Dernière ligne droite avant la création de la ZAC centre-ville de Gradignan (participation #3)

Projet

Changements sur "Association « Gradignan la"

Sélectionner le mode de vue :

Mode d'affichage HTML :

Titre

+{"fr"=>"Association « Gradignan la"}

Corps du texte

+["Association « Gradignan la ZAC Autrement » le 22 décembre 2016\n\n\nNotre association a étudié l'étude d'impact du projet de ZAC « Gradignan coeur(s) de ville » disponible depuis le 24 novembre dernier. Celle-ci, dans sa forme et dans son contenu, nous conduit à souligner un nombre significatif de lacunes, omissions, absences d'informations pourtant obligatoires qui en rendent les conclusions inacceptables et mensongères, viciant l'avis de l'autorité administrative de l'Etat compétente en matière d'environnement.\n\nNos constatations sont les suivantes :\n\n - L'étude souligne que le projet de ZAC est incompatible avec le PLU précédent. Or, à \tce jour (23 décembre), le nouveau PLU 3.1 n'est pas adopté et les possibilités de \trecours ne peuvent être écartées.\n\nDes informations essentielles font défaut, ce qui fausse totalement la lecture que l'on peut faire du projet. Ceci constitue une cause de nullité pour ce rapport. Ainsi, la qualité des experts n'est pas précisée, des informations relatives au plan de financement du projet, au plan de circulation et au stationnement, aux caractéristiques des bâtiments devant être édifiés sont totalement absentes.\n\nL'élargissement opportuniste du concept de centre ville à un quartier n'en faisant pas partie (la Cité Jardin), a pour but évident d'y concentrer l'essentiel du logement social afin de permettre l'édification de logements de meilleur standing au centre ville (zone située derrière l'église de Gradignan) sans que cela ne suscite aucun commentaire particulier.\n\nLa destruction de l'ensemble des équipements publics du centre-ville (l'école primaire de 16 classes, les deux écoles maternelles de 8 classes au total, la salle de sports, la salle polyvalente de l'ancienne bibliothèque, l'ancienne maison de retraite médicalisée publique, l'EPAJG du centre-ville n'est nulle part évoquée, ce qui porte une atteinte fondamentale à la démocratie et à l'équité sociale dans une commune.\n\nLa dissociation prévue de ces équipements, contrairement à la logique qui avait prévalu de les rassembler en un seul lieu, créant ainsi des proximités pédagogiquement et socialement positives, n'est elle non plus pas relevée.\n\nLa suppression induite par le projet des espaces boisés classés (EBC) est légèrement abordée et faussement traitée. Par ailleurs, en ce qui concerne les espaces verts, Il n'est nulle par fait mention de la quasi-disparition du square Roumégoux au profit d'un immeuble pilote à construire au ras du trottoir. Et ceci n'est qu'un exemple.\n\nIl est étonnant que, face aux déclarations de la Mairie de Gradignan qui affirme à la fois vouloir des logements de 4, 5 ou 6 pièces en plus des 1, 2 et 3 et estime l'augmentation de population à 2000 personnes (2 personnes par logement !), on ne trouve pas trace d'une approche plus réaliste des conséquences démographiques de ce souhait d'un nombre plus important de logements de grande taille.\n\nIl n'apparaît aucune estimation des pertes de places de parking rendues inévitables par l'accroissement des surfaces bâties et du supermarché à Laurenzane par exemple ainsi que de la quasi-disparition des parkings publics de l'avenue Jean- Larrieu et de la rue Lestage comme de la diminution des places disponibles sur le parking de la place Roumégoux, dont l'étude d'impact a pourtant souligné l'intérêt stratégique pour les commerces du centre ville lorsqu'on comptabilise le taux de rotation de ces places.\n\nNotre Association conclut à la nécessaire déclaration de nullité et d'illégalité de cette étude d'impact, non conforme dans sa forme réglementaire et juridique et faisant apparaître des manques dirimants en matière d'informations pourtant obligatoires, selon les textes en vigueur. Elle exige l'abandon du projet actuel de ZAC, et sa remise à plat en vue de l'élaboration d'un nouveau projet, ouverte à une participation citoyenne réelle, jusqu'alors bafouée. \n\nEn effet, si la création d'une ZAC est une démarche favorable à la maîtrise du développement urbain, le projet auquel nous sommes confrontés a pris une voie radicalement inverse et ce, « dans le dos » des Gradignanais, qui, par exemple, pensent que la hauteur des immeubles doit être limitée à R+3 comme notre Association « Gradignan, la ZAC Autrement » l'a réclamé lors de l'enquête publique sur le PLU3.1\n\n\n\n\n\n"]

