Aménagement du site de la Jallère à Bordeaux (concertation 2018-2019)

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+["Bordeaux et ses environs sont noyés depuis quelques années sous un flot de constructions tout azimut, une bétonisation sans fin qui rend les communes méconnaissables et oppressantes, de grands conglomérats de bâtiments, d'ensembles immobiliers impactant la qualité de vie, le bien être et empêchant toute respiration, aération des espaces, une catastrophe dont on comprendra l'ampleur dans quelques années. Les élus, décideurs, responsables, avec la bénédiction des promoteurs immobiliers, nous imposent de tels aménagements, une telle transformation des villes mais les citoyens, habitants doivent être les souverains en la matière et décider de ce que doit devenir leur environnement, or il semble que leurs avis et préoccupations n'aient que peu d'incidence sur les choix des responsables, ces derniers décidant pour eux ce qui est bon ou pas. La bétonisation à tout-va a vécu, elle est une aberration et va à l'encontre de la ville \"verte\", il faut protéger, sanctuariser, favoriser les espaces verts restants et les emménager intelligemment et équitablement, donc ne pas partir du postulat qu'il faut sans cesse bâtir et construire, la vitalité d'une ville ne dépend pas que de ses critères comme le pensent nombre d'élus obsédés par l'idée du toujours plus grand, plus bâtit, plus nombreux. Il faut imposer un quota, un pourcentage de constructions de bâtiments individuels dans chaque commune lorsque des projets sont envisagés et non faire du tout collectif et également imposer aux constructeurs-promoteurs la création d'espaces verts et libres à tout nouveau projet et à leur frais pour pouvoir construire.\n\nConcernant LA JALLERE, le site du LAC a suffisamment fait les frais de la bétonisation à tout-va en devenant une nouvelle banlieue où l'espace se restreint de plus en plus et est étouffant. Il faut donc préserver le \"vert\" qui reste, ne pas sacrifier bêtement, mécaniquement, idéologiquement les espaces naturels, c'est cela la modernité et le progrès. Une ville verte se n'est pas simplement avoir des îlots de verdure et de tranquillité ici et là (parcs, jardins etc...) c'est également ne pas l'écraser et la noyer sous une masse de constructions qui ne fait perpétuer les problèmes et les tares du système. Ça les élus et autres responsables ont du mal à l'admettre et le comprendre. Laissez respirer les villes, donc les hommes, les habitants, c'est une démarche bien plus vertueuse et bénéfique que de construire pour construire, sans fin, sans limite. Et surtout que l'avis des citoyens prime sur les envies, ambitions, intérêts de certains, ne dit on pas que le souverain est le peuple ? Cela s'applique aussi au local."]

+["Bordeaux et ses environs sont noyés depuis quelques années sous un flot de constructions tout azimut, une bétonisation sans fin qui rend les communes méconnaissables et oppressantes, de grands conglomérats de bâtiments, d'ensembles immobiliers impactant la qualité de vie, le bien être et empêchant toute respiration, aération des espaces, une catastrophe dont on comprendra l'ampleur dans quelques années. Les élus, décideurs, responsables, avec la bénédiction des promoteurs immobiliers, nous imposent de tels aménagements, une telle transformation des villes mais les citoyens, habitants doivent être les souverains en la matière et décider de ce que doit devenir leur environnement, or il semble que leurs avis et préoccupations n'aient que peu d'incidence sur les choix des responsables, ces derniers décidant pour eux ce qui est bon ou pas. La bétonisation à tout-va a vécu, elle est une aberration et va à l'encontre de la ville \"verte\", il faut protéger, sanctuariser, favoriser les espaces verts restants et les emménager intelligemment et équitablement, donc ne pas partir du postulat qu'il faut sans cesse bâtir et construire, la vitalité d'une ville ne dépend pas que de ses critères comme le pensent nombre d'élus obsédés par l'idée du toujours plus grand, plus bâtit, plus nombreux. Il faut imposer un quota, un pourcentage de constructions de bâtiments individuels dans chaque commune lorsque des projets sont envisagés et non faire du tout collectif et également imposer aux constructeurs-promoteurs la création d'espaces verts et libres à tout nouveau projet et à leur frais pour pouvoir construire.\n\nConcernant LA JALLERE, le site du LAC a suffisamment fait les frais de la bétonisation à tout-va en devenant une nouvelle banlieue où l'espace se restreint de plus en plus et est étouffant. Il faut donc préserver le \"vert\" qui reste, ne pas sacrifier bêtement, mécaniquement, idéologiquement les espaces naturels, c'est cela la modernité et le progrès. Une ville verte se n'est pas simplement avoir des îlots de verdure et de tranquillité ici et là (parcs, jardins etc...) c'est également ne pas l'écraser et la noyer sous une masse de constructions qui ne fait perpétuer les problèmes et les tares du système. Ça les élus et autres responsables ont du mal à l'admettre et le comprendre. Laissez respirer les villes, donc les hommes, les habitants, c'est une démarche bien plus vertueuse et bénéfique que de construire pour construire, sans fin, sans limite. Et surtout que l'avis des citoyens prime sur les envies, ambitions, intérêts de certains, ne dit on pas que le souverain est le peuple ? Cela s'applique aussi au local."]

