Les boulevards : exprimez-vous !
Projet
Changements sur "Les pistes cyclables doivent"
SĂ©lectionner le mode de vue :
Mode d'affichage HTML :
Titre
- +{"fr"=>"Les pistes cyclables doivent"}
Corps du texte
- +["Les pistes cyclables doivent être sécurisées, ce qui implique d'aménager un couloir protégé des voitures pour que la distance latérale soit effectivement préservée, de 1 mètre en ville (Code de la route : Article R414-4 \"IV. - Pour effectuer le dépassement, il [l'automobiliste] doit se déporter suffisamment pour ne pas risquer de heurter l’usager qu’il veut dépasser. Il ne doit pas en tout cas s’en approcher latéralement à moins de 1 mètre en agglomération et de 1,50 mètre hors agglomération s’il s’agit d’un véhicule à traction animale, d’un engin à deux ou à trois roues, d’un piéton, d’un cavalier ou d’un anima\n\nLes sanctions possibles\n\nV. - Le fait, pour tout conducteur, de contrevenir aux dispositions des II à IV ci-dessus est puni de l’amende prévue pour les contraventions de la quatrième classe.\n\nVI. - Cette contravention donne lieu de plein droit à la réduction de trois points du permis de conduire.\" Pour circuler sur les boulevards à vélo régulièrement, force est de constater que ce n'est pas le cas. Je tiens à préciser que le danger provient essentiellement de cette absence de respect de la distance latérale. Quant à l'idée que les cyclistes grillent les feux rouges et priorités sur cet axe de circulation, je ne la commenterai pas, n'ayant pas observé ce type de comportement. \n\nPar contre des automobilistes qui passent à l'orange ou grillent des feux ou des priorités, se font flasher, empiètent sur le sas réservé aux vélos, ça j'ai observé. Je circule aussi en voiture mais le moins possible. J'habite à proximité des boulevards où l'air est particulièrement pollué, je pense qu'il n'est pas juste de sacrifier la santé de ses habitants qui contribuent pourtant au dynamisme des commerces de proximité et entreprises locales, mais également au budget de Bordeaux métropole et à l'entretien de ses voiries par leurs impôts. Donc oui il est temps de reconsidérer ces espaces urbains et de ne pas les cantonner dans leur fonction de dessertes à l'usage exclusif des automobilistes. Ce ne serait que justice, équité. Par ailleurs s'en soucier serait répondre à des directives réglementaires européennes, la France dépassant depuis 10 ans le seuil limite de dioxyde d'azotes dans ses métropoles. Développer les modes de déplacements doux est sûrement l'avenir. Mais pour cela il faut envisager des changements. C'est l'objet de cette concertation."]
Version créée le
25/10/2019 08:35