Habiter Mérignac Soleil : enquête publique

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+["Le rapport indique, parmi les enjeux de l’opération, celui de promouvoir une stratégie paysagère volontariste de fertilisation des sols (pleine terre, espaces généreux dédiés au grand paysage), reposant notamment sur la revitalisation progressive des nappes de stationnement.\n \nUne telle affirmation apparaît contradictoire avec les travaux d'aménagements des avenues de la Somme, de Matosinhos, de Kennedy, et du chemin POUCHON, réalisés jusqu’alors par BORDEAUX METROPOLE.\n \nCes travaux ont eu pour effet de supprimer les fossés herbeux existants drainant les eaux pluviales, pour créer un trottoir bitumé autour du site, et de surélever le l’emprise de l’Avenue de la Somme par rapport aux terrains riverains obligeant BORDEAUX METROPOLE à mettre en place un muret.\n \nDepuis la réalisation de ces travaux, les riverains subissent régulièrement des inondations à chaque pluie de fortes densités, ce qui est, comme vous le savez, de plus en plus récurrent.\n\nIl est indiqué dans le dossier soumis à enquête publique que le projet de la desserte du tram va entraîner une imperméabilisation supplémentaire de 2,18 ha, ce qui semble contradictoire avec le maintien des espaces verts, et des espaces en pleine terre, les aménagements prévus ayant notamment pour effet de supprimer les fossés existants, ce qui ne peut pas être sans impact sur le drainage naturel des eaux pluviales.\n \nD’ailleurs, dans le cadre de l'enquête publique du projet d’amélioration de la desserte en transport en commun de la zone aéroportuaire de MERIGNAC qui concerne le même secteur, la MRAE avait déjà considéré, dans son avis du 30 mai 2018 que :\n\n\"s'agissant des traitements des EP, le dossier mentionne une limite pour tout projet nouveaux pour les rejets dans le réseau publique à3l/s/ha. On peut regretter que ce point soit analysé uniquement dans l'analyse du projet sur les réseaux alors que la sensibilité de l'agglomération aux évènements pluviaux est importante. il aurait été utile d'examiner la contribution du périmètre d'étude au risque d'inondation de l'aval\".\n\nDans ces conditions, la problématique liée à la gestion des eaux pluviales est largement sous-développée dans le dossier soumis à enquête publique.\n"]

+["Le rapport indique, parmi les enjeux de l’opération, celui de promouvoir une stratégie paysagère volontariste de fertilisation des sols (pleine terre, espaces généreux dédiés au grand paysage), reposant notamment sur la revitalisation progressive des nappes de stationnement.\n \nUne telle affirmation apparaît contradictoire avec les travaux d'aménagements des avenues de la Somme, de Matosinhos, de Kennedy, et du chemin POUCHON, réalisés jusqu’alors par BORDEAUX METROPOLE.\n \nCes travaux ont eu pour effet de supprimer les fossés herbeux existants drainant les eaux pluviales, pour créer un trottoir bitumé autour du site, et de surélever le l’emprise de l’Avenue de la Somme par rapport aux terrains riverains obligeant BORDEAUX METROPOLE à mettre en place un muret.\n \nDepuis la réalisation de ces travaux, les riverains subissent régulièrement des inondations à chaque pluie de fortes densités, ce qui est, comme vous le savez, de plus en plus récurrent.\n\nIl est indiqué dans le dossier soumis à enquête publique que le projet de la desserte du tram va entraîner une imperméabilisation supplémentaire de 2,18 ha, ce qui semble contradictoire avec le maintien des espaces verts, et des espaces en pleine terre, les aménagements prévus ayant notamment pour effet de supprimer les fossés existants, ce qui ne peut pas être sans impact sur le drainage naturel des eaux pluviales.\n \nD’ailleurs, dans le cadre de l'enquête publique du projet d’amélioration de la desserte en transport en commun de la zone aéroportuaire de MERIGNAC qui concerne le même secteur, la MRAE avait déjà considéré, dans son avis du 30 mai 2018 que :\n\n\"s'agissant des traitements des EP, le dossier mentionne une limite pour tout projet nouveaux pour les rejets dans le réseau publique à3l/s/ha. On peut regretter que ce point soit analysé uniquement dans l'analyse du projet sur les réseaux alors que la sensibilité de l'agglomération aux évènements pluviaux est importante. il aurait été utile d'examiner la contribution du périmètre d'étude au risque d'inondation de l'aval\".\n\nDans ces conditions, la problématique liée à la gestion des eaux pluviales est largement sous-développée dans le dossier soumis à enquête publique.\n"]

