Aménagement de la route de Toulouse (modes actifs, transport en commun) et création d’une voie nouvelle (quartier des deux Esteys) à Bègles

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+["Bonjour,\n\nVoici une synthèse de mon avis qui sera plus détaillé ci-dessous.\n\nLa création d'une voie nouvelle (barreau des Deux Esteys) ne me semble absolument pas nécessaire voir serait dommageable pour le quartier du lycée Vaclav Havel. Au delà de l'impact écologique qui ne peut être nié (destruction d'espaces verts), l'amélioration escomptée sur la circulation route de Toulouse provient d'une étude basée sur des données fausses ou non représentatives de la circulation dans le quartier concerné. Difficile donc dans ce cas là de donner du crédit aux conclusions.\nConcernant les propositions d'aménagements de la route de Toulouse, une simple bande cyclable n'est vraiment pas suffisante. Il faut donner aux vélos une vraie piste cyclable pour qu'ils soient en sécurité et que du coup, ils utilisent plus cette axe. Il faut aussi favoriser l'intégration du végétal dans le projet, quitte à réduire un peu le nombre de places de stationnement.\n\nMaintenant, dans le détail.\n\nConcernant la création d'une voie nouvelle (barreau des Deux Esteys):\n - la simulation présentée en page 5 se base sur un plan de circulation erroné. En effet, la circulation sur le chemin Bel Air n'est pas continue car une partie est piétonne. Il n'y a pas de circulation directe comme représenté par l'étude. De plus, l'allée Claude Debussy ainsi que l'allée Saint-Exupéry ne sont pas représentées dans l'étude alors qu'elles reçoivent un flux important de véhicules. Quel crédit du coup porter à cette étude qui est basée sur des données fausses?\n - Si l'on oublie les remarques précédentes et que l'on regarde quand même les chiffres, le gain espéré sur la route de Toulouse entre l'avenue Georges Clémenceau et le chemin Bel Air est de -110 voitures (-6%) mais cela implique dans le même temps une augmentation de +190 voitures (+20%) sur l'avenue Georges Clémenceau et +550 voitures (+920% !!!) sur la rue du Tronquet! Doit-on sacrifier un quartier résidentiel déjà fortement chargé pour un gain minime sur une grande avenue avec une majorité de commerces?\n - La diminution de circulation souhaitée route de Toulouse s'accompagne donc d'un report sur les rues des quartiers situés à l'est. Ces rues résidentielles déjà chargées et où il est déjà difficile de circuler seraient donc complètement saturées.\n - En plus de tout çà, il faut détruire des espaces verts pour construire cette voie nouvelle ce qui me semble irresponsable vue l'urgence écologique dans laquelle le monde se trouve.\n\nConcernant l'aménagement de la route de Toulouse:\n - Une simple bande cyclable ne protège pas assez les cyclistes des dangers que représentent les voitures. Il faut soit dissocier complètement la circulation automobile de la circulation des vélos en mettant par exemple les vélos sur une partie du trottoir, soit à défaut insérer entre la chaussée automobile et la bande cyclable des séparateurs de voies (en béton par exemple) qui empêchent les voitures d'empiéter sur la bande cyclable. Si des places de stationnement sont présentes, alors la seule solution viable et de positionner la piste cyclable sur le trottoir (comme dans l'exemple de la région Lyonnaise présenté en page 10).\n - Dans l'ensemble, il semble préférable de privilégier l'intégration du végétal dans le projet au lieu des places de stationnement. Une exception doit quand même être faite dans les zones de regroupement de commerces où une capacité de stationnement temporaire doit être conservée pour que les commerces ne perdent pas en attractivité.\n - Dans l’ensemble du projet d'aménagement, il me semble que la largeur des trottoirs prévus est trop importante. Une largeur dédiée aux piétons comprise entre 1.5 m et 1.8 m serait suffisante. Cela permettrait de redonner de la place pour rajouter des pistes cyclables là où elles n'ont pas pu être intégrées.\n - Entre le chemin Chatry et la rue du Marechal Joffre, il n'y a aucune piste cyclable prévue alors que la largeur disponible semble le permettre. Pourquoi?\n - Le remplacement des carrefours à feux par des giratoires quand l'espace le permet semble être une bonne idée.\n - Sur le tronçon 8, la solution 3 est préférable.\n - Sur le tronçon 9, la solution 2 est préférable.\n\nCordialement,"]