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+["Bordeaux et ses environs sont noyés depuis quelques années sous un flot de constructions tout azimut, une bétonisation sans fin qui rend les communes méconnaissables et oppressantes, de grands conglomérats de bâtiments, d'ensembles immobiliers impactant la qualité de vie, le bien être et empêchant toute respiration, aération des espaces, une catastrophe dont on comprendra l'ampleur dans quelques années. Les élus, décideurs, responsables, avec la bénédiction des promoteurs immobiliers, nous imposent de tels aménagements, une telle transformation des villes mais les citoyens, habitants doivent être les souverains en la matière et décider de ce que doit devenir leur environnement, or il semble que leurs avis et préoccupations n'aient que peu d'incidence sur les choix des responsables, ces derniers décidant pour eux ce qui est bon ou pas. La bétonisation à tout-va a vécu, elle est une aberration et va à l'encontre de la ville \"verte\", il faut protéger, sanctuariser, favoriser les espaces verts restants et les emménager intelligemment et équitablement, donc ne pas partir du postulat qu'il faut sans cesse bâtir et construire, la vitalité d'une ville ne dépend pas que de ses critères comme le pensent nombre d'élus obsédés par l'idée du toujours plus grand, plus bâtit, plus nombreux. Il faut imposer un quota, un pourcentage de constructions de bâtiments individuels dans chaque commune lorsque des projets sont envisagés et non faire du tout collectif et également imposer aux constructeurs-promoteurs la création d'espaces verts et libres à tout nouveau projet et à leur frais pour pouvoir construire.\n\nConcernant LA JALLERE, le site du LAC a suffisamment fait les frais de la bétonisation à tout-va en devenant une nouvelle banlieue où l'espace se restreint de plus en plus et est étouffant. Il faut donc préserver le \"vert\" qui reste, ne pas sacrifier bêtement, mécaniquement, idéologiquement les espaces naturels, c'est cela la modernité et le progrès. Une ville verte se n'est pas simplement avoir des îlots de verdure et de tranquillité ici et là (parcs, jardins etc...) c'est également ne pas l'écraser et la noyer sous une masse de constructions qui ne fait perpétuer les problèmes et les tares du système. Ça les élus et autres responsables ont du mal à l'admettre et le comprendre. Laissez respirer les villes, donc les hommes, les habitants, c'est une démarche bien plus vertueuse et bénéfique que de construire pour construire, sans fin, sans limite. Et surtout que l'avis des citoyens prime sur les envies, ambitions, intérêts de certains, ne dit on pas que le souverain est le peuple ? Cela s'applique aussi au local."]

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+["Bordeaux et ses environs sont noyés depuis quelques années sous un flot de constructions tout azimut, une bétonisation sans fin qui rend les communes méconnaissables et oppressantes, de grands conglomérats de bâtiments, d'ensembles immobiliers impactant la qualité de vie, le bien être et empêchant toute respiration, aération des espaces, une catastrophe dont on comprendra l'ampleur dans quelques années. Les élus, décideurs, responsables, avec la bénédiction des promoteurs immobiliers, nous imposent de tels aménagements, une telle transformation des villes mais les citoyens, habitants doivent être les souverains en la matière et décider de ce que doit devenir leur environnement, or il semble que leurs avis et préoccupations n'aient que peu d'incidence sur les choix des responsables, ces derniers décidant pour eux ce qui est bon ou pas. La bétonisation à tout-va a vécu, elle est une aberration et va à l'encontre de la ville \"verte\", il faut protéger, sanctuariser, favoriser les espaces verts restants et les emménager intelligemment et équitablement, donc ne pas partir du postulat qu'il faut sans cesse bâtir et construire, la vitalité d'une ville ne dépend pas que de ses critères comme le pensent nombre d'élus obsédés par l'idée du toujours plus grand, plus bâtit, plus nombreux. Il faut imposer un quota, un pourcentage de constructions de bâtiments individuels dans chaque commune lorsque des projets sont envisagés et non faire du tout collectif et également imposer aux constructeurs-promoteurs la création d'espaces verts et libres à tout nouveau projet et à leur frais pour pouvoir construire.\n\nConcernant LA JALLERE, le site du LAC a suffisamment fait les frais de la bétonisation à tout-va en devenant une nouvelle banlieue où l'espace se restreint de plus en plus et est étouffant. Il faut donc préserver le \"vert\" qui reste, ne pas sacrifier bêtement, mécaniquement, idéologiquement les espaces naturels, c'est cela la modernité et le progrès. Une ville verte se n'est pas simplement avoir des îlots de verdure et de tranquillité ici et là (parcs, jardins etc...) c'est également ne pas l'écraser et la noyer sous une masse de constructions qui ne fait perpétuer les problèmes et les tares du système. Ça les élus et autres responsables ont du mal à l'admettre et le comprendre. Laissez respirer les villes, donc les hommes, les habitants, c'est une démarche bien plus vertueuse et bénéfique que de construire pour construire, sans fin, sans limite. Et surtout que l'avis des citoyens prime sur les envies, ambitions, intérêts de certains, ne dit on pas que le souverain est le peuple ? Cela s'applique aussi au local."]

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Version créée le 02/04/2019 12:54