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+["Le rapport indique, parmi les enjeux de l’opération, celui de promouvoir une stratégie paysagère volontariste de fertilisation des sols (pleine terre, espaces généreux dédiés au grand paysage), reposant notamment sur la revitalisation progressive des nappes de stationnement.\n \nUne telle affirmation apparaît contradictoire avec les travaux d'aménagements des avenues de la Somme, de Matosinhos, de Kennedy, et du chemin POUCHON, réalisés jusqu’alors par BORDEAUX METROPOLE.\n \nCes travaux ont eu pour effet de supprimer les fossés herbeux existants drainant les eaux pluviales, pour créer un trottoir bitumé autour du site, et de surélever le l’emprise de l’Avenue de la Somme par rapport aux terrains riverains obligeant BORDEAUX METROPOLE à mettre en place un muret.\n \nDepuis la réalisation de ces travaux, les riverains subissent régulièrement des inondations à chaque pluie de fortes densités, ce qui est, comme vous le savez, de plus en plus récurrent.\n\nIl est indiqué dans le dossier soumis à enquête publique que le projet de la desserte du tram va entraîner une imperméabilisation supplémentaire de 2,18 ha, ce qui semble contradictoire avec le maintien des espaces verts, et des espaces en pleine terre, les aménagements prévus ayant notamment pour effet de supprimer les fossés existants, ce qui ne peut pas être sans impact sur le drainage naturel des eaux pluviales.\n \nD’ailleurs, dans le cadre de l'enquête publique du projet d’amélioration de la desserte en transport en commun de la zone aéroportuaire de MERIGNAC qui concerne le même secteur, la MRAE avait déjà considéré, dans son avis du 30 mai 2018 que :\n\n\"s'agissant des traitements des EP, le dossier mentionne une limite pour tout projet nouveaux pour les rejets dans le réseau publique à3l/s/ha. On peut regretter que ce point soit analysé uniquement dans l'analyse du projet sur les réseaux alors que la sensibilité de l'agglomération aux évènements pluviaux est importante. il aurait été utile d'examiner la contribution du périmètre d'étude au risque d'inondation de l'aval\".\n\nDans ces conditions, la problématique liée à la gestion des eaux pluviales est largement sous-développée dans le dossier soumis à enquête publique.\n"]

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+["Le rapport indique, parmi les enjeux de l’opération, celui de promouvoir une stratégie paysagère volontariste de fertilisation des sols (pleine terre, espaces généreux dédiés au grand paysage), reposant notamment sur la revitalisation progressive des nappes de stationnement.\n \nUne telle affirmation apparaît contradictoire avec les travaux d'aménagements des avenues de la Somme, de Matosinhos, de Kennedy, et du chemin POUCHON, réalisés jusqu’alors par BORDEAUX METROPOLE.\n \nCes travaux ont eu pour effet de supprimer les fossés herbeux existants drainant les eaux pluviales, pour créer un trottoir bitumé autour du site, et de surélever le l’emprise de l’Avenue de la Somme par rapport aux terrains riverains obligeant BORDEAUX METROPOLE à mettre en place un muret.\n \nDepuis la réalisation de ces travaux, les riverains subissent régulièrement des inondations à chaque pluie de fortes densités, ce qui est, comme vous le savez, de plus en plus récurrent.\n\nIl est indiqué dans le dossier soumis à enquête publique que le projet de la desserte du tram va entraîner une imperméabilisation supplémentaire de 2,18 ha, ce qui semble contradictoire avec le maintien des espaces verts, et des espaces en pleine terre, les aménagements prévus ayant notamment pour effet de supprimer les fossés existants, ce qui ne peut pas être sans impact sur le drainage naturel des eaux pluviales.\n \nD’ailleurs, dans le cadre de l'enquête publique du projet d’amélioration de la desserte en transport en commun de la zone aéroportuaire de MERIGNAC qui concerne le même secteur, la MRAE avait déjà considéré, dans son avis du 30 mai 2018 que :\n\n\"s'agissant des traitements des EP, le dossier mentionne une limite pour tout projet nouveaux pour les rejets dans le réseau publique à3l/s/ha. On peut regretter que ce point soit analysé uniquement dans l'analyse du projet sur les réseaux alors que la sensibilité de l'agglomération aux évènements pluviaux est importante. il aurait été utile d'examiner la contribution du périmètre d'étude au risque d'inondation de l'aval\".\n\nDans ces conditions, la problématique liée à la gestion des eaux pluviales est largement sous-développée dans le dossier soumis à enquête publique.\n"]

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Version créée le 18/01/2019 16:11