Bordeaux - Place Gambetta

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Changements sur "Réponse au cahier des charges de la ville pour la Place Gambetta"

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+{"fr"=>"Réponse au cahier des charges de la ville pour la Place Gambetta"}

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+["Trois grandes lignes pour la place Gambetta \n\n-\t1. Supprimer les marronniers qui confèrent le côté routier (rond-point) qui sont malades : plus une seule feuille dès le mois d’Août ; grosses branches qui cassent et peuvent tuer quelqu’un. Cf Journal Sud-Ouest.\n\n-\t2. Supprimer les arrêts de bus pour libérer la place du bruit, de la pollution visuelle et atmosphérique. Les bus encombrent la chaussée et les arrêts encombrent les trottoirs, ce qui empêche d’avoir des terrasses. À la Réunion SOS Place Gambetta et Keolis du 28 mai, il a été dit que les bus n’étaient responsables que de 18% d’émission de la pollution sonore qu’une personne a calculé en fonction du nombre de klaxons émis par les différents véhicules en services, (voitures, mobylettes, bus etc)…. \nMais la pollution sonore de cette place n’est pas plus due aux klaxons, qu’a l’accélération et à la décélération des innombrables bus qui en sont responsables.\nSupprimer les stations de bus permettraient d’être totalement piéton sur deux côtés de la place, côté Est, ainsi que devant l’ancien Virgin côté Sud. \nEt de faire 1 voie allée et une voie retour, côté Ouest, pour les bus et les voitures. Par ailleurs, la plus grande partie du flux serait dirigé, Rue du Château d’Eau, qui va passer à double sens.\nDe même, il faudrait piétonniser le début de la rue du Palais Gallien (de la Place Gambetta à la rue Rolland).\nDepuis la place, les voitures arrivant du cours d’Albret, ne devraient plus tourner, ainsi, sur la rue Judaïque. Donc, disparition totale de tout feu de signalisation sur la Place.\n\n-\t3. Restaurer les façades et unifier les devantures des commerces (ce qui n’est pas prévus au cahier des charges), pour avoir un effet d’ensemble fort. C’est un espace magistral et on n’en tient absolument pas compte, dans le cahier des charges. \n\n\nLa Mairie et Bordeaux Métropole ne cessent de comparer la Place Gambetta à la Place de la République à Paris ; or, elle n’est comparable, de par sa qualité architecturale, qu’aux places Vendôme (Paris) et Stanislas (Nancy).\n\nAucun arrêt de bus sur la place ! Ils doivent être disposés en périphérie de la place dans les rues et cours adjacents. \nEn arrivant directement sur la place en bus, on élimine l’effet de surprise et de mise en scène de l’architecture, si chères aux créateurs du XVIIIème s. \nLa Mairie ne cesse de répéter que Gambetta est une place de cours, pour justifier l’intensité de la circulation automobile… or au XVIIIème siècle, ces cours et ces places étaient des lieux de promenades, aérés, et n’étaient pas voués à être saturés.\n\nPages 18 et 20 : La place ne doit plus remplir de rôle de connexion urbaine (nœud routier) pour les bus, dont Keolis « veut rendre ses lettres de noblesse » (citation de monsieur Chapon).\nLe cahier des charges propose une continuité cyclable sur la place, c’est une erreur ! \nIl faut aussi déplacer la station Vcub en dehors de la place ! \nEt pas de services éco-mobiles sur la place pour ne pas rajouter des usages !\n\nLa place doit être laissée libre de toutes nuisances, de toutes contraintes, et usages autres que celui de permettre la rencontre, le lien social et des évènements d’envergure, dans un espace pacifié.\nL’esthétique seule de la place fera toute son attractivité. Il n’y a pas besoin de futilités, comme ils l’ont fait Places Saint Michel et Pey Berland ou Cours Victor Hugo.\n\nPage 20 et 21 :…On reste dans le même système qu’actuellement.\nC’est tout le concept de la place qui est à changer ! Arrêter d’en faire un rond-point et une gare routière.\nToutes les contraintes et tous les usages sont repris par le cahier des charges qui demande de les VALORISER ! Au lieu de les enlever carrément du projet !\n\nLe cahier des charges lui-même n’induit pas la valorisation de la place mais une valorisation du fonctionnement actuel de la place. Il reprend les mêmes fonctionnalités, et les met dans un ordre différent ! Rien ne change !