Projet de Zone à Faibles Emissions mobilité (ZFE-m)

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+["La cartographie de la pollution dans la métropole fait ressortir qu’en dehors de quelques zones polluées en centre ville de Bordeaux et il existe une seconde zone vaste et très polluée dans la périphérie de la rocade et des autoroutes. Or par définition la rocade et les autoroutes sont des itinéraires européens, ils sont donc hors du périmètre d’application de la ZFE. \nL’inclusion des communes située à l’intérieur de la rocade est donc un acte idéologique non dénué d’un certain cynisme de la part de la ville centre qui de cette manière se constitue un espace tampon la mettant à l’abri, ceci en cohérence avec d’autres démarches comme la limitation à 30km.h pour décourager ainsi tout transit par le centre ville.\nUn des effets pernicieux de la ZFE sera donc de reporter sur la rocade la circulation des véhicules polluants qui transitaient par l’intérieur de la métropole aggravant de fait la situation des personnes qui sont situés à sa proximité et qui constituent dans les études l’observatoire régional de l’air les principales personnes exposées. \nEn réalité les ZFE constituent des outils en faveur des constructeurs automobiles pour forcer les périurbains à remplacer leurs véhicules « polluants » par de nouveau véhicules dont le bilan globalement positif (en terme de CO2) n’est pas démontré.\nCette situation qui aurait été acceptable dans les conditions de marché avant la crise COVID doit être revisité en raison du changement de conjoncture. Une crise opportune des composants électronique conjugué l’amoncellement de règlementations qui oblige les véhicules à contenir de plus en plus d’électronique conduit le marché dans une dérive des prix inacceptable. Cette crise de la voiture neuve a impacté fortement le marché de l’occasion relevant fortement le prix plancher des voiture critère 2&3 d’occasion. De fait l’acceptabilité de la ZFE en est d’autant plus compromise.\nProposition : Pour les véhicules émettant moins de 200g de CO2/km je propose d’octroyer un droit à polluer sous la forme d’un KM annuel maxi (3000KM) ou d’une quantité maxi de CO2 dans les ZFE (sous la forme par ex d’une déclaration de trajet sur un site internet) \nPour ceux qui sont appelés à faire plus que le droit à polluer de leur vieille voiture, le marché ne propose qu’une seule voiture électrique qui répond aux critères d’une société frugale, c’est la Dacia Spring et sa commercialisation relève plus de l’accident que de la volonté stratégique. On peut observer médusé que les autres petites voiture électrique chinoise tel que la ORA R1 ne sont toujours pas commercialisée en Europe alors qu’elles seraient de nature à rendre l'accès au véhicule électrique possible pour une vaste majorité.\nL'avenir raisonnable c'est un pot de yoghourt électrique pour les usages du quotidien et votre vieille voiture thermique lorsque vous avez besoin d'aller un peu plus loin, c'est à dire pas souvent. \nLe mode d'application de la ZFE doit en tenir compte"]

+["La cartographie de la pollution dans la métropole fait ressortir qu’en dehors de quelques zones polluées en centre ville de Bordeaux et il existe une seconde zone vaste et très polluée dans la périphérie de la rocade et des autoroutes. Or par définition la rocade et les autoroutes sont des itinéraires européens, ils sont donc hors du périmètre d’application de la ZFE. \nL’inclusion des communes située à l’intérieur de la rocade est donc un acte idéologique non dénué d’un certain cynisme de la part de la ville centre qui de cette manière se constitue un espace tampon la mettant à l’abri, ceci en cohérence avec d’autres démarches comme la limitation à 30km.h pour décourager ainsi tout transit par le centre ville.\nUn des effets pernicieux de la ZFE sera donc de reporter sur la rocade la circulation des véhicules polluants qui transitaient par l’intérieur de la métropole aggravant de fait la situation des personnes qui sont situés à sa proximité et qui constituent dans les études l’observatoire régional de l’air les principales personnes exposées. \nEn réalité les ZFE constituent des outils en faveur des constructeurs automobiles pour forcer les périurbains à remplacer leurs véhicules « polluants » par de nouveau véhicules dont le bilan globalement positif (en terme de CO2) n’est pas démontré.\nCette situation qui aurait été acceptable dans les conditions de marché avant la crise COVID doit être revisité en raison du changement de conjoncture. Une crise opportune des composants électronique conjugué l’amoncellement de règlementations qui oblige les véhicules à contenir de plus en plus d’électronique conduit le marché dans une dérive des prix inacceptable. Cette crise de la voiture neuve a impacté fortement le marché de l’occasion relevant fortement le prix plancher des voiture critère 2&3 d’occasion. De fait l’acceptabilité de la ZFE en est d’autant plus compromise.\nProposition : Pour les véhicules émettant moins de 200g de CO2/km je propose d’octroyer un droit à polluer sous la forme d’un KM annuel maxi (3000KM) ou d’une quantité maxi de CO2 dans les ZFE (sous la forme par ex d’une déclaration de trajet sur un site internet) \nPour ceux qui sont appelés à faire plus que le droit à polluer de leur vieille voiture, le marché ne propose qu’une seule voiture électrique qui répond aux critères d’une société frugale, c’est la Dacia Spring et sa commercialisation relève plus de l’accident que de la volonté stratégique. On peut observer médusé que les autres petites voiture électrique chinoise tel que la ORA R1 ne sont toujours pas commercialisée en Europe alors qu’elles seraient de nature à rendre l'accès au véhicule électrique possible pour une vaste majorité.\nL'avenir raisonnable c'est un pot de yoghourt électrique pour les usages du quotidien et votre vieille voiture thermique lorsque vous avez besoin d'aller un peu plus loin, c'est à dire pas souvent. \nLe mode d'application de la ZFE doit en tenir compte"]