+["Association « Gradignan la ZAC Autrement » le 22 décembre 2016\n\n\nNotre association a étudié l'étude d'impact du projet de ZAC « Gradignan coeur(s) de ville » disponible depuis le 24 novembre dernier. Celle-ci, dans sa forme et dans son contenu, nous conduit à souligner un nombre significatif de lacunes, omissions, absences d'informations pourtant obligatoires qui en rendent les conclusions inacceptables et mensongères, viciant l'avis de l'autorité administrative de l'Etat compétente en matière d'environnement.\n\nNos constatations sont les suivantes :\n\n - L'étude souligne que le projet de ZAC est incompatible avec le PLU précédent. Or, à \tce jour (23 décembre), le nouveau PLU 3.1 n'est pas adopté et les possibilités de \trecours ne peuvent être écartées.\n\nDes informations essentielles font défaut, ce qui fausse totalement la lecture que l'on peut faire du projet. Ceci constitue une cause de nullité pour ce rapport. Ainsi, la qualité des experts n'est pas précisée, des informations relatives au plan de financement du projet, au plan de circulation et au stationnement, aux caractéristiques des bâtiments devant être édifiés sont totalement absentes.\n\nL'élargissement opportuniste du concept de centre ville à un quartier n'en faisant pas partie (la Cité Jardin), a pour but évident d'y concentrer l'essentiel du logement social afin de permettre l'édification de logements de meilleur standing au centre ville (zone située derrière l'église de Gradignan) sans que cela ne suscite aucun commentaire particulier.\n\nLa destruction de l'ensemble des équipements publics du centre-ville (l'école primaire de 16 classes, les deux écoles maternelles de 8 classes au total, la salle de sports, la salle polyvalente de l'ancienne bibliothèque, l'ancienne maison de retraite médicalisée publique, l'EPAJG du centre-ville n'est nulle part évoquée, ce qui porte une atteinte fondamentale à la démocratie et à l'équité sociale dans une commune.\n\nLa dissociation prévue de ces équipements, contrairement à la logique qui avait prévalu de les rassembler en un seul lieu, créant ainsi des proximités pédagogiquement et socialement positives, n'est elle non plus pas relevée.\n\nLa suppression induite par le projet des espaces boisés classés (EBC) est légèrement abordée et faussement traitée. Par ailleurs, en ce qui concerne les espaces verts, Il n'est nulle par fait mention de la quasi-disparition du square Roumégoux au profit d'un immeuble pilote à construire au ras du trottoir. Et ceci n'est qu'un exemple.\n\nIl est étonnant que, face aux déclarations de la Mairie de Gradignan qui affirme à la fois vouloir des logements de 4, 5 ou 6 pièces en plus des 1, 2 et 3 et estime l'augmentation de population à 2000 personnes (2 personnes par logement !), on ne trouve pas trace d'une approche plus réaliste des conséquences démographiques de ce souhait d'un nombre plus important de logements de grande taille.\n\nIl n'apparaît aucune estimation des pertes de places de parking rendues inévitables par l'accroissement des surfaces bâties et du supermarché à Laurenzane par exemple ainsi que de la quasi-disparition des parkings publics de l'avenue Jean- Larrieu et de la rue Lestage comme de la diminution des places disponibles sur le parking de la place Roumégoux, dont l'étude d'impact a pourtant souligné l'intérêt stratégique pour les commerces du centre ville lorsqu'on comptabilise le taux de rotation de ces places.\n\nNotre Association conclut à la nécessaire déclaration de nullité et d'illégalité de cette étude d'impact, non conforme dans sa forme réglementaire et juridique et faisant apparaître des manques dirimants en matière d'informations pourtant obligatoires, selon les textes en vigueur. Elle exige l'abandon du projet actuel de ZAC, et sa remise à plat en vue de l'élaboration d'un nouveau projet, ouverte à une participation citoyenne réelle, jusqu'alors bafouée. \n\nEn effet, si la création d'une ZAC est une démarche favorable à la maîtrise du développement urbain, le projet auquel nous sommes confrontés a pris une voie radicalement inverse et ce, « dans le dos » des Gradignanais, qui, par exemple, pensent que la hauteur des immeubles doit être limitée à R+3 comme notre Association « Gradignan, la ZAC Autrement » l'a réclamé lors de l'enquête publique sur le PLU3.1\n\n\n\n\n\n"]