\n\nC’est une restauration à minima ! C’est un projet qui manque totalement d’ambition utopique, dont Bordeaux était en son temps de gloire, à l’avant garde.\n\nPage 30 : Ne pas remettre de station de garage pour 2 roues motorisées. On les déplace aux entrées de la Place.\n\nPage 31 : Le cahier des charges prévoit l’aménagement d’une zone de rencontre ? \nC’est-à-dire ? N’est-ce pas déjà le rôle normal d’une place réussie ?\nC’est la place elle même qui doit être la zone de rencontre, il n’y a pas besoin dans créer une ! \nLe cahier des charges cherche à se substituer à la potentialité de la place, alors qu’il devrait impliquer les choses, plutôt que de chercher à vouloir les inventer. On raisonne à l’envers !\nSi le cahier des charges mentionne la création d’une zone de rencontre, c’est qu’il ne comprend pas que la zone de rencontre c’est la place !\n\nPour apaiser, la circulation automobile, il faut en dévier une partie : les voitures qui montent à Gambetta pour prendre la rue Judaïque et aller sur les boulevards, depuis rue Nancel Pénard, doivent être déviées rue du Château d’Eau, qui va devenir à double sens très bientôt. "]

+["Trois grandes lignes pour la place Gambetta \n\n-\t1. Supprimer les marronniers qui confèrent le côté routier (rond-point) qui sont malades : plus une seule feuille dès le mois d’Août ; grosses branches qui cassent et peuvent tuer quelqu’un. Cf Journal Sud-Ouest.\n\n-\t2. Supprimer les arrêts de bus pour libérer la place du bruit, de la pollution visuelle et atmosphérique. Les bus encombrent la chaussée et les arrêts encombrent les trottoirs, ce qui empêche d’avoir des terrasses. À la Réunion SOS Place Gambetta et Keolis du 28 mai, il a été dit que les bus n’étaient responsables que de 18% d’émission de la pollution sonore qu’une personne a calculé en fonction du nombre de klaxons émis par les différents véhicules en services, (voitures, mobylettes, bus etc)…. \nMais la pollution sonore de cette place n’est pas plus due aux klaxons, qu’a l’accélération et à la décélération des innombrables bus qui en sont responsables.\nSupprimer les stations de bus permettraient d’être totalement piéton sur deux côtés de la place, côté Est, ainsi que devant l’ancien Virgin côté Sud. \nEt de faire 1 voie allée et une voie retour, côté Ouest, pour les bus et les voitures. Par ailleurs, la plus grande partie du flux serait dirigé, Rue du Château d’Eau, qui va passer à double sens.\nDe même, il faudrait piétonniser le début de la rue du Palais Gallien (de la Place Gambetta à la rue Rolland).\nDepuis la place, les voitures arrivant du cours d’Albret, ne devraient plus tourner, ainsi, sur la rue Judaïque. Donc, disparition totale de tout feu de signalisation sur la Place.\n\n-\t3. Restaurer les façades et unifier les devantures des commerces (ce qui n’est pas prévus au cahier des charges), pour avoir un effet d’ensemble fort. C’est un espace magistral et on n’en tient absolument pas compte, dans le cahier des charges. \n\n\nLa Mairie et Bordeaux Métropole ne cessent de comparer la Place Gambetta à la Place de la République à Paris ; or, elle n’est comparable, de par sa qualité architecturale, qu’aux places Vendôme (Paris) et Stanislas (Nancy).\n\nAucun arrêt de bus sur la place ! Ils doivent être disposés en périphérie de la place dans les rues et cours adjacents. \nEn arrivant directement sur la place en bus, on élimine l’effet de surprise et de mise en scène de l’architecture, si chères aux créateurs du XVIIIème s. \nLa Mairie ne cesse de répéter que Gambetta est une place de cours, pour justifier l’intensité de la circulation automobile… or au XVIIIème siècle, ces cours et ces places étaient des lieux de promenades, aérés, et n’étaient pas voués à être saturés.\n\nPages 18 et 20 : La place ne doit plus remplir de rôle de connexion urbaine (nœud routier) pour les bus, dont Keolis « veut rendre ses lettres de noblesse » (citation de monsieur Chapon).\nLe cahier des charges propose une continuité cyclable sur la place, c’est une erreur ! \nIl faut aussi déplacer la station Vcub en dehors de la place ! \nEt pas de services éco-mobiles sur la place pour ne pas rajouter des usages !