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Changements sur "Un débat public jeudi 8"
Titre (Français)
- +Un débat public jeudi 8
Corps du texte (Français)
- +Un débat public jeudi 8 décembre agrémenté de postures municipales consternantes...et révélatrices ! Le mépris pour la concertation a été acté de façon théâtrale par la manière a tenté de s'approprier cette réunion, après être arrivé en retard et s'installé dans les premiers rangs, sans aller jusqu'à la tribune, tout de même. Prise de paroles logorrhéiques, comme à l'accoutumée, généralités à côté du sujet alors abordé, etc.. Et après d'autres interventions, départ tout aussi théâtral pour éviter de répondre à des questions précises. Consternant. Mais un adjoint, après son départ, a "mangé le morceau" ! Je cite (de mémoire) le contenu de son intervention : " la ZAC (et la construction des écoles du côté nord du trottoir de la rue Lestage, c'est pour obtenir des fonds, vous ne comprenez rien, cela permettra à la ville de s'équiper sans avoir à payer tout elle-même" etc., etc.
- +Que l'on comprenne bien cet "aveu" : pour du fric, on sacrifie les écoliers, pour justifier une création de classes nouvelles à l'économie, on prétend que le nombre de personnes par foyer restera à 2 personnes, comme aujourd'hui, que donc il sera facile d'absorber un petit excédent d'élèves. Tout l'enjeu est là : il faut vendre les meilleurs terrains (publics et bâtis) aux promoteurs pour obtenir un financement intéressant.
- +Et le bilan de l'étude d'impact reprend à son compte ces inepties, ces mensonges. On n'y "voit" pas les nouveaux habitants, les nouveaux écoliers, les nouvelles voitures et la croissance absolument nécessaire de l'offre de services publics pour une population qui atteindra 30 000 habitants si l'on ajoute à la ZAC le hors-ZAC d'une importance à peu près équivalente en termes de logements, d'écoliers, de voitures, etc.
- +Mais on vous dit que tout va bien "on gère, ne vous inquiétez pas" alors qu'on se précipite avec un aveuglement revendiqué vers une destruction des équilibres qui rendent si agréable la vie dans notre commune. Est-ce ce que nous voulons ? Certes pas ! Alors, empêchons ce mauvais coup asséné avec des motivations douteuses.
- +
- +A suivre
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