Révision du Plan local de l'urbanisme « PLU 3.1 » : concertation réglementée (novembre 2010 à février 2015)

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+["Les grands axes du projet de PLU présentés par la CUB paraissent cohérents par rapport aux enjeux de demain (accueillir de nouveaux habitants, préserver une trame verte et bleue, densifier, anticiper les flux et les futurs modes de circulations). Toutefois, ce schéma appliqué de façon trop générale peut être très dangereux!\n- Les transitions d'échelles sont à travailler plus finement entre les immeubles R+5 et le tissu pavillonnaire existant (RDC voire R+1). Aujourd'hui, les services d'urbanisme de Cenon ont laissé se construire des opérations immobilières au coeur de quartiers pavillonnaires autrefois charmants. Comment peut-on demander aux riverains d'accepter ces nouvelles constructions qui écrasent leurs habitations (problèmes de vis-à-vis, vues et lumière confisquées....)? Ce qui se passe à Cenon actuellement ne va pas dans le sens de l'intégration sociale! L'absence d'interface entre la maison individuelle et les opérations de logements gigantesques crée un vrai malaise auprès des habitants, d'autant que ces nouvelles opérations se font au détriment du cadre de vie existant. Pourtant, des échelles de constructions intermédiaires, des espaces publics (type places urbaines) pourraient contribuer à renforcer le lien social entre les habitants.\n- La question de la nature en ville à Cenon m'interpelle (info ou intox). Un espace vert est-il considéré comme un espace naturel? Je ne pense pas. Le fleurissement de l'avenue René Cassagne n'est pas cohérent avec la logique du grenelle de l'environnement. En effet, ces espaces verts ne sont pas favorables au développement d'une Biodiversité (utilisation de produits phytosanitaires, arrosage intensif, monopolisation régulière d'une équipe de jardiniers...). Ce type de fleurissement répond t-il toujours à une demande sociale? Il y a pourtant d'autres solutions d'embellissement de la ville, bien plus frugales et beaucoup plus respectueuses de l'environnement - d'autant que nous sommes à proximité du Coteau, véritable niche écologique. Les villes de Pessac et de Bègles ont réussi à relever le défi, alors pourquoi pas Cenon?\n- Une enquête sur l'état du patrimoine cenonais devrait être menée afin de planifier sa sauvegarde. Les arbres remarquables peuvent et doivent être protégés car ils sont, au même titre que la pierre, des témoins de notre histoire (et vivants de surcroît). L'état des EBC nécessite une vrai réflexion sur la question de leur déclassement ou du renforcement de leur protection....\n- La création d'une charte architecturale et environnementale devrait permettre d'aider les services de la ville dans l'instruction de leurs dossiers. La délivrance d'un Permis de Construire est une véritable responsabilité. C'est une clé essentielle pour la construction du cadre de vie et de l'identité cenonaise de demain!\n"]

+["Les grands axes du projet de PLU présentés par la CUB paraissent cohérents par rapport aux enjeux de demain (accueillir de nouveaux habitants, préserver une trame verte et bleue, densifier, anticiper les flux et les futurs modes de circulations). Toutefois, ce schéma appliqué de façon trop générale peut être très dangereux!\n- Les transitions d'échelles sont à travailler plus finement entre les immeubles R+5 et le tissu pavillonnaire existant (RDC voire R+1). Aujourd'hui, les services d'urbanisme de Cenon ont laissé se construire des opérations immobilières au coeur de quartiers pavillonnaires autrefois charmants. Comment peut-on demander aux riverains d'accepter ces nouvelles constructions qui écrasent leurs habitations (problèmes de vis-à-vis, vues et lumière confisquées....)? Ce qui se passe à Cenon actuellement ne va pas dans le sens de l'intégration sociale! L'absence d'interface entre la maison individuelle et les opérations de logements gigantesques crée un vrai malaise auprès des habitants, d'autant que ces nouvelles opérations se font au détriment du cadre de vie existant. Pourtant, des échelles de constructions intermédiaires, des espaces publics (type places urbaines) pourraient contribuer à renforcer le lien social entre les habitants.\n- La question de la nature en ville à Cenon m'interpelle (info ou intox). Un espace vert est-il considéré comme un espace naturel? Je ne pense pas. Le fleurissement de l'avenue René Cassagne n'est pas cohérent avec la logique du grenelle de l'environnement. En effet, ces espaces verts ne sont pas favorables au développement d'une Biodiversité (utilisation de produits phytosanitaires, arrosage intensif, monopolisation régulière d'une équipe de jardiniers...). Ce type de fleurissement répond t-il toujours à une demande sociale? Il y a pourtant d'autres solutions d'embellissement de la ville, bien plus frugales et beaucoup plus respectueuses de l'environnement - d'autant que nous sommes à proximité du Coteau, véritable niche écologique. Les villes de Pessac et de Bègles ont réussi à relever le défi, alors pourquoi pas Cenon?\n- Une enquête sur l'état du patrimoine cenonais devrait être menée afin de planifier sa sauvegarde. Les arbres remarquables peuvent et doivent être protégés car ils sont, au même titre que la pierre, des témoins de notre histoire (et vivants de surcroît). L'état des EBC nécessite une vrai réflexion sur la question de leur déclassement ou du renforcement de leur protection....\n- La création d'une charte architecturale et environnementale devrait permettre d'aider les services de la ville dans l'instruction de leurs dossiers. La délivrance d'un Permis de Construire est une véritable responsabilité. C'est une clé essentielle pour la construction du cadre de vie et de l'identité cenonaise de demain!\n"]