\n\nLa place doit être laissée libre de toutes nuisances, de toutes contraintes, et usages autres que celui de permettre la rencontre, le lien social et des évènements d’envergure, dans un espace pacifié.\nL’esthétique seule de la place fera toute son attractivité. Il n’y a pas besoin de futilités, comme ils l’ont fait Places Saint Michel et Pey Berland ou Cours Victor Hugo.\n\nPage 20 et 21 :…On reste dans le même système qu’actuellement.\nC’est tout le concept de la place qui est à changer ! Arrêter d’en faire un rond-point et une gare routière.\nToutes les contraintes et tous les usages sont repris par le cahier des charges qui demande de les VALORISER ! Au lieu de les enlever carrément du projet !\n\nLe cahier des charges lui-même n’induit pas la valorisation de la place mais une valorisation du fonctionnement actuel de la place. Il reprend les mêmes fonctionnalités, et les met dans un ordre différent ! Rien ne change !\n\nC’est une restauration à minima ! C’est un projet qui manque totalement d’ambition utopique, dont Bordeaux était en son temps de gloire, à l’avant garde.\n\nPage 30 : Ne pas remettre de station de garage pour 2 roues motorisées. On les déplace aux entrées de la Place.\n\nPage 31 : Le cahier des charges prévoit l’aménagement d’une zone de rencontre ? \nC’est-à-dire ? N’est-ce pas déjà le rôle normal d’une place réussie ?\nC’est la place elle même qui doit être la zone de rencontre, il n’y a pas besoin dans créer une ! \nLe cahier des charges cherche à se substituer à la potentialité de la place, alors qu’il devrait impliquer les choses, plutôt que de chercher à vouloir les inventer. On raisonne à l’envers !\nSi le cahier des charges mentionne la création d’une zone de rencontre, c’est qu’il ne comprend pas que la zone de rencontre c’est la place !\n\nPour apaiser, la circulation automobile, il faut en dévier une partie : les voitures qui montent à Gambetta pour prendre la rue Judaïque et aller sur les boulevards, depuis rue Nancel Pénard, doivent être déviées rue du Château d’Eau, qui va devenir à double sens très bientôt. "]

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+["Trois grandes lignes pour la place Gambetta \n\n-\t1. Supprimer les marronniers qui confèrent le côté routier (rond-point) qui sont malades : plus une seule feuille dès le mois d’Août ; grosses branches qui cassent et peuvent tuer quelqu’un. Cf Journal Sud-Ouest.\n\n-\t2. Supprimer les arrêts de bus pour libérer la place du bruit, de la pollution visuelle et atmosphérique. Les bus encombrent la chaussée et les arrêts encombrent les trottoirs, ce qui empêche d’avoir des terrasses. À la Réunion SOS Place Gambetta et Keolis du 28 mai, il a été dit que les bus n’étaient responsables que de 18% d’émission de la pollution sonore qu’une personne a calculé en fonction du nombre de klaxons émis par les différents véhicules en services, (voitures, mobylettes, bus etc)…. \nMais la pollution sonore de cette place n’est pas plus due aux klaxons, qu’a l’accélération et à la décélération des innombrables bus qui en sont responsables.\nSupprimer les stations de bus permettraient d’être totalement piéton sur deux côtés de la place, côté Est, ainsi que devant l’ancien Virgin côté Sud. \nEt de faire 1 voie allée et une voie retour, côté Ouest, pour les bus et les voitures. Par ailleurs, la plus grande partie du flux serait dirigé, Rue du Château d’Eau, qui va passer à double sens.\nDe même, il faudrait piétonniser le début de la rue du Palais Gallien (de la Place Gambetta à la rue Rolland).\nDepuis la place, les voitures arrivant du cours d’Albret, ne devraient plus tourner, ainsi, sur la rue Judaïque. Donc, disparition totale de tout feu de signalisation sur la Place.\n\n-\t3. Restaurer les façades et unifier les devantures des commerces (ce qui n’est pas prévus au cahier des charges), pour avoir un effet d’ensemble fort. C’est un espace magistral et on n’en tient absolument pas compte, dans le cahier des charges. \n\n\nLa Mairie et Bordeaux Métropole ne cessent de comparer la Place Gambetta à la Place de la République à Paris ; or, elle n’est comparable, de par sa qualité architecturale, qu’aux places Vendôme (Paris) et Stanislas (Nancy).