Ambarès - Pont du Lyonnais

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+["Pont du Lyonnais, des causes aux conséquences… \n…ou comment mettre la charrue avant les bœufs.\n\nDesserte locale ??... ou nouvel itinéraire pour les déplacements pendulaires d'une commune que la municipalité actuelle a fait le choix de transformer en ville dortoir affirmée... sinon assumée !\n\nDes faits et des chiffres nécessaires que les ambarésiens doivent connaitre :\n\n\tL’objectif de population défini sous les mandats d’Henri Houdebert maire jusqu’en 2004 était fixé à 15000 habitants à l’horizon 2015 – 2020 avec pour la suite une stabilisation autour de cette valeur. Ce chiffre devait être atteint essentiellement avec les logements à construire dans le cadre de la ZAC du Centre Bourg ceci afin de satisfaire aux obligations de la loi SRU en matière de logements sociaux et dans le but également de conforter le commerce local.\n\n\tEntre 2006 et 2009 plusieurs révisions du PLU sont intervenues à l’initiative de La Cub et de ses élus. Ces évolutions décidées par le Maire et les Conseillers Communautaires ont été approuvées par le Conseil Municipal. Sur la base du PLU 2009 une étude A’urba sur les capacités de constructibilité a estimé à près de 8000 (7937 exactement) les logements supplémentaires à construire sur Ambarès et Lagrave. Ceci devant être réalisé au prix d’une forte densification des secteurs pavillonnaires et conduisant logiquement à un doublement du nombre d’habitants.\n\n\tLe Président actuel de La Cub a annoncé, il y a quelques mois dans la presse régionale que c’est un objectif de 20000 habitants à court terme qui doit être retenu pour Ambarès et Lagrave. Et dans certaines études plus récentes c’est désormais un chiffre de 25000 habitants qui est envisagé.\n\n\tTout cela a été fait en affichant un « bel emballage communicant » orchestré par La Cub et la Ville… mais sans information précise de la population sur les enjeux et sans concertation véritable comme celà se faisait par le passé.\n\n\tFaut-il rappeler, qu’au final, c’est bien le Maire qui a la responsabilité de délivrer les permis de construire.\n\nAlors, depuis 2009, les Ambarésiens voient pousser un peu partout des opérations dont la densité est sans commune mesure avec l’habitat traditionnel des quartiers concernés. \nL’exemple, le plus criant étant l’opération - scandaleuse à plus d’un titre – en voie d’achèvement sur l’ancienne propriété viticole qui fait face à la gendarmerie. Les habitants constatent aujourd’hui les résultats et les conséquences sur le terrain. Et s’inquiètent de la voirie inadaptée dans ces secteurs, des infrastructures et équipements insuffisants, dépassés ou implantés de façon irréfléchie, des services à la population qui se dégradent d’année en année… et bien sûr de l’évolution de la fiscalité.\n\nAlors oui, ce projet risque fort de mettre en cause la tranquillité de quartiers que leurs habitants veulent, légitimement, protéger. Car, en effet, il ne vise pas seulement à améliorer la desserte du secteur mais à créer un sorte de bretelle de contournement impliquant la réalisation d’un nouvel ouvrage de franchissement de la voie ferrée. \n\nMais ce projet est surtout le révélateur d’une situation préoccupante pour le devenir à court terme et l’évolution de notre commune. Une situation dont le Maire, les Elus et La Cub doivent assumer la totale responsabilité en termes de proposition de solutions et de moyens à engager.\n \nJean-Marie Moins,\nElu municipal pendant 27 ans,\nMaire-adjoint jusqu’en juin 2004.\n"]