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+["Les grands axes du projet de PLU présentés par la CUB paraissent cohérents par rapport aux enjeux de demain (accueillir de nouveaux habitants, préserver une trame verte et bleue, densifier, anticiper les flux et les futurs modes de circulations). Toutefois, ce schéma appliqué de façon trop générale peut être très dangereux!\n- Les transitions d'échelles sont à travailler plus finement entre les immeubles R+5 et le tissu pavillonnaire existant (RDC voire R+1). Aujourd'hui, les services d'urbanisme de Cenon ont laissé se construire des opérations immobilières au coeur de quartiers pavillonnaires autrefois charmants. Comment peut-on demander aux riverains d'accepter ces nouvelles constructions qui écrasent leurs habitations (problèmes de vis-à-vis, vues et lumière confisquées....)? Ce qui se passe à Cenon actuellement ne va pas dans le sens de l'intégration sociale! L'absence d'interface entre la maison individuelle et les opérations de logements gigantesques crée un vrai malaise auprès des habitants, d'autant que ces nouvelles opérations se font au détriment du cadre de vie existant. Pourtant, des échelles de constructions intermédiaires, des espaces publics (type places urbaines) pourraient contribuer à renforcer le lien social entre les habitants.\n- La question de la nature en ville à Cenon m'interpelle (info ou intox). Un espace vert est-il considéré comme un espace naturel? Je ne pense pas. Le fleurissement de l'avenue René Cassagne n'est pas cohérent avec la logique du grenelle de l'environnement. En effet, ces espaces verts ne sont pas favorables au développement d'une Biodiversité (utilisation de produits phytosanitaires, arrosage intensif, monopolisation régulière d'une équipe de jardiniers...). Ce type de fleurissement répond t-il toujours à une demande sociale? Il y a pourtant d'autres solutions d'embellissement de la ville, bien plus frugales et beaucoup plus respectueuses de l'environnement - d'autant que nous sommes à proximité du Coteau, véritable niche écologique. Les villes de Pessac et de Bègles ont réussi à relever le défi, alors pourquoi pas Cenon?\n- Une enquête sur l'état du patrimoine cenonais devrait être menée afin de planifier sa sauvegarde. Les arbres remarquables peuvent et doivent être protégés car ils sont, au même titre que la pierre, des témoins de notre histoire (et vivants de surcroît). L'état des EBC nécessite une vrai réflexion sur la question de leur déclassement ou du renforcement de leur protection....\n- La création d'une charte architecturale et environnementale devrait permettre d'aider les services de la ville dans l'instruction de leurs dossiers. La délivrance d'un Permis de Construire est une véritable responsabilité. C'est une clé essentielle pour la construction du cadre de vie et de l'identité cenonaise de demain!\n"]

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+["Les grands axes du projet de PLU présentés par la CUB paraissent cohérents par rapport aux enjeux de demain (accueillir de nouveaux habitants, préserver une trame verte et bleue, densifier, anticiper les flux et les futurs modes de circulations). Toutefois, ce schéma appliqué de façon trop générale peut être très dangereux!\n- Les transitions d'échelles sont à travailler plus finement entre les immeubles R+5 et le tissu pavillonnaire existant (RDC voire R+1). Aujourd'hui, les services d'urbanisme de Cenon ont laissé se construire des opérations immobilières au coeur de quartiers pavillonnaires autrefois charmants. Comment peut-on demander aux riverains d'accepter ces nouvelles constructions qui écrasent leurs habitations (problèmes de vis-à-vis, vues et lumière confisquées....)? Ce qui se passe à Cenon actuellement ne va pas dans le sens de l'intégration sociale! L'absence d'interface entre la maison individuelle et les opérations de logements gigantesques crée un vrai malaise auprès des habitants, d'autant que ces nouvelles opérations se font au détriment du cadre de vie existant. Pourtant, des échelles de constructions intermédiaires, des espaces publics (type places urbaines) pourraient contribuer à renforcer le lien social entre les habitants.\n- La question de la nature en ville à Cenon m'interpelle (info ou intox). Un espace vert est-il considéré comme un espace naturel? Je ne pense pas. Le fleurissement de l'avenue René Cassagne n'est pas cohérent avec la logique du grenelle de l'environnement. En effet, ces espaces verts ne sont pas favorables au développement d'une Biodiversité (utilisation de produits phytosanitaires, arrosage intensif, monopolisation régulière d'une équipe de jardiniers...). Ce type de fleurissement répond t-il toujours à une demande sociale? Il y a pourtant d'autres solutions d'embellissement de la ville, bien plus frugales et beaucoup plus respectueuses de l'environnement - d'autant que nous sommes à proximité du Coteau, véritable niche écologique. Les villes de Pessac et de Bègles ont réussi à relever le défi, alors pourquoi pas Cenon?\n- Une enquête sur l'état du patrimoine cenonais devrait être menée afin de planifier sa sauvegarde. Les arbres remarquables peuvent et doivent être protégés car ils sont, au même titre que la pierre, des témoins de notre histoire (et vivants de surcroît). L'état des EBC nécessite une vrai réflexion sur la question de leur déclassement ou du renforcement de leur protection....\n- La création d'une charte architecturale et environnementale devrait permettre d'aider les services de la ville dans l'instruction de leurs dossiers. La délivrance d'un Permis de Construire est une véritable responsabilité. C'est une clé essentielle pour la construction du cadre de vie et de l'identité cenonaise de demain!\n"]

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Version créée le 11/04/2013 10:39