\n\nAucun arrêt de bus sur la place ! Ils doivent être disposés en périphérie de la place dans les rues et cours adjacents. \nEn arrivant directement sur la place en bus, on élimine l’effet de surprise et de mise en scène de l’architecture, si chères aux créateurs du XVIIIème s. \nLa Mairie ne cesse de répéter que Gambetta est une place de cours, pour justifier l’intensité de la circulation automobile… or au XVIIIème siècle, ces cours et ces places étaient des lieux de promenades, aérés, et n’étaient pas voués à être saturés.\n\nPages 18 et 20 : La place ne doit plus remplir de rôle de connexion urbaine (nœud routier) pour les bus, dont Keolis « veut rendre ses lettres de noblesse » (citation de monsieur Chapon).\nLe cahier des charges propose une continuité cyclable sur la place, c’est une erreur ! \nIl faut aussi déplacer la station Vcub en dehors de la place ! \nEt pas de services éco-mobiles sur la place pour ne pas rajouter des usages !\n\nLa place doit être laissée libre de toutes nuisances, de toutes contraintes, et usages autres que celui de permettre la rencontre, le lien social et des évènements d’envergure, dans un espace pacifié.\nL’esthétique seule de la place fera toute son attractivité. Il n’y a pas besoin de futilités, comme ils l’ont fait Places Saint Michel et Pey Berland ou Cours Victor Hugo.\n\nPage 20 et 21 :…On reste dans le même système qu’actuellement.\nC’est tout le concept de la place qui est à changer ! Arrêter d’en faire un rond-point et une gare routière.\nToutes les contraintes et tous les usages sont repris par le cahier des charges qui demande de les VALORISER ! Au lieu de les enlever carrément du projet !\n\nLe cahier des charges lui-même n’induit pas la valorisation de la place mais une valorisation du fonctionnement actuel de la place. Il reprend les mêmes fonctionnalités, et les met dans un ordre différent ! Rien ne change !\n\nC’est une restauration à minima ! C’est un projet qui manque totalement d’ambition utopique, dont Bordeaux était en son temps de gloire, à l’avant garde.\n\nPage 30 : Ne pas remettre de station de garage pour 2 roues motorisées. On les déplace aux entrées de la Place.\n\nPage 31 : Le cahier des charges prévoit l’aménagement d’une zone de rencontre ? \nC’est-à-dire ? N’est-ce pas déjà le rôle normal d’une place réussie ?\nC’est la place elle même qui doit être la zone de rencontre, il n’y a pas besoin dans créer une ! \nLe cahier des charges cherche à se substituer à la potentialité de la place, alors qu’il devrait impliquer les choses, plutôt que de chercher à vouloir les inventer. On raisonne à l’envers !\nSi le cahier des charges mentionne la création d’une zone de rencontre, c’est qu’il ne comprend pas que la zone de rencontre c’est la place !\n\nPour apaiser, la circulation automobile, il faut en dévier une partie : les voitures qui montent à Gambetta pour prendre la rue Judaïque et aller sur les boulevards, depuis rue Nancel Pénard, doivent être déviées rue du Château d’Eau, qui va devenir à double sens très bientôt. "]

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+["Trois grandes lignes pour la place Gambetta \n\n-\t1. Supprimer les marronniers qui confèrent le côté routier (rond-point) qui sont malades : plus une seule feuille dès le mois d’Août ; grosses branches qui cassent et peuvent tuer quelqu’un. Cf Journal Sud-Ouest.\n\n-\t2. Supprimer les arrêts de bus pour libérer la place du bruit, de la pollution visuelle et atmosphérique. Les bus encombrent la chaussée et les arrêts encombrent les trottoirs, ce qui empêche d’avoir des terrasses. À la Réunion SOS Place Gambetta et Keolis du 28 mai, il a été dit que les bus n’étaient responsables que de 18% d’émission de la pollution sonore qu’une personne a calculé en fonction du nombre de klaxons émis par les différents véhicules en services, (voitures, mobylettes, bus etc)…. \nMais la pollution sonore de cette place n’est pas plus due aux klaxons, qu’a l’accélération et à la décélération des innombrables bus qui en sont responsables.