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Nouveaux résidents sur

Avatar: Aud rey Aud rey

Nouveaux résidents sur Floirac, ce qui nous a attirés c’est sa verdure ! Ce qui fait sa force, à la Rive Droite, ce sont ses espaces verts encore préservés. Nous sommes sur le Bas Floirac, la voie Eymet, nous l’appelons « le chemin des écoliers ». C’est une chance aujourd’hui en ville, de pouvoir bénéficier d’une voie verte comme celle-ci qui permet un accès sécurisé à tout un groupement scolaire. Nous-mêmes y passons chaque jour, en vélo. Notre fille y a appris à faire du vélo à pédales ! Cet aménagement ne fera qu’apporter des nuisances et des désagréments. Votre photomontage nous montre des individus qui se déplacent paisiblement mais ce sera une toute autre réalité. Nuisances sonores, rodéos, pollution etc. Vous proposez de remplacer, sous nos fenêtres, nos arbres par des bus. Quand des écoliers n’avaient qu’un passage piéton à traverser (av. Lafargue), ils vont maintenant devoir redoubler de vigilance car ils seront amenés à longer toute une voie circulée par des véhicules, ou cohabiter étroitement avec les cyclistes. Quid de la voie parallèle, qui longe les potagers « sncf ». Aujourd’hui elle est empruntée par des piétons, des cyclistes et les voitures des quelques usagers des jardins. Qu’en sera-t-il ensuite ? Les voitures y seront-elles toujours tolérées ? La biodiversité dont bénéficie l’étang s’en verra chamboulée. Ça c’est une certitude. Pourquoi, pourquoi quand on a la chance d’avoir de l’espace, doit-on absolument le combler ? Respirer en ville, deviendra bientôt un luxe. Tout comme y vivre. Sur sa page Facebook, la Mairie se vante de la singularité des paysages de Floirac, de sa faune et de sa flore. Mais cela passe aussi par de simples espaces verts, confinés entre lieux publics et immeubles d’habitations, que nous savons respecter et préserver. Alors quand aujourd’hui se pose la question de ces espaces artificiels coincés entre deux chaussées, je ne comprends pas qu’une ville comme Floirac, propose encore ce genre d’aménagements. D’autant plus dans un secteur sensible. Ça ne ferait que déséquilibrer toute une vie de quartier. Bordeaux Métropole ne doit pas avoir tous les droits. Floirac doit se battre pour sauvegarder son confort de vie. A l’instant où je vous écris, je peux observer dans mon jardin, un pivert ! Je trouve ça incroyable de pouvoir jouir de cette nature en ville. Je veux continuer à observer des piverts dans mon jardin. Audrey
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