Cette route est laissée à l

Cette route est laissée à l'abandon depuis plus de 20 ans. Il faut séparer pleinement les voies cyclistes et les voies véhicules car les bandes cyclables actuelles sont encore pire que s'il n'y avait rien. Elles créent : - Des conflits d'usage bien plus grands entre les modes de déplacements lents (vélo, trottinettes etc.), les modes de déplacements rapides (voiture, deux-roues motorisés) et les transports en communs. - Des goulot d'étranglements aux carrefours, donc des embouteillages - La voiture reste le moyen de déplacement le plus rapide, fiable et sécurisé. Dans un second temps, les constructions denses sont un problème majeur qui s'ajoute à l'état de la route. Les véhicules des nouveaux résidents sont garés en bord de route, sur les trottoirs et jusque dans les rue adjacentes. Ce qui créé : - Un manque de visibilité aux intersections - Un manque de place pour rentrer chez sois sereinement - Un manque de place de stationnement pour tous les autres usagers. - Un afflux majeur qui n'a jamais été anticipé Des voies de bus ne seraient malheureusement qu'une thrombose supplémentaire car la place manque, notamment en face du projet pharaonique et disproportionné de Bahia. Cette route étant l'axe principal d'accès par le sud (y compris pour les services de secours), elle devrait au contraire être libérée en créant, par exemple, des itinéraires bis et sécurisés pour les modes de déplacements lents, des stationnements adaptés ainsi que des voie de délestage aux intersections. La possibilité d'un passage sous-terrain tel qu'a la Barrière St Genès devrait être étudié pour la Barrière de Toulouse pour sécuriser les abords et fluidifier le trafic. Le pont de la May n'est pas en reste, ses accès sont devenus totalement sous dimensionnés proportionnellement à la densification démesurée du secteur. Il reste pourtant bel et bien l'accès principal par la sud, avec la rocade et les autoroutes, qu'on le veuille ou non.