Suppressions

Ajouts

+["Association « Gradignan la ZAC Autrement » le 22 décembre 2016\n\n\nNotre association a étudié l'étude d'impact du projet de ZAC « Gradignan coeur(s) de ville » disponible depuis le 24 novembre dernier. Celle-ci, dans sa forme et dans son contenu, nous conduit à souligner un nombre significatif de lacunes, omissions, absences d'informations pourtant obligatoires qui en rendent les conclusions inacceptables et mensongères, viciant l'avis de l'autorité administrative de l'Etat compétente en matière d'environnement.\n\nNos constatations sont les suivantes :\n\n - L'étude souligne que le projet de ZAC est incompatible avec le PLU précédent. Or, à \tce jour (23 décembre), le nouveau PLU 3.1 n'est pas adopté et les possibilités de \trecours ne peuvent être écartées.\n\nDes informations essentielles font défaut, ce qui fausse totalement la lecture que l'on peut faire du projet. Ceci constitue une cause de nullité pour ce rapport. Ainsi, la qualité des experts n'est pas précisée, des informations relatives au plan de financement du projet, au plan de circulation et au stationnement, aux caractéristiques des bâtiments devant être édifiés sont totalement absentes.\n\nL'élargissement opportuniste du concept de centre ville à un quartier n'en faisant pas partie (la Cité Jardin), a pour but évident d'y concentrer l'essentiel du logement social afin de permettre l'édification de logements de meilleur standing au centre ville (zone située derrière l'église de Gradignan) sans que cela ne suscite aucun commentaire particulier.\n\nLa destruction de l'ensemble des équipements publics du centre-ville (l'école primaire de 16 classes, les deux écoles maternelles de 8 classes au total, la salle de sports, la salle polyvalente de l'ancienne bibliothèque, l'ancienne maison de retraite médicalisée publique, l'EPAJG du centre-ville n'est nulle part évoquée, ce qui porte une atteinte fondamentale à la démocratie et à l'équité sociale dans une commune.\n\nLa dissociation prévue de ces équipements, contrairement à la logique qui avait prévalu de les rassembler en un seul lieu, créant ainsi des proximités pédagogiquement et socialement positives, n'est elle non plus pas relevée.\n\nLa suppression induite par le projet des espaces boisés classés (EBC) est légèrement abordée et faussement traitée. Par ailleurs, en ce qui concerne les espaces verts, Il n'est nulle par fait mention de la quasi-disparition du square Roumégoux au profit d'un immeuble pilote à construire au ras du trottoir. Et ceci n'est qu'un exemple.\n\nIl est étonnant que, face aux déclarations de la Mairie de Gradignan qui affirme à la fois vouloir des logements de 4, 5 ou 6 pièces en plus des 1, 2 et 3 et estime l'augmentation de population à 2000 personnes (2 personnes par logement !), on ne trouve pas trace d'une approche plus réaliste des conséquences démographiques de ce souhait d'un nombre plus important de logements de grande taille.\n\nIl n'apparaît aucune estimation des pertes de places de parking rendues inévitables par l'accroissement des surfaces bâties et du supermarché à Laurenzane par exemple ainsi que de la quasi-disparition des parkings publics de l'avenue Jean- Larrieu et de la rue Lestage comme de la diminution des places disponibles sur le parking de la place Roumégoux, dont l'étude d'impact a pourtant souligné l'intérêt stratégique pour les commerces du centre ville lorsqu'on comptabilise le taux de rotation de ces places.\n\nNotre Association conclut à la nécessaire déclaration de nullité et d'illégalité de cette étude d'impact, non conforme dans sa forme réglementaire et juridique et faisant apparaître des manques dirimants en matière d'informations pourtant obligatoires, selon les textes en vigueur. Elle exige l'abandon du projet actuel de ZAC, et sa remise à plat en vue de l'élaboration d'un nouveau projet, ouverte à une participation citoyenne réelle, jusqu'alors bafouée. \n\nEn effet, si la création d'une ZAC est une démarche favorable à la maîtrise du développement urbain, le projet auquel nous sommes confrontés a pris une voie radicalement inverse et ce, « dans le dos » des Gradignanais, qui, par exemple, pensent que la hauteur des immeubles doit être limitée à R+3 comme notre Association « Gradignan, la ZAC Autrement » l'a réclamé lors de l'enquête publique sur le PLU3.1\n\n\n\n\n\n"]