+["Bonjour,\n\nVoici une synthèse de mon avis qui sera plus détaillé ci-dessous.\n\nLa création d'une voie nouvelle (barreau des Deux Esteys) ne me semble absolument pas nécessaire voir serait dommageable pour le quartier du lycée Vaclav Havel. Au delà de l'impact écologique qui ne peut être nié (destruction d'espaces verts), l'amélioration escomptée sur la circulation route de Toulouse provient d'une étude basée sur des données fausses ou non représentatives de la circulation dans le quartier concerné. Difficile donc dans ce cas là de donner du crédit aux conclusions.\nConcernant les propositions d'aménagements de la route de Toulouse, une simple bande cyclable n'est vraiment pas suffisante. Il faut donner aux vélos une vraie piste cyclable pour qu'ils soient en sécurité et que du coup, ils utilisent plus cette axe. Il faut aussi favoriser l'intégration du végétal dans le projet, quitte à réduire un peu le nombre de places de stationnement.\n\nMaintenant, dans le détail.\n\nConcernant la création d'une voie nouvelle (barreau des Deux Esteys):\n - la simulation présentée en page 5 se base sur un plan de circulation erroné. En effet, la circulation sur le chemin Bel Air n'est pas continue car une partie est piétonne. Il n'y a pas de circulation directe comme représenté par l'étude. De plus, l'allée Claude Debussy ainsi que l'allée Saint-Exupéry ne sont pas représentées dans l'étude alors qu'elles reçoivent un flux important de véhicules. Quel crédit du coup porter à cette étude qui est basée sur des données fausses?\n - Si l'on oublie les remarques précédentes et que l'on regarde quand même les chiffres, le gain espéré sur la route de Toulouse entre l'avenue Georges Clémenceau et le chemin Bel Air est de -110 voitures (-6%) mais cela implique dans le même temps une augmentation de +190 voitures (+20%) sur l'avenue Georges Clémenceau et +550 voitures (+920% !!!) sur la rue du Tronquet! Doit-on sacrifier un quartier résidentiel déjà fortement chargé pour un gain minime sur une grande avenue avec une majorité de commerces?\n - La diminution de circulation souhaitée route de Toulouse s'accompagne donc d'un report sur les rues des quartiers situés à l'est. Ces rues résidentielles déjà chargées et où il est déjà difficile de circuler seraient donc complètement saturées.\n - En plus de tout çà, il faut détruire des espaces verts pour construire cette voie nouvelle ce qui me semble irresponsable vue l'urgence écologique dans laquelle le monde se trouve.\n\nConcernant l'aménagement de la route de Toulouse:\n - Une simple bande cyclable ne protège pas assez les cyclistes des dangers que représentent les voitures. Il faut soit dissocier complètement la circulation automobile de la circulation des vélos en mettant par exemple les vélos sur une partie du trottoir, soit à défaut insérer entre la chaussée automobile et la bande cyclable des séparateurs de voies (en béton par exemple) qui empêchent les voitures d'empiéter sur la bande cyclable. Si des places de stationnement sont présentes, alors la seule solution viable et de positionner la piste cyclable sur le trottoir (comme dans l'exemple de la région Lyonnaise présenté en page 10).\n - Dans l'ensemble, il semble préférable de privilégier l'intégration du végétal dans le projet au lieu des places de stationnement. Une exception doit quand même être faite dans les zones de regroupement de commerces où une capacité de stationnement temporaire doit être conservée pour que les commerces ne perdent pas en attractivité.\n - Dans l’ensemble du projet d'aménagement, il me semble que la largeur des trottoirs prévus est trop importante. Une largeur dédiée aux piétons comprise entre 1.5 m et 1.8 m serait suffisante. Cela permettrait de redonner de la place pour rajouter des pistes cyclables là où elles n'ont pas pu être intégrées.\n - Entre le chemin Chatry et la rue du Marechal Joffre, il n'y a aucune piste cyclable prévue alors que la largeur disponible semble le permettre. Pourquoi?\n - Le remplacement des carrefours à feux par des giratoires quand l'espace le permet semble être une bonne idée.\n - Sur le tronçon 8, la solution 3 est préférable.\n - Sur le tronçon 9, la solution 2 est préférable.\n\nCordialement,"]

