Bordeaux Inno Campus « SAIGE-MONTAIGNE-COMPOSTELLE »

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Changements sur "2ème étape : LES MOBILITÉS"

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+["2ème étape : LES MOBILITÉS\n\nRESUMÉ de l’étape1 : le périmètre\nDans l’étape précédente il a été indiqué que le périmètre pertinent du projet d’aménagement de ce grand site de Bordeaux InnoCampus est :\n•\tLa rocade de l’avenue de Saige jusqu’à l’échangeur 16 ;\n•\tLes cours du Général de Gaulle et de la Libération ; \n•\tL’avenue Pey Berland ;\n•\tL’avenue Robert Escarpit ;\n•\tL’avenue du Docteur Albert Schweitzer ;\n•\tL’avenue du Maréchal Juin ;\n•\tL’avenue de Saige\n\nD’ailleurs il conviendrait d’intituler le projet :\n\n« PESSAC-SAIGE-CAMPUS MONTAIGNE MONTESQUIEU-COMPOSTELLE »\nOu encore plus précisément encore\n« SAIGE-FORMANOIR-CAMPUS MONTAIGNE MONTESQUIEU-LA PAILLERE COMPOSTELLE »\n\nLes villes de Gradignan et Talence n’étant, par rapport à la commune de Pessac, que « marginalement » concernées :\n•\tGradignan avec deux établissements (Sciences Agro et l’IUT) et une habitation (château) ;\n•\tTalence avec le quartier essentiellement pavillonnaire du Bijou contigu à celui de La Paillère Compostelle à Pessac comportant lui de multiples collectifs.\nCes villes seront cependant impliquées notamment pour ce qui concerne les mobilités.\nLe paradoxe est qu’en matière de mobilités le dossier d’études proposé s’applique à l’ensemble du domaine universitaire Pessac-Talence-Gradignan !\nPour notre part nous resterons, par cohérence, sur le périmètre proposé plus haut qui n’empêche pas une vision élargie en fonction des modes de déplacement pris en compte.\n\nLES CONSTATS :\n\nC’est le Campus Montaigne-Montesquieu qui avec ses nombreux étudiants, enseignants et chercheurs ou agents, impacte le plus les mobilités d’un secteur où la voiture, malgré l’arrivée du tramway, reste visiblement dominante :\n•\tparkings « privatisés » avec contrôle d’accès réservés ; \n•\taires de stationnement implantées sur des espaces boisés ou verts ainsi rognés et imperméabilisés ; \n•\tstationnement sauvage sur les « trottoirs » accru… (Voir par exemple devant les installations sportives du BEC)\nBoutade : Ce n’est pas l’enseignement supérieur qui s’est démocratisé, c’est la voiture !\n\nLe tramway : L’objectif premier de la ligne B de tramway était la desserte du domaine universitaire bien avant de rejoindre les gares intermodales (où s’arrêtent tous les TER allant à Bordeaux et à Arcachon ou vers le sud Aquitaine) de Pessac-Centre puis de l’Alouette. Cette ligne est saturée. L’idée de créer un débranchement nouveau en amont de l’arrêt partiel Montaigne Montesquieu est incohérente et réduirait encore la desserte des gares intermodale précitées d’ailleurs aujourd’hui avec le rétablissement du Y des Echoppes en connexion aussi avec le Médoc via Blanquefort. Toutes les décisions tendant à réduire ces flux « non naturels » favorisent l’usage de la voiture ! \n\nEn outre l’arrêt partiel créé à la station Montaigne Montesquieu a renforcé la pente naturelle des étudiants vers les lieux festifs (cinémas, cafés…) de Bordeaux via Talence qui peut cependant bénéficier de ce flux important au passage mais toujours au détriment des stations de Pessac-Centre et de Pessac-Alouette situées à l’opposé.\n\nEnfin l’implantation de la station Montaigne Montesquieu plus celle du bâtiment « accueil » de l’université Montaigne juste devant a abouti à une « privatisation » de cette station pratiquement inaccessible aux quartiers périphériques (Chiquet-Fontaudin et Brivazac-Candau notamment).