Suppressions

Ajouts

+["Association « Gradignan la ZAC Autrement » le 22 décembre 2016\n\n\nNotre association a étudié l'étude d'impact du projet de ZAC « Gradignan coeur(s) de ville » disponible depuis le 24 novembre dernier. Celle-ci, dans sa forme et dans son contenu, nous conduit à souligner un nombre significatif de lacunes, omissions, absences d'informations pourtant obligatoires qui en rendent les conclusions inacceptables et mensongères, viciant l'avis de l'autorité administrative de l'Etat compétente en matière d'environnement.\n\nNos constatations sont les suivantes :\n\n - L'étude souligne que le projet de ZAC est incompatible avec le PLU précédent. Or, à \tce jour (23 décembre), le nouveau PLU 3.1 n'est pas adopté et les possibilités de \trecours ne peuvent être écartées.\n\nDes informations essentielles font défaut, ce qui fausse totalement la lecture que l'on peut faire du projet. Ceci constitue une cause de nullité pour ce rapport. Ainsi, la qualité des experts n'est pas précisée, des informations relatives au plan de financement du projet, au plan de circulation et au stationnement, aux caractéristiques des bâtiments devant être édifiés sont totalement absentes.\n\nL'élargissement opportuniste du concept de centre ville à un quartier n'en faisant pas partie (la Cité Jardin), a pour but évident d'y concentrer l'essentiel du logement social afin de permettre l'édification de logements de meilleur standing au centre ville (zone située derrière l'église de Gradignan) sans que cela ne suscite aucun commentaire particulier.\n\nLa destruction de l'ensemble des équipements publics du centre-ville (l'école primaire de 16 classes, les deux écoles maternelles de 8 classes au total, la salle de sports, la salle polyvalente de l'ancienne bibliothèque, l'ancienne maison de retraite médicalisée publique, l'EPAJG du centre-ville n'est nulle part évoquée, ce qui porte une atteinte fondamentale à la démocratie et à l'équité sociale dans une commune.\n\nLa dissociation prévue de ces équipements, contrairement à la logique qui avait prévalu de les rassembler en un seul lieu, créant ainsi des proximités pédagogiquement et socialement positives, n'est elle non plus pas relevée.\n\nLa suppression induite par le projet des espaces boisés classés (EBC) est légèrement abordée et faussement traitée. Par ailleurs, en ce qui concerne les espaces verts, Il n'est nulle par fait mention de la quasi-disparition du square Roumégoux au profit d'un immeuble pilote à construire au ras du trottoir. Et ceci n'est qu'un exemple.\n\nIl est étonnant que, face aux déclarations de la Mairie de Gradignan qui affirme à la fois vouloir des logements de 4, 5 ou 6 pièces en plus des 1, 2 et 3 et estime l'augmentation de population à 2000 personnes (2 personnes par logement !), on ne trouve pas trace d'une approche plus réaliste des conséquences démographiques de ce souhait d'un nombre plus important de logements de grande taille.\n\nIl n'apparaît aucune estimation des pertes de places de parking rendues inévitables par l'accroissement des surfaces bâties et du supermarché à Laurenzane par exemple ainsi que de la quasi-disparition des parkings publics de l'avenue Jean- Larrieu et de la rue Lestage comme de la diminution des places disponibles sur le parking de la place Roumégoux, dont l'étude d'impact a pourtant souligné l'intérêt stratégique pour les commerces du centre ville lorsqu'on comptabilise le taux de rotation de ces places.\n\nNotre Association conclut à la nécessaire déclaration de nullité et d'illégalité de cette étude d'impact, non conforme dans sa forme réglementaire et juridique et faisant apparaître des manques dirimants en matière d'informations pourtant obligatoires, selon les textes en vigueur. Elle exige l'abandon du projet actuel de ZAC, et sa remise à plat en vue de l'élaboration d'un nouveau projet, ouverte à une participation citoyenne réelle, jusqu'alors bafouée. \n\nEn effet, si la création d'une ZAC est une démarche favorable à la maîtrise du développement urbain, le projet auquel nous sommes confrontés a pris une voie radicalement inverse et ce, « dans le dos » des Gradignanais, qui, par exemple, pensent que la hauteur des immeubles doit être limitée à R+3 comme notre Association « Gradignan, la ZAC Autrement » l'a réclamé lors de l'enquête publique sur le PLU3.1\n\n\n\n\n\n"]

Numéro de version 1 sur 1 Afficher toutes les versions Retourner à la proposition

Version créée le 24/12/2016 16:36