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+["Bonjour,\n\nVoici une synthèse de mon avis qui sera plus détaillé ci-dessous.\n\nLa création d'une voie nouvelle (barreau des Deux Esteys) ne me semble absolument pas nécessaire voir serait dommageable pour le quartier du lycée Vaclav Havel. Au delà de l'impact écologique qui ne peut être nié (destruction d'espaces verts), l'amélioration escomptée sur la circulation route de Toulouse provient d'une étude basée sur des données fausses ou non représentatives de la circulation dans le quartier concerné. Difficile donc dans ce cas là de donner du crédit aux conclusions.\nConcernant les propositions d'aménagements de la route de Toulouse, une simple bande cyclable n'est vraiment pas suffisante. Il faut donner aux vélos une vraie piste cyclable pour qu'ils soient en sécurité et que du coup, ils utilisent plus cette axe. Il faut aussi favoriser l'intégration du végétal dans le projet, quitte à réduire un peu le nombre de places de stationnement.\n\nMaintenant, dans le détail.\n\nConcernant la création d'une voie nouvelle (barreau des Deux Esteys):\n - la simulation présentée en page 5 se base sur un plan de circulation erroné. En effet, la circulation sur le chemin Bel Air n'est pas continue car une partie est piétonne. Il n'y a pas de circulation directe comme représenté par l'étude. De plus, l'allée Claude Debussy ainsi que l'allée Saint-Exupéry ne sont pas représentées dans l'étude alors qu'elles reçoivent un flux important de véhicules. Quel crédit du coup porter à cette étude qui est basée sur des données fausses?\n - Si l'on oublie les remarques précédentes et que l'on regarde quand même les chiffres, le gain espéré sur la route de Toulouse entre l'avenue Georges Clémenceau et le chemin Bel Air est de -110 voitures (-6%) mais cela implique dans le même temps une augmentation de +190 voitures (+20%) sur l'avenue Georges Clémenceau et +550 voitures (+920% !!!) sur la rue du Tronquet! Doit-on sacrifier un quartier résidentiel déjà fortement chargé pour un gain minime sur une grande avenue avec une majorité de commerces?\n - La diminution de circulation souhaitée route de Toulouse s'accompagne donc d'un report sur les rues des quartiers situés à l'est. Ces rues résidentielles déjà chargées et où il est déjà difficile de circuler seraient donc complètement saturées.\n - En plus de tout çà, il faut détruire des espaces verts pour construire cette voie nouvelle ce qui me semble irresponsable vue l'urgence écologique dans laquelle le monde se trouve.\n\nConcernant l'aménagement de la route de Toulouse:\n - Une simple bande cyclable ne protège pas assez les cyclistes des dangers que représentent les voitures. Il faut soit dissocier complètement la circulation automobile de la circulation des vélos en mettant par exemple les vélos sur une partie du trottoir, soit à défaut insérer entre la chaussée automobile et la bande cyclable des séparateurs de voies (en béton par exemple) qui empêchent les voitures d'empiéter sur la bande cyclable. Si des places de stationnement sont présentes, alors la seule solution viable et de positionner la piste cyclable sur le trottoir (comme dans l'exemple de la région Lyonnaise présenté en page 10).\n - Dans l'ensemble, il semble préférable de privilégier l'intégration du végétal dans le projet au lieu des places de stationnement. Une exception doit quand même être faite dans les zones de regroupement de commerces où une capacité de stationnement temporaire doit être conservée pour que les commerces ne perdent pas en attractivité.\n - Dans l’ensemble du projet d'aménagement, il me semble que la largeur des trottoirs prévus est trop importante. Une largeur dédiée aux piétons comprise entre 1.5 m et 1.8 m serait suffisante. Cela permettrait de redonner de la place pour rajouter des pistes cyclables là où elles n'ont pas pu être intégrées.\n - Entre le chemin Chatry et la rue du Marechal Joffre, il n'y a aucune piste cyclable prévue alors que la largeur disponible semble le permettre. Pourquoi?\n - Le remplacement des carrefours à feux par des giratoires quand l'espace le permet semble être une bonne idée.\n - Sur le tronçon 8, la solution 3 est préférable.\n - Sur le tronçon 9, la solution 2 est préférable.\n\nCordialement,"]