\n\nLa circulation automobile a été bouleversée par l’arrivée du tramway sur le campus Montaigne Montesquieu et le quartier La Paillère Compostelle : accès limités avec des voies coupées comme Ausone (ancienne avenue de la Paillère) ou mise à sens unique comme entre le village 3 et la BU. En revanche l’implantation du tramway en limite du périmètre de Saige Formanoir le long de l’avenue du Maréchal Juin a préservé cette partie du quartier des flux automobiles de transit –renvoyés à la périphérie - réservant ainsi les voies internes à un simple trafic de desserte locale, ce qui participe d’une limitation des nuisances.\n\nLes déplacements doux : Une unique piste cyclable avec des discontinuités (notamment au niveau de la Maison des Arts) sur le site du Campus Montaigne Montesquieu heureusement raccordée à la « piste de rocade » de Pessac mais à la visibilité réduite par un raccordement faisant tronçon commun partiel avec le cheminement mixte des Époux Reyraud mutilant ainsi par sa continuité le Bois de Dieu (Bois de Saige) ! \nUne piste cyclable a certes été réalisée sur Saige du giratoire du palindrome de la zone Unitec à Bougnard pour « désencombrer » l’avenue du Maréchal Juin devenue dangereuse pour les cyclistes du fait de l’emprise du tramway. De plus elle est en site banalisé à son départ et totalement invisible pour les néophytes.\n\nLes piétons doivent se contenter des trottoirs des voieries existantes souvent contraintes par le stationnement sauvage ou leur inexistence (voir l’Esplanade des Antilles) ou hors d’état ( voir le long de Sciences Agro sur l’avenue de Compostelle). \nIl a fallu attendre presqu’un demi siècle pour avaliser des passages piétonniers de fait – comme le passage des Jacquets vers la station Doyen Brus ou encore le cheminement entre le Sigdu et le Village 5 – pourtant inscrits sur le sol et visibles sur des photos aériennes depuis longtemps !\n\nA VENIR: LES PROPOSITIONS"]

+["2ème étape : LES MOBILITÉS\n\nRESUMÉ de l’étape1 : le périmètre\nDans l’étape précédente il a été indiqué que le périmètre pertinent du projet d’aménagement de ce grand site de Bordeaux InnoCampus est :\n•\tLa rocade de l’avenue de Saige jusqu’à l’échangeur 16 ;\n•\tLes cours du Général de Gaulle et de la Libération ; \n•\tL’avenue Pey Berland ;\n•\tL’avenue Robert Escarpit ;\n•\tL’avenue du Docteur Albert Schweitzer ;\n•\tL’avenue du Maréchal Juin ;\n•\tL’avenue de Saige\n\nD’ailleurs il conviendrait d’intituler le projet :\n\n« PESSAC-SAIGE-CAMPUS MONTAIGNE MONTESQUIEU-COMPOSTELLE »\nOu encore plus précisément encore\n« SAIGE-FORMANOIR-CAMPUS MONTAIGNE MONTESQUIEU-LA PAILLERE COMPOSTELLE »\n\nLes villes de Gradignan et Talence n’étant, par rapport à la commune de Pessac, que « marginalement » concernées :\n•\tGradignan avec deux établissements (Sciences Agro et l’IUT) et une habitation (château) ;\n•\tTalence avec le quartier essentiellement pavillonnaire du Bijou contigu à celui de La Paillère Compostelle à Pessac comportant lui de multiples collectifs.\nCes villes seront cependant impliquées notamment pour ce qui concerne les mobilités.\nLe paradoxe est qu’en matière de mobilités le dossier d’études proposé s’applique à l’ensemble du domaine universitaire Pessac-Talence-Gradignan !\nPour notre part nous resterons, par cohérence, sur le périmètre proposé plus haut qui n’empêche pas une vision élargie en fonction des modes de déplacement pris en compte.