+["Pont du Lyonnais, des causes aux conséquences… \n…ou comment mettre la charrue avant les bœufs.\n\nDesserte locale ??... ou nouvel itinéraire pour les déplacements pendulaires d'une commune que la municipalité actuelle a fait le choix de transformer en ville dortoir affirmée... sinon assumée !\n\nDes faits et des chiffres nécessaires que les ambarésiens doivent connaitre :\n\n\tL’objectif de population défini sous les mandats d’Henri Houdebert maire jusqu’en 2004 était fixé à 15000 habitants à l’horizon 2015 – 2020 avec pour la suite une stabilisation autour de cette valeur. Ce chiffre devait être atteint essentiellement avec les logements à construire dans le cadre de la ZAC du Centre Bourg ceci afin de satisfaire aux obligations de la loi SRU en matière de logements sociaux et dans le but également de conforter le commerce local.\n\n\tEntre 2006 et 2009 plusieurs révisions du PLU sont intervenues à l’initiative de La Cub et de ses élus. Ces évolutions décidées par le Maire et les Conseillers Communautaires ont été approuvées par le Conseil Municipal. Sur la base du PLU 2009 une étude A’urba sur les capacités de constructibilité a estimé à près de 8000 (7937 exactement) les logements supplémentaires à construire sur Ambarès et Lagrave. Ceci devant être réalisé au prix d’une forte densification des secteurs pavillonnaires et conduisant logiquement à un doublement du nombre d’habitants.\n\n\tLe Président actuel de La Cub a annoncé, il y a quelques mois dans la presse régionale que c’est un objectif de 20000 habitants à court terme qui doit être retenu pour Ambarès et Lagrave. Et dans certaines études plus récentes c’est désormais un chiffre de 25000 habitants qui est envisagé.\n\n\tTout cela a été fait en affichant un « bel emballage communicant » orchestré par La Cub et la Ville… mais sans information précise de la population sur les enjeux et sans concertation véritable comme celà se faisait par le passé.\n\n\tFaut-il rappeler, qu’au final, c’est bien le Maire qui a la responsabilité de délivrer les permis de construire.\n\nAlors, depuis 2009, les Ambarésiens voient pousser un peu partout des opérations dont la densité est sans commune mesure avec l’habitat traditionnel des quartiers concernés. \nL’exemple, le plus criant étant l’opération - scandaleuse à plus d’un titre – en voie d’achèvement sur l’ancienne propriété viticole qui fait face à la gendarmerie. Les habitants constatent aujourd’hui les résultats et les conséquences sur le terrain. Et s’inquiètent de la voirie inadaptée dans ces secteurs, des infrastructures et équipements insuffisants, dépassés ou implantés de façon irréfléchie, des services à la population qui se dégradent d’année en année… et bien sûr de l’évolution de la fiscalité.\n\nAlors oui, ce projet risque fort de mettre en cause la tranquillité de quartiers que leurs habitants veulent, légitimement, protéger. Car, en effet, il ne vise pas seulement à améliorer la desserte du secteur mais à créer un sorte de bretelle de contournement impliquant la réalisation d’un nouvel ouvrage de franchissement de la voie ferrée. \n\nMais ce projet est surtout le révélateur d’une situation préoccupante pour le devenir à court terme et l’évolution de notre commune. Une situation dont le Maire, les Elus et La Cub doivent assumer la totale responsabilité en termes de proposition de solutions et de moyens à engager.\n \nJean-Marie Moins,\nElu municipal pendant 27 ans,\nMaire-adjoint jusqu’en juin 2004.\n"]

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+["Pont du Lyonnais, des causes aux conséquences… \n…ou comment mettre la charrue avant les bœufs.\n\nDesserte locale ??... ou nouvel itinéraire pour les déplacements pendulaires d'une commune que la municipalité actuelle a fait le choix de transformer en ville dortoir affirmée... sinon assumée !\n\nDes faits et des chiffres nécessaires que les ambarésiens doivent connaitre :\n\n\tL’objectif de population défini sous les mandats d’Henri Houdebert maire jusqu’en 2004 était fixé à 15000 habitants à l’horizon 2015 – 2020 avec pour la suite une stabilisation autour de cette valeur. Ce chiffre devait être atteint essentiellement avec les logements à construire dans le cadre de la ZAC du Centre Bourg ceci afin de satisfaire aux obligations de la loi SRU en matière de logements sociaux et dans le but également de conforter le commerce local.\n\n\tEntre 2006 et 2009 plusieurs révisions du PLU sont intervenues à l’initiative de La Cub et de ses élus. Ces évolutions décidées par le Maire et les Conseillers Communautaires ont été approuvées par le Conseil Municipal. Sur la base du PLU 2009 une étude A’urba sur les capacités de constructibilité a estimé à près de 8000 (7937 exactement) les logements supplémentaires à construire sur Ambarès et Lagrave. Ceci devant être réalisé au prix d’une forte densification des secteurs pavillonnaires et conduisant logiquement à un doublement du nombre d’habitants.\n\n\tLe Président actuel de La Cub a annoncé, il y a quelques mois dans la presse régionale que c’est un objectif de 20000 habitants à court terme qui doit être retenu pour Ambarès et Lagrave. Et dans certaines études plus récentes c’est désormais un chiffre de 25000 habitants qui est envisagé.\n\n\tTout cela a été fait en affichant un « bel emballage communicant » orchestré par La Cub et la Ville… mais sans information précise de la population sur les enjeux et sans concertation véritable comme celà se faisait par le passé.\n\n\tFaut-il rappeler, qu’au final, c’est bien le Maire qui a la responsabilité de délivrer les permis de construire.\n\nAlors, depuis 2009, les Ambarésiens voient pousser un peu partout des opérations dont la densité est sans commune mesure avec l’habitat traditionnel des quartiers concernés. \nL’exemple, le plus criant étant l’opération - scandaleuse à plus d’un titre – en voie d’achèvement sur l’ancienne propriété viticole qui fait face à la gendarmerie. Les habitants constatent aujourd’hui les résultats et les conséquences sur le terrain. Et s’inquiètent de la voirie inadaptée dans ces secteurs, des infrastructures et équipements insuffisants, dépassés ou implantés de façon irréfléchie, des services à la population qui se dégradent d’année en année… et bien sûr de l’évolution de la fiscalité.\n\nAlors oui, ce projet risque fort de mettre en cause la tranquillité de quartiers que leurs habitants veulent, légitimement, protéger. Car, en effet, il ne vise pas seulement à améliorer la desserte du secteur mais à créer un sorte de bretelle de contournement impliquant la réalisation d’un nouvel ouvrage de franchissement de la voie ferrée. \n\nMais ce projet est surtout le révélateur d’une situation préoccupante pour le devenir à court terme et l’évolution de notre commune. Une situation dont le Maire, les Elus et La Cub doivent assumer la totale responsabilité en termes de proposition de solutions et de moyens à engager.\n \nJean-Marie Moins,\nElu municipal pendant 27 ans,\nMaire-adjoint jusqu’en juin 2004.\n"]

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Version créée le 08/07/2012 09:31