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+["Bonjour,\n\nVoici une synthèse de mon avis qui sera plus détaillé ci-dessous.\n\nLa création d'une voie nouvelle (barreau des Deux Esteys) ne me semble absolument pas nécessaire voir serait dommageable pour le quartier du lycée Vaclav Havel. Au delà de l'impact écologique qui ne peut être nié (destruction d'espaces verts), l'amélioration escomptée sur la circulation route de Toulouse provient d'une étude basée sur des données fausses ou non représentatives de la circulation dans le quartier concerné. Difficile donc dans ce cas là de donner du crédit aux conclusions.\nConcernant les propositions d'aménagements de la route de Toulouse, une simple bande cyclable n'est vraiment pas suffisante. Il faut donner aux vélos une vraie piste cyclable pour qu'ils soient en sécurité et que du coup, ils utilisent plus cette axe. Il faut aussi favoriser l'intégration du végétal dans le projet, quitte à réduire un peu le nombre de places de stationnement.\n\nMaintenant, dans le détail.\n\nConcernant la création d'une voie nouvelle (barreau des Deux Esteys):\n - la simulation présentée en page 5 se base sur un plan de circulation erroné. En effet, la circulation sur le chemin Bel Air n'est pas continue car une partie est piétonne. Il n'y a pas de circulation directe comme représenté par l'étude. De plus, l'allée Claude Debussy ainsi que l'allée Saint-Exupéry ne sont pas représentées dans l'étude alors qu'elles reçoivent un flux important de véhicules. Quel crédit du coup porter à cette étude qui est basée sur des données fausses?\n - Si l'on oublie les remarques précédentes et que l'on regarde quand même les chiffres, le gain espéré sur la route de Toulouse entre l'avenue Georges Clémenceau et le chemin Bel Air est de -110 voitures (-6%) mais cela implique dans le même temps une augmentation de +190 voitures (+20%) sur l'avenue Georges Clémenceau et +550 voitures (+920% !!!) sur la rue du Tronquet! Doit-on sacrifier un quartier résidentiel déjà fortement chargé pour un gain minime sur une grande avenue avec une majorité de commerces?\n - La diminution de circulation souhaitée route de Toulouse s'accompagne donc d'un report sur les rues des quartiers situés à l'est. Ces rues résidentielles déjà chargées et où il est déjà difficile de circuler seraient donc complètement saturées.\n - En plus de tout çà, il faut détruire des espaces verts pour construire cette voie nouvelle ce qui me semble irresponsable vue l'urgence écologique dans laquelle le monde se trouve.\n\nConcernant l'aménagement de la route de Toulouse:\n - Une simple bande cyclable ne protège pas assez les cyclistes des dangers que représentent les voitures. Il faut soit dissocier complètement la circulation automobile de la circulation des vélos en mettant par exemple les vélos sur une partie du trottoir, soit à défaut insérer entre la chaussée automobile et la bande cyclable des séparateurs de voies (en béton par exemple) qui empêchent les voitures d'empiéter sur la bande cyclable. Si des places de stationnement sont présentes, alors la seule solution viable et de positionner la piste cyclable sur le trottoir (comme dans l'exemple de la région Lyonnaise présenté en page 10).\n - Dans l'ensemble, il semble préférable de privilégier l'intégration du végétal dans le projet au lieu des places de stationnement. Une exception doit quand même être faite dans les zones de regroupement de commerces où une capacité de stationnement temporaire doit être conservée pour que les commerces ne perdent pas en attractivité.\n - Dans l’ensemble du projet d'aménagement, il me semble que la largeur des trottoirs prévus est trop importante. Une largeur dédiée aux piétons comprise entre 1.5 m et 1.8 m serait suffisante. Cela permettrait de redonner de la place pour rajouter des pistes cyclables là où elles n'ont pas pu être intégrées.\n - Entre le chemin Chatry et la rue du Marechal Joffre, il n'y a aucune piste cyclable prévue alors que la largeur disponible semble le permettre. Pourquoi?\n - Le remplacement des carrefours à feux par des giratoires quand l'espace le permet semble être une bonne idée.\n - Sur le tronçon 8, la solution 3 est préférable.\n - Sur le tronçon 9, la solution 2 est préférable.\n\nCordialement,"]

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Version créée le 01/09/2021 01:41