Projet de Zone à Faibles Emissions mobilité (ZFE-m)

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+["Pour nous éclairer sur la réalité et la vérité des causes de la pollution aux particules fines :\nLa pollution de l’air extérieur est souvent attribuée aux véhicules thermiques. C’est oublier que les pneus s’usent au contact de la route et des freins, et émettent des particules qui polluent l’environnement. Un groupement de scientifiques britanniques alerte sur cet angle mort des politiques publiques, et appelle à trouver des solutions (1). En effet, chaque année, l’usure des pneus génère 6 millions de tonnes de particules plus ou moins fines.\n\nMoins de la moitié de ces particules reste cantonnée aux bords de route. 55 % circulent dans l’environnement, véhiculées par les eaux de pluie, et contribuent à la pollution aux microplastiques dans les rivières et les océans. Certaines sont visibles à l’œil nu, d’autres suffisamment fines pour se réfugier jusqu’au fond de nos poumons. C’est justement ce qui inquiète les auteurs de cette analyse. À ce jour, très peu d’études ont évalué l’impact de ces particules ultrafines sur la santé humaine. On soupçonne qu’elles sont capables de passer dans notre système sanguin, mais cela doit être confirmé.\nSubstances cancérogènes, mutagènes, génotoxiques…\n\nLa composition de ces particules est également source d’inquiétude. On y trouve des hydrocarbures polyaromatiques, des benzothiazoles, de l’isoprène ou encore des métaux lourds comme le zinc et le plomb. Ces substances sont responsables de troubles immédiats (irritations cutanées, troubles respiratoires, etc.) et à long terme. Plusieurs d’entre elles sont cancérogènes, mutagènes, génotoxiques ou ont un effet perturbateur endocrinien.\n\nPour autant, des solutions existent. En effet, de nombreux facteurs favorisent la dégradation des pneus : le matériau de ceux-ci, le style de conduite, l’état de la route. Le poids du véhicule entre aussi en compte. Le passage aux voitures électriques risque donc d’aggraver le problème, car elles sont souvent plus lourdes que les véhicules thermiques.\nAlors, merci de nous foutre la paix avec nos pseudo vieux véhicules polluants, cette ZFE est une énorme arnaque juste faite pour alimenter l'industrie automobile, tout ça sur le dos des humbles gens raisonnables, contrairement aux bobobordelaids qui ne comprennent vraiment rien aux réalités scientifiques avérées ! Bien cordialement ..."]

+["Pour nous éclairer sur la réalité et la vérité des causes de la pollution aux particules fines :\nLa pollution de l’air extérieur est souvent attribuée aux véhicules thermiques. C’est oublier que les pneus s’usent au contact de la route et des freins, et émettent des particules qui polluent l’environnement. Un groupement de scientifiques britanniques alerte sur cet angle mort des politiques publiques, et appelle à trouver des solutions (1). En effet, chaque année, l’usure des pneus génère 6 millions de tonnes de particules plus ou moins fines.\n\nMoins de la moitié de ces particules reste cantonnée aux bords de route. 55 % circulent dans l’environnement, véhiculées par les eaux de pluie, et contribuent à la pollution aux microplastiques dans les rivières et les océans. Certaines sont visibles à l’œil nu, d’autres suffisamment fines pour se réfugier jusqu’au fond de nos poumons. C’est justement ce qui inquiète les auteurs de cette analyse. À ce jour, très peu d’études ont évalué l’impact de ces particules ultrafines sur la santé humaine. On soupçonne qu’elles sont capables de passer dans notre système sanguin, mais cela doit être confirmé.\nSubstances cancérogènes, mutagènes, génotoxiques…\n\nLa composition de ces particules est également source d’inquiétude. On y trouve des hydrocarbures polyaromatiques, des benzothiazoles, de l’isoprène ou encore des métaux lourds comme le zinc et le plomb. Ces substances sont responsables de troubles immédiats (irritations cutanées, troubles respiratoires, etc.) et à long terme. Plusieurs d’entre elles sont cancérogènes, mutagènes, génotoxiques ou ont un effet perturbateur endocrinien.\n\nPour autant, des solutions existent. En effet, de nombreux facteurs favorisent la dégradation des pneus : le matériau de ceux-ci, le style de conduite, l’état de la route. Le poids du véhicule entre aussi en compte. Le passage aux voitures électriques risque donc d’aggraver le problème, car elles sont souvent plus lourdes que les véhicules thermiques.\nAlors, merci de nous foutre la paix avec nos pseudo vieux véhicules polluants, cette ZFE est une énorme arnaque juste faite pour alimenter l'industrie automobile, tout ça sur le dos des humbles gens raisonnables, contrairement aux bobobordelaids qui ne comprennent vraiment rien aux réalités scientifiques avérées ! Bien cordialement ..."]

