nouveau véhicule récent suffisamment grand pour une famille de 5.\nD'autant que rien ne garantit que d'ici 5 ans ce nouveau véhicule ne sera pas à son tour banni de la ZFE.\nEnfin, je ne vois nulle part d'engagement à réaliser un bilan quantitatif de l'impact réel de la mesure sur la qualité de l'air, à distance raisonnable de sa mise en place? C'est pourtant un jalon important de toute démarche scientifique. Comme si, comme à l'accoutumée, ce genre de décision politique était pris au doigt mouillé, par des technocrates déconnectés de la réalité et influencés par des lobbys aux intérêts très éloignés de l'objectif annoncé."]

Suppressions

Ajouts

+["Bonjour, ce principe d'interdiction fondé sur la vignette Crit'air, elle même décorrélée des émissions réelles des véhicules, me paraît totalement délirant.\nIl est admis que sur un véhicule moderne le gros des émissions de particules fines provient des freins et de pneus, de plus en plus larges. Pourquoi dans ces conditions bannir des véhicules, représentant un faible pourcentage du total des véhicules en circulation suivant vos propres chiffres, et donc un faible pourcentage des émissions?\nLes données avancées supposent que les véhicules pris en compte émettent autant que la limite haute de certification, certainement majorée d'un coefficient de vieillissement. Il y a donc ds chances que le parc incriminé émettent moins que ces projections, diminuant d'autant l'impact réel sur la qualité de l'air.\nEnfin, quelles dérogations intelligentes seront possibles à ce dispositif pour ne pas pénaliser les citoyens dont les usages contribuent peu aux problématiques de qualité de l'air.\nRésidant dans l'emprise de la future ZFE, j'ai 3 véhicules. 1 électrique et 1 essence convertie au E85, qui servent tous les jours pour les trajets pour les enfants et le travail, je me déplace également régulièrement à vélo.\nLe dernier véhicule est un diesel Crit'air 4, utilisé pour les déplacements plus importants (vacances, week-ends, ...), et lorsque l'un des autres véhicules est indisponible (entretien, panne). Ce véhicule est appelé à être interdit de circulation. Il faudrait donc que je le remplace, malgré les investissements sur les autres véhicules du quotidien, malgré l'impact écologique de la fabrication d'un véhicule neux pour remplacer un véhicule amorti depuis plus de 20 ans et parfaitement opérationnel, malgré la faible circulation annuelle du véhicule?\nBien entendu, je suis considéré comme trop riche pour prétendre à une aide financière conséquente, pourtant mes revenus ne me permettent pas d'investir dans un nouveau véhicule récent suffisamment grand pour une famille de 5.\nD'autant que rien ne garantit que d'ici 5 ans ce nouveau véhicule ne sera pas à son tour banni de la ZFE.\nEnfin, je ne vois nulle part d'engagement à réaliser un bilan quantitatif de l'impact réel de la mesure sur la qualité de l'air, à distance raisonnable de sa mise en place? C'est pourtant un jalon important de toute démarche scientifique. Comme si, comme à l'accoutumée, ce genre de décision politique était pris au doigt mouillé, par des technocrates déconnectés de la réalité et influencés par des lobbys aux intérêts très éloignés de l'objectif annoncé."]

Suppressions

Ajouts

+["Bonjour, ce principe d'interdiction fondé sur la vignette Crit'air, elle même décorrélée des émissions réelles des véhicules, me paraît totalement délirant.\nIl est admis que sur un véhicule moderne le gros des émissions de particules fines provient des freins et de pneus, de plus en plus larges. Pourquoi dans ces conditions bannir des véhicules, représentant un faible pourcentage du total des véhicules en circulation suivant vos propres chiffres, et donc un faible pourcentage des émissions?\nLes données avancées supposent que les véhicules pris en compte émettent autant que la limite haute de certification, certainement majorée d'un coefficient de vieillissement. Il y a donc ds chances que le parc incriminé émettent moins que ces projections, diminuant d'autant l'impact réel sur la qualité de l'air.\nEnfin, quelles dérogations intelligentes seront possibles à ce dispositif pour ne pas pénaliser les citoyens dont les usages contribuent peu aux problématiques de qualité de l'air.\nRésidant dans l'emprise de la future ZFE, j'ai 3 véhicules. 1 électrique et 1 essence convertie au E85, qui servent tous les jours pour les trajets pour les enfants et le travail, je me déplace également régulièrement à vélo.\nLe dernier véhicule est un diesel Crit'air 4, utilisé pour les déplacements plus importants (vacances, week-ends, ...), et lorsque l'un des autres véhicules est indisponible (entretien, panne). Ce véhicule est appelé à être interdit de circulation. Il faudrait donc que je le remplace, malgré les investissements sur les autres véhicules du quotidien, malgré l'impact écologique de la fabrication d'un véhicule neux pour remplacer un véhicule amorti depuis plus de 20 ans et parfaitement opérationnel, malgré la faible circulation annuelle du véhicule?\nBien entendu, je suis considéré comme trop riche pour prétendre à une aide financière conséquente, pourtant mes revenus ne me permettent pas d'investir dans un nouveau véhicule récent suffisamment grand pour une famille de 5.\nD'autant que rien ne garantit que d'ici 5 ans ce nouveau véhicule ne sera pas à son tour banni de la ZFE.\nEnfin, je ne vois nulle part d'engagement à réaliser un bilan quantitatif de l'impact réel de la mesure sur la qualité de l'air, à distance raisonnable de sa mise en place? C'est pourtant un jalon important de toute démarche scientifique. Comme si, comme à l'accoutumée, ce genre de décision politique était pris au doigt mouillé, par des technocrates déconnectés de la réalité et influencés par des lobbys aux intérêts très éloignés de l'objectif annoncé."]

Numéro de version 1 sur 1 Afficher toutes les versions Retourner à la proposition

Version créée le 27/01/2023 12:36