Opération d’Aménagement d’Intérêt Métropolitain - Projet de parc naturel et agricole des Jalles : enquête publique

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+["Mon mari et moi sommes installés sur la vallée maraichére à Eysines en maraichage de puis mai 2000 et en agriculture biologique depuis 2009 en créant notre propre structure, d'abord en vendant en circuit conventionnel grande distribution et coopérative , depuis 2008 via les amaps de la métropole Bordelaise, en fournissant des magasin bio(Supercoop, Marché de Léopold), nous avons aussi installé un distributeur de légumes automatique de légume au relais tram de ravezie et faisons parti d'un magasin de producteur à Cissac.\n Etant élue présidente des jeunes agriculteurs du canton de Blanquefort de 220 jusqu'en 2006,menbre de lAssociation Technique Fruits et Légumes de Gironde ,élue chambre d'agriculture depuis 2020,j'ai pu participer à diverses réunions pour la mise en place du PPRI,PEANP et du parc des Jalles ,toujours à titre gracieux, persuadée que le dialogue est plus constructif qu'un refus total de communication face à une société qui bafoue totalement le droit des agriculteurs à exercer leurs travail sereinement.\n Même si la vallée maraichère ne représente que 5 % de la superficie total du parc des Jalles, il n'en reste pas moins que c'est une zone économique et un domaine privé.\n Nous avons déjà des conflits d'usages, des promeneurs qui prennent les agriculteurs et leurs salariés en photo sans leurs demander leurs autorisations, qui rentrent dans les hangars ou les champs pour montrer aux enfants comment travaillent des agriculteurs, qui insultent les agriculteurs lorsque ces derniers épandent des amendements ou un pulvérisateur attelé au tracteurs sans même chercher à discuter.\n D'autre encore prennent les chemins communaux ou ruraux qui traversent nos exploitations pour des pistes de courses en vélo, trottinette électrique ou moto sans se soucié des engins agricoles qui sortent des champs ou de nos salariés qui pourraient traverser le chemin en sortant de ces derniers.\n Nous subissons aussi des conflits d'usages du à l'urbanisation, promenade des chiens dans les champs, déchargement de détritus dans nos champs, dégradations de nos outils de travail(coup de couteaux dans les bâches des serres ou jeté de cailloux sur les serres en verres),vols de légumes sur champs.\n Dégâts de gibier sur les cultures du à un non prélèvements de ce derniers dans des