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+["La cartographie de la pollution dans la métropole fait ressortir qu’en dehors de quelques zones polluées en centre ville de Bordeaux et il existe une seconde zone vaste et très polluée dans la périphérie de la rocade et des autoroutes. Or par définition la rocade et les autoroutes sont des itinéraires européens, ils sont donc hors du périmètre d’application de la ZFE. \nL’inclusion des communes située à l’intérieur de la rocade est donc un acte idéologique non dénué d’un certain cynisme de la part de la ville centre qui de cette manière se constitue un espace tampon la mettant à l’abri, ceci en cohérence avec d’autres démarches comme la limitation à 30km.h pour décourager ainsi tout transit par le centre ville.\nUn des effets pernicieux de la ZFE sera donc de reporter sur la rocade la circulation des véhicules polluants qui transitaient par l’intérieur de la métropole aggravant de fait la situation des personnes qui sont situés à sa proximité et qui constituent dans les études l’observatoire régional de l’air les principales personnes exposées. \nEn réalité les ZFE constituent des outils en faveur des constructeurs automobiles pour forcer les périurbains à remplacer leurs véhicules « polluants » par de nouveau véhicules dont le bilan globalement positif (en terme de CO2) n’est pas démontré.\nCette situation qui aurait été acceptable dans les conditions de marché avant la crise COVID doit être revisité en raison du changement de conjoncture. Une crise opportune des composants électronique conjugué l’amoncellement de règlementations qui oblige les véhicules à contenir de plus en plus d’électronique conduit le marché dans une dérive des prix inacceptable. Cette crise de la voiture neuve a impacté fortement le marché de l’occasion relevant fortement le prix plancher des voiture critère 2&3 d’occasion. De fait l’acceptabilité de la ZFE en est d’autant plus compromise.\nProposition : Pour les véhicules émettant moins de 200g de CO2/km je propose d’octroyer un droit à polluer sous la forme d’un KM annuel maxi (3000KM) ou d’une quantité maxi de CO2 dans les ZFE (sous la forme par ex d’une déclaration de trajet sur un site internet) \nPour ceux qui sont appelés à faire plus que le droit à polluer de leur vieille voiture, le marché ne propose qu’une seule voiture électrique qui répond aux critères d’une société frugale, c’est la Dacia Spring et sa commercialisation relève plus de l’accident que de la volonté stratégique. On peut observer médusé que les autres petites voiture électrique chinoise tel que la ORA R1 ne sont toujours pas commercialisée en Europe alors qu’elles seraient de nature à rendre l'accès au véhicule électrique possible pour une vaste majorité.\nL'avenir raisonnable c'est un pot de yoghourt électrique pour les usages du quotidien et votre vieille voiture thermique lorsque vous avez besoin d'aller un peu plus loin, c'est à dire pas souvent. \nLe mode d'application de la ZFE doit en tenir compte"]

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+["La cartographie de la pollution dans la métropole fait ressortir qu’en dehors de quelques zones polluées en centre ville de Bordeaux et il existe une seconde zone vaste et très polluée dans la périphérie de la rocade et des autoroutes. Or par définition la rocade et les autoroutes sont des itinéraires européens, ils sont donc hors du périmètre d’application de la ZFE. \nL’inclusion des communes située à l’intérieur de la rocade est donc un acte idéologique non dénué d’un certain cynisme de la part de la ville centre qui de cette manière se constitue un espace tampon la mettant à l’abri, ceci en cohérence avec d’autres démarches comme la limitation à 30km.h pour décourager ainsi tout transit par le centre ville.\nUn des effets pernicieux de la ZFE sera donc de reporter sur la rocade la circulation des véhicules polluants qui transitaient par l’intérieur de la métropole aggravant de fait la situation des personnes qui sont situés à sa proximité et qui constituent dans les études l’observatoire régional de l’air les principales personnes exposées. \nEn réalité les ZFE constituent des outils en faveur des constructeurs automobiles pour forcer les périurbains à remplacer leurs véhicules « polluants » par de nouveau véhicules dont le bilan globalement positif (en terme de CO2) n’est pas démontré.\nCette situation qui aurait été acceptable dans les conditions de marché avant la crise COVID doit être revisité en raison du changement de conjoncture. Une crise opportune des composants électronique conjugué l’amoncellement de règlementations qui oblige les véhicules à contenir de plus en plus d’électronique conduit le marché dans une dérive des prix inacceptable. Cette crise de la voiture neuve a impacté fortement le marché de l’occasion relevant fortement le prix plancher des voiture critère 2&3 d’occasion. De fait l’acceptabilité de la ZFE en est d’autant plus compromise.\nProposition : Pour les véhicules émettant moins de 200g de CO2/km je propose d’octroyer un droit à polluer sous la forme d’un KM annuel maxi (3000KM) ou d’une quantité maxi de CO2 dans les ZFE (sous la forme par ex d’une déclaration de trajet sur un site internet) \nPour ceux qui sont appelés à faire plus que le droit à polluer de leur vieille voiture, le marché ne propose qu’une seule voiture électrique qui répond aux critères d’une société frugale, c’est la Dacia Spring et sa commercialisation relève plus de l’accident que de la volonté stratégique. On peut observer médusé que les autres petites voiture électrique chinoise tel que la ORA R1 ne sont toujours pas commercialisée en Europe alors qu’elles seraient de nature à rendre l'accès au véhicule électrique possible pour une vaste majorité.\nL'avenir raisonnable c'est un pot de yoghourt électrique pour les usages du quotidien et votre vieille voiture thermique lorsque vous avez besoin d'aller un peu plus loin, c'est à dire pas souvent. \nLe mode d'application de la ZFE doit en tenir compte"]

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Version créée le 05/04/2022 19:25