\n\nLES CONSTATS :\n\nC’est le Campus Montaigne-Montesquieu qui avec ses nombreux étudiants, enseignants et chercheurs ou agents, impacte le plus les mobilités d’un secteur où la voiture, malgré l’arrivée du tramway, reste visiblement dominante :\n•\tparkings « privatisés » avec contrôle d’accès réservés ; \n•\taires de stationnement implantées sur des espaces boisés ou verts ainsi rognés et imperméabilisés ; \n•\tstationnement sauvage sur les « trottoirs » accru… (Voir par exemple devant les installations sportives du BEC)\nBoutade : Ce n’est pas l’enseignement supérieur qui s’est démocratisé, c’est la voiture !\n\nLe tramway : L’objectif premier de la ligne B de tramway était la desserte du domaine universitaire bien avant de rejoindre les gares intermodales (où s’arrêtent tous les TER allant à Bordeaux et à Arcachon ou vers le sud Aquitaine) de Pessac-Centre puis de l’Alouette. Cette ligne est saturée. L’idée de créer un débranchement nouveau en amont de l’arrêt partiel Montaigne Montesquieu est incohérente et réduirait encore la desserte des gares intermodale précitées d’ailleurs aujourd’hui avec le rétablissement du Y des Echoppes en connexion aussi avec le Médoc via Blanquefort. Toutes les décisions tendant à réduire ces flux « non naturels » favorisent l’usage de la voiture ! \n\nEn outre l’arrêt partiel créé à la station Montaigne Montesquieu a renforcé la pente naturelle des étudiants vers les lieux festifs (cinémas, cafés…) de Bordeaux via Talence qui peut cependant bénéficier de ce flux important au passage mais toujours au détriment des stations de Pessac-Centre et de Pessac-Alouette situées à l’opposé.\n\nEnfin l’implantation de la station Montaigne Montesquieu plus celle du bâtiment « accueil » de l’université Montaigne juste devant a abouti à une « privatisation » de cette station pratiquement inaccessible aux quartiers périphériques (Chiquet-Fontaudin et Brivazac-Candau notamment).\n\nLa circulation automobile a été bouleversée par l’arrivée du tramway sur le campus Montaigne Montesquieu et le quartier La Paillère Compostelle : accès limités avec des voies coupées comme Ausone (ancienne avenue de la Paillère) ou mise à sens unique comme entre le village 3 et la BU. En revanche l’implantation du tramway en limite du périmètre de Saige Formanoir le long de l’avenue du Maréchal Juin a préservé cette partie du quartier des flux automobiles de transit –renvoyés à la périphérie - réservant ainsi les voies internes à un simple trafic de desserte locale, ce qui participe d’une limitation des nuisances.\n\nLes déplacements doux : Une unique piste cyclable avec des discontinuités (notamment au niveau de la Maison des Arts) sur le site du Campus Montaigne Montesquieu heureusement raccordée à la « piste de rocade » de Pessac mais à la visibilité réduite par un raccordement faisant tronçon commun partiel avec le cheminement mixte des Époux Reyraud mutilant ainsi par sa continuité le Bois de Dieu (Bois de Saige) ! \nUne piste cyclable a certes été réalisée sur Saige du giratoire du palindrome de la zone Unitec à Bougnard pour « désencombrer » l’avenue du Maréchal Juin devenue dangereuse pour les cyclistes du fait de l’emprise du tramway. De plus elle est en site banalisé à son départ et totalement invisible pour les néophytes.\n\nLes piétons doivent se contenter des trottoirs des voieries existantes souvent contraintes par le stationnement sauvage ou leur inexistence (voir l’Esplanade des Antilles) ou hors d’état ( voir le long de Sciences Agro sur l’avenue de Compostelle). \nIl a fallu attendre presqu’un demi siècle pour avaliser des passages piétonniers de fait – comme le passage des Jacquets vers la station Doyen Brus ou encore le cheminement entre le Sigdu et le Village 5 – pourtant inscrits sur le sol et visibles sur des photos aériennes depuis longtemps !\n\nA VENIR: LES PROPOSITIONS"]