\nSupprimer les stations de bus permettraient d’être totalement piéton sur deux côtés de la place, côté Est, ainsi que devant l’ancien Virgin côté Sud. \nEt de faire 1 voie allée et une voie retour, côté Ouest, pour les bus et les voitures. Par ailleurs, la plus grande partie du flux serait dirigé, Rue du Château d’Eau, qui va passer à double sens.\nDe même, il faudrait piétonniser le début de la rue du Palais Gallien (de la Place Gambetta à la rue Rolland).\nDepuis la place, les voitures arrivant du cours d’Albret, ne devraient plus tourner, ainsi, sur la rue Judaïque. Donc, disparition totale de tout feu de signalisation sur la Place.\n\n-\t3. Restaurer les façades et unifier les devantures des commerces (ce qui n’est pas prévus au cahier des charges), pour avoir un effet d’ensemble fort. C’est un espace magistral et on n’en tient absolument pas compte, dans le cahier des charges. \n\n\nLa Mairie et Bordeaux Métropole ne cessent de comparer la Place Gambetta à la Place de la République à Paris ; or, elle n’est comparable, de par sa qualité architecturale, qu’aux places Vendôme (Paris) et Stanislas (Nancy).\n\nAucun arrêt de bus sur la place ! Ils doivent être disposés en périphérie de la place dans les rues et cours adjacents. \nEn arrivant directement sur la place en bus, on élimine l’effet de surprise et de mise en scène de l’architecture, si chères aux créateurs du XVIIIème s. \nLa Mairie ne cesse de répéter que Gambetta est une place de cours, pour justifier l’intensité de la circulation automobile… or au XVIIIème siècle, ces cours et ces places étaient des lieux de promenades, aérés, et n’étaient pas voués à être saturés.\n\nPages 18 et 20 : La place ne doit plus remplir de rôle de connexion urbaine (nœud routier) pour les bus, dont Keolis « veut rendre ses lettres de noblesse » (citation de monsieur Chapon).\nLe cahier des charges propose une continuité cyclable sur la place, c’est une erreur ! \nIl faut aussi déplacer la station Vcub en dehors de la place ! \nEt pas de services éco-mobiles sur la place pour ne pas rajouter des usages !\n\nLa place doit être laissée libre de toutes nuisances, de toutes contraintes, et usages autres que celui de permettre la rencontre, le lien social et des évènements d’envergure, dans un espace pacifié.\nL’esthétique seule de la place fera toute son attractivité. Il n’y a pas besoin de futilités, comme ils l’ont fait Places Saint Michel et Pey Berland ou Cours Victor Hugo.\n\nPage 20 et 21 :…On reste dans le même système qu’actuellement.\nC’est tout le concept de la place qui est à changer ! Arrêter d’en faire un rond-point et une gare routière.\nToutes les contraintes et tous les usages sont repris par le cahier des charges qui demande de les VALORISER ! Au lieu de les enlever carrément du projet !\n\nLe cahier des charges lui-même n’induit pas la valorisation de la place mais une valorisation du fonctionnement actuel de la place. Il reprend les mêmes fonctionnalités, et les met dans un ordre différent ! Rien ne change !\n\nC’est une restauration à minima ! C’est un projet qui manque totalement d’ambition utopique, dont Bordeaux était en son temps de gloire, à l’avant garde.\n\nPage 30 : Ne pas remettre de station de garage pour 2 roues motorisées. On les déplace aux entrées de la Place.\n\nPage 31 : Le cahier des charges prévoit l’aménagement d’une zone de rencontre ? \nC’est-à-dire ? N’est-ce pas déjà le rôle normal d’une place réussie ?\nC’est la place elle même qui doit être la zone de rencontre, il n’y a pas besoin dans créer une ! \nLe cahier des charges cherche à se substituer à la potentialité de la place, alors qu’il devrait impliquer les choses, plutôt que de chercher à vouloir les inventer. On raisonne à l’envers !\nSi le cahier des charges mentionne la création d’une zone de rencontre, c’est qu’il ne comprend pas que la zone de rencontre c’est la place !\n\nPour apaiser, la circulation automobile, il faut en dévier une partie : les voitures qui montent à Gambetta pour prendre la rue Judaïque et aller sur les boulevards, depuis rue Nancel Pénard, doivent être déviées rue du Château d’Eau, qui va devenir à double sens très bientôt. "]

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Version créée le 26/06/2015 21:26