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+["Pour nous éclairer sur la réalité et la vérité des causes de la pollution aux particules fines :\nLa pollution de l’air extérieur est souvent attribuée aux véhicules thermiques. C’est oublier que les pneus s’usent au contact de la route et des freins, et émettent des particules qui polluent l’environnement. Un groupement de scientifiques britanniques alerte sur cet angle mort des politiques publiques, et appelle à trouver des solutions (1). En effet, chaque année, l’usure des pneus génère 6 millions de tonnes de particules plus ou moins fines.\n\nMoins de la moitié de ces particules reste cantonnée aux bords de route. 55 % circulent dans l’environnement, véhiculées par les eaux de pluie, et contribuent à la pollution aux microplastiques dans les rivières et les océans. Certaines sont visibles à l’œil nu, d’autres suffisamment fines pour se réfugier jusqu’au fond de nos poumons. C’est justement ce qui inquiète les auteurs de cette analyse. À ce jour, très peu d’études ont évalué l’impact de ces particules ultrafines sur la santé humaine. On soupçonne qu’elles sont capables de passer dans notre système sanguin, mais cela doit être confirmé.\nSubstances cancérogènes, mutagènes, génotoxiques…\n\nLa composition de ces particules est également source d’inquiétude. On y trouve des hydrocarbures polyaromatiques, des benzothiazoles, de l’isoprène ou encore des métaux lourds comme le zinc et le plomb. Ces substances sont responsables de troubles immédiats (irritations cutanées, troubles respiratoires, etc.) et à long terme. Plusieurs d’entre elles sont cancérogènes, mutagènes, génotoxiques ou ont un effet perturbateur endocrinien.\n\nPour autant, des solutions existent. En effet, de nombreux facteurs favorisent la dégradation des pneus : le matériau de ceux-ci, le style de conduite, l’état de la route. Le poids du véhicule entre aussi en compte. Le passage aux voitures électriques risque donc d’aggraver le problème, car elles sont souvent plus lourdes que les véhicules thermiques.\nAlors, merci de nous foutre la paix avec nos pseudo vieux véhicules polluants, cette ZFE est une énorme arnaque juste faite pour alimenter l'industrie automobile, tout ça sur le dos des humbles gens raisonnables, contrairement aux bobobordelaids qui ne comprennent vraiment rien aux réalités scientifiques avérées ! Bien cordialement ..."]

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+["Pour nous éclairer sur la réalité et la vérité des causes de la pollution aux particules fines :\nLa pollution de l’air extérieur est souvent attribuée aux véhicules thermiques. C’est oublier que les pneus s’usent au contact de la route et des freins, et émettent des particules qui polluent l’environnement. Un groupement de scientifiques britanniques alerte sur cet angle mort des politiques publiques, et appelle à trouver des solutions (1). En effet, chaque année, l’usure des pneus génère 6 millions de tonnes de particules plus ou moins fines.\n\nMoins de la moitié de ces particules reste cantonnée aux bords de route. 55 % circulent dans l’environnement, véhiculées par les eaux de pluie, et contribuent à la pollution aux microplastiques dans les rivières et les océans. Certaines sont visibles à l’œil nu, d’autres suffisamment fines pour se réfugier jusqu’au fond de nos poumons. C’est justement ce qui inquiète les auteurs de cette analyse. À ce jour, très peu d’études ont évalué l’impact de ces particules ultrafines sur la santé humaine. On soupçonne qu’elles sont capables de passer dans notre système sanguin, mais cela doit être confirmé.\nSubstances cancérogènes, mutagènes, génotoxiques…\n\nLa composition de ces particules est également source d’inquiétude. On y trouve des hydrocarbures polyaromatiques, des benzothiazoles, de l’isoprène ou encore des métaux lourds comme le zinc et le plomb. Ces substances sont responsables de troubles immédiats (irritations cutanées, troubles respiratoires, etc.) et à long terme. Plusieurs d’entre elles sont cancérogènes, mutagènes, génotoxiques ou ont un effet perturbateur endocrinien.\n\nPour autant, des solutions existent. En effet, de nombreux facteurs favorisent la dégradation des pneus : le matériau de ceux-ci, le style de conduite, l’état de la route. Le poids du véhicule entre aussi en compte. Le passage aux voitures électriques risque donc d’aggraver le problème, car elles sont souvent plus lourdes que les véhicules thermiques.\nAlors, merci de nous foutre la paix avec nos pseudo vieux véhicules polluants, cette ZFE est une énorme arnaque juste faite pour alimenter l'industrie automobile, tout ça sur le dos des humbles gens raisonnables, contrairement aux bobobordelaids qui ne comprennent vraiment rien aux réalités scientifiques avérées ! Bien cordialement ..."]

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Version créée le 22/03/2023 19:18