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+["2ème étape : LES MOBILITÉS\n\nRESUMÉ de l’étape1 : le périmètre\nDans l’étape précédente il a été indiqué que le périmètre pertinent du projet d’aménagement de ce grand site de Bordeaux InnoCampus est :\n•\tLa rocade de l’avenue de Saige jusqu’à l’échangeur 16 ;\n•\tLes cours du Général de Gaulle et de la Libération ; \n•\tL’avenue Pey Berland ;\n•\tL’avenue Robert Escarpit ;\n•\tL’avenue du Docteur Albert Schweitzer ;\n•\tL’avenue du Maréchal Juin ;\n•\tL’avenue de Saige\n\nD’ailleurs il conviendrait d’intituler le projet :\n\n« PESSAC-SAIGE-CAMPUS MONTAIGNE MONTESQUIEU-COMPOSTELLE »\nOu encore plus précisément encore\n« SAIGE-FORMANOIR-CAMPUS MONTAIGNE MONTESQUIEU-LA PAILLERE COMPOSTELLE »\n\nLes villes de Gradignan et Talence n’étant, par rapport à la commune de Pessac, que « marginalement » concernées :\n•\tGradignan avec deux établissements (Sciences Agro et l’IUT) et une habitation (château) ;\n•\tTalence avec le quartier essentiellement pavillonnaire du Bijou contigu à celui de La Paillère Compostelle à Pessac comportant lui de multiples collectifs.\nCes villes seront cependant impliquées notamment pour ce qui concerne les mobilités.\nLe paradoxe est qu’en matière de mobilités le dossier d’études proposé s’applique à l’ensemble du domaine universitaire Pessac-Talence-Gradignan !\nPour notre part nous resterons, par cohérence, sur le périmètre proposé plus haut qui n’empêche pas une vision élargie en fonction des modes de déplacement pris en compte.\n\nLES CONSTATS :\n\nC’est le Campus Montaigne-Montesquieu qui avec ses nombreux étudiants, enseignants et chercheurs ou agents, impacte le plus les mobilités d’un secteur où la voiture, malgré l’arrivée du tramway, reste visiblement dominante :\n•\tparkings « privatisés » avec contrôle d’accès réservés ; \n•\taires de stationnement implantées sur des espaces boisés ou verts ainsi rognés et imperméabilisés ; \n•\tstationnement sauvage sur les « trottoirs » accru… (Voir par exemple devant les installations sportives du BEC)\nBoutade : Ce n’est pas l’enseignement supérieur qui s’est démocratisé, c’est la voiture !\n\nLe tramway : L’objectif premier de la ligne B de tramway était la desserte du domaine universitaire bien avant de rejoindre les gares intermodales (où s’arrêtent tous les TER allant à Bordeaux et à Arcachon ou vers le sud Aquitaine) de Pessac-Centre puis de l’Alouette. Cette ligne est saturée. L’idée de créer un débranchement nouveau en amont de l’arrêt partiel Montaigne Montesquieu est incohérente et réduirait encore la desserte des gares intermodale précitées d’ailleurs aujourd’hui avec le rétablissement du Y des Echoppes en connexion aussi avec le Médoc via Blanquefort. Toutes les décisions tendant à réduire ces flux « non naturels » favorisent l’usage de la voiture ! \n\nEn outre l’arrêt partiel créé à la station Montaigne Montesquieu a renforcé la pente naturelle des étudiants vers les lieux festifs (cinémas, cafés…) de Bordeaux via Talence qui peut cependant bénéficier de ce flux important au passage mais toujours au détriment des stations de Pessac-Centre et de Pessac-Alouette situées à l’opposé.\n\nEnfin l’implantation de la station Montaigne Montesquieu plus celle du bâtiment « accueil » de l’université Montaigne juste devant a abouti à une « privatisation » de cette station pratiquement inaccessible aux quartiers périphériques (Chiquet-Fontaudin et Brivazac-Candau notamment).