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L’industrie, l’agriculture,

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L’industrie, l’agriculture, les ménages via la pollution domestique, les feux de brousse et de forêts, sans oublier bien sûr les transports, et bien d’autres encore… Une liste non exhaustive qui démontre que les activités, notamment humaines, concours de manière significative à la pollution de notre belle planète. Partant du constat que nos vies sont extrêmement conditionnées par la société de consommation que nous nous sommes inventés et que pour rien au monde nous ne souhaiterions changer, les marchés financiers ainsi que les quelques belles et grandes familles ou personnages illustres qui finalement dirigent ce monde, ont encore de beaux jours devant eux. Bref, et nous les automobilistes, sommes-nous la seule et unique variable d’ajustement ? Les seules mesures visibles et palpables aux yeux du grand public touchent systématiquement le portefeuille des automobilistes. Payer oui, mais pourquoi ? Pour quelle transition ? A supposer que les automobilistes soient, de fait le trafic routier, le moyen de régler en grande partie nos problèmes de pollution atmosphérique, alors pourquoi : - Continuer en France à privilégier le transport par camion. Sur notre agglomération Bordelaise les poids lourds forment continuellement, aux heures de pointe, des colonnes de plusieurs kilomètres. Des tonnes de particules fines saturent notre atmosphère. Que faites-vous pour ces camions ?  Tant que nous n’aurons pas de grand contournement ou des bretelles de délestage, interdire la rocade aux heures de pointe les poids lourds, créer des zones de délestage (avant le péage côté autoroute) pour les stationner. On sait très bien que dans les bouchons les véhicules polluent énormément alors pourquoi continuer à créer de telles situations ? - L’aménagement urbain de la voirie. Nos centres sont faits de telle sorte que de plus en plus de rues voire d’avenues ne sont plus que sur une seule file au profit d’espaces aménagés pour les piétons, cyclistes, et autres… Si on ne veut plus de voiture dans les centres ou hypercentres alors que des aménagements soient fait tout autour de ces villes pour que les automobilistes puissent se déplacer sereinement. Ces aménagements sont probablement faits pour décourager les automobilistes mais ils ne fonctionnent pas. Nous sommes bien obligés de nous déplacer et de traverser parfois vos villes. Résultat, nous créons encore plus de pollution puisque nous concentrons tous les flux sur des artères qui n’ont plus la capacité à absorber ce trafic doublé d’une mixité entre voitures, camions, motos et bus qui, pour ces derniers, imposent leurs fréquences d’arrêts (plus de dégagement pour les bus aux arrêts = tous les véhicules s’arrêtent pour mieux repartir tous les 500 mètres et ainsi encore plus polluer). - La fiscalité des véhicules basée sur leur puissance, quelle belle fu…….. ! Les véhicules même les plus puissant aujourd’hui au regard des normes actuelles polluent moins qu’une Clio de 10 ans. Parce qu’elles sont mieux étudiées et parce qu’il y a le bioéthanol et parce qu’elles sont nettement moins nombreuses et roulent nettement moins. Sur ce point, ce n’est vraiment qu’une question d’argent mais qui ne règlera jamais la facture de la transition (que l’on ne voit toujours pas par ailleurs), alors pourquoi, quel intérêt ? Alors à titre personnel je ne pense pas que toutes ces mesurettes dont ces vignettes maintenant sont la solution à ces problèmes de fond. Elles ne font qu’accroitre le sentiment que tout est fait pour ponctionner quelques Euros par-ci et quelques Euros par-là au nom de la bonne cause et que dans le fond, on continue à nous faire marcher sur la tête.

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