\n\nLa circulation automobile a été bouleversée par l’arrivée du tramway sur le campus Montaigne Montesquieu et le quartier La Paillère Compostelle : accès limités avec des voies coupées comme Ausone (ancienne avenue de la Paillère) ou mise à sens unique comme entre le village 3 et la BU. En revanche l’implantation du tramway en limite du périmètre de Saige Formanoir le long de l’avenue du Maréchal Juin a préservé cette partie du quartier des flux automobiles de transit –renvoyés à la périphérie - réservant ainsi les voies internes à un simple trafic de desserte locale, ce qui participe d’une limitation des nuisances.\n\nLes déplacements doux : Une unique piste cyclable avec des discontinuités (notamment au niveau de la Maison des Arts) sur le site du Campus Montaigne Montesquieu heureusement raccordée à la « piste de rocade » de Pessac mais à la visibilité réduite par un raccordement faisant tronçon commun partiel avec le cheminement mixte des Époux Reyraud mutilant ainsi par sa continuité le Bois de Dieu (Bois de Saige) ! \nUne piste cyclable a certes été réalisée sur Saige du giratoire du palindrome de la zone Unitec à Bougnard pour « désencombrer » l’avenue du Maréchal Juin devenue dangereuse pour les cyclistes du fait de l’emprise du tramway. De plus elle est en site banalisé à son départ et totalement invisible pour les néophytes.\n\nLes piétons doivent se contenter des trottoirs des voieries existantes souvent contraintes par le stationnement sauvage ou leur inexistence (voir l’Esplanade des Antilles) ou hors d’état ( voir le long de Sciences Agro sur l’avenue de Compostelle). \nIl a fallu attendre presqu’un demi siècle pour avaliser des passages piétonniers de fait – comme le passage des Jacquets vers la station Doyen Brus ou encore le cheminement entre le Sigdu et le Village 5 – pourtant inscrits sur le sol et visibles sur des photos aériennes depuis longtemps !\n\nA VENIR: LES PROPOSITIONS"]

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+["2ème étape : LES MOBILITÉS\n\nRESUMÉ de l’étape1 : le périmètre\nDans l’étape précédente il a été indiqué que le périmètre pertinent du projet d’aménagement de ce grand site de Bordeaux InnoCampus est :\n•\tLa rocade de l’avenue de Saige jusqu’à l’échangeur 16 ;\n•\tLes cours du Général de Gaulle et de la Libération ; \n•\tL’avenue Pey Berland ;\n•\tL’avenue Robert Escarpit ;\n•\tL’avenue du Docteur Albert Schweitzer ;\n•\tL’avenue du Maréchal Juin ;\n•\tL’avenue de Saige\n\nD’ailleurs il conviendrait d’intituler le projet :\n\n« PESSAC-SAIGE-CAMPUS MONTAIGNE MONTESQUIEU-COMPOSTELLE »\nOu encore plus précisément encore\n« SAIGE-FORMANOIR-CAMPUS MONTAIGNE MONTESQUIEU-LA PAILLERE COMPOSTELLE »\n\nLes villes de Gradignan et Talence n’étant, par rapport à la commune de Pessac, que « marginalement » concernées :\n•\tGradignan avec deux établissements (Sciences Agro et l’IUT) et une habitation (château) ;\n•\tTalence avec le quartier essentiellement pavillonnaire du Bijou contigu à celui de La Paillère Compostelle à Pessac comportant lui de multiples collectifs.\nCes villes seront cependant impliquées notamment pour ce qui concerne les mobilités.\nLe paradoxe est qu’en matière de mobilités le dossier d’études proposé s’applique à l’ensemble du domaine universitaire Pessac-Talence-Gradignan !\nPour notre part nous resterons, par cohérence, sur le périmètre proposé plus haut qui n’empêche pas une vision élargie en fonction des modes de déplacement pris en compte.\n\nLES CONSTATS :\n\nC’est le Campus Montaigne-Montesquieu qui avec ses nombreux étudiants, enseignants et chercheurs ou agents, impacte le plus les mobilités d’un secteur où la voiture, malgré l’arrivée du tramway, reste visiblement dominante :\n•\tparkings « privatisés » avec contrôle d’accès réservés ; \n•\taires de stationnement implantées sur des espaces boisés ou verts ainsi rognés et imperméabilisés ; \n•\tstationnement sauvage sur les « trottoirs » accru… (Voir par exemple devant les installations sportives du BEC)\nBoutade : Ce n’est pas l’enseignement supérieur qui s’est démocratisé, c’est la voiture !\n\nLe tramway : L’objectif premier de la ligne B de tramway était la desserte du domaine universitaire bien avant de rejoindre les gares intermodales (où s’arrêtent tous les TER allant à Bordeaux et à Arcachon ou vers le sud Aquitaine) de Pessac-Centre puis de l’Alouette. Cette ligne est saturée. L’idée de créer un débranchement nouveau en amont de l’arrêt partiel Montaigne Montesquieu est incohérente et réduirait encore la desserte des gares intermodale précitées d’ailleurs aujourd’hui avec le rétablissement du Y des Echoppes en connexion aussi avec le Médoc via Blanquefort. Toutes les décisions tendant à réduire ces flux « non naturels » favorisent l’usage de la voiture ! \n\nEn outre l’arrêt partiel créé à la station Montaigne Montesquieu a renforcé la pente naturelle des étudiants vers les lieux festifs (cinémas, cafés…) de Bordeaux via Talence qui peut cependant bénéficier de ce flux important au passage mais toujours au détriment des stations de Pessac-Centre et de Pessac-Alouette situées à l’opposé.\n\nEnfin l’implantation de la station Montaigne Montesquieu plus celle du bâtiment « accueil » de l’université Montaigne juste devant a abouti à une « privatisation » de cette station pratiquement inaccessible aux quartiers périphériques (Chiquet-Fontaudin et Brivazac-Candau notamment).\n\nLa circulation automobile a été bouleversée par l’arrivée du tramway sur le campus Montaigne Montesquieu et le quartier La Paillère Compostelle : accès limités avec des voies coupées comme Ausone (ancienne avenue de la Paillère) ou mise à sens unique comme entre le village 3 et la BU. En revanche l’implantation du tramway en limite du périmètre de Saige Formanoir le long de l’avenue du Maréchal Juin a préservé cette partie du quartier des flux automobiles de transit –renvoyés à la périphérie - réservant ainsi les voies internes à un simple trafic de desserte locale, ce qui participe d’une limitation des nuisances.\n\nLes déplacements doux : Une unique piste cyclable avec des discontinuités (notamment au niveau de la Maison des Arts) sur le site du Campus Montaigne Montesquieu heureusement raccordée à la « piste de rocade » de Pessac mais à la visibilité réduite par un raccordement faisant tronçon commun partiel avec le cheminement mixte des Époux Reyraud mutilant ainsi par sa continuité le Bois de Dieu (Bois de Saige) ! \nUne piste cyclable a certes été réalisée sur Saige du giratoire du palindrome de la zone Unitec à Bougnard pour « désencombrer » l’avenue du Maréchal Juin devenue dangereuse pour les cyclistes du fait de l’emprise du tramway. De plus elle est en site banalisé à son départ et totalement invisible pour les néophytes.\n\nLes piétons doivent se contenter des trottoirs des voieries existantes souvent contraintes par le stationnement sauvage ou leur inexistence (voir l’Esplanade des Antilles) ou hors d’état ( voir le long de Sciences Agro sur l’avenue de Compostelle). \nIl a fallu attendre presqu’un demi siècle pour avaliser des passages piétonniers de fait – comme le passage des Jacquets vers la station Doyen Brus ou encore le cheminement entre le Sigdu et le Village 5 – pourtant inscrits sur le sol et visibles sur des photos aériennes depuis longtemps !\n\nA VENIR: LES PROPOSITIONS"]

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Version créée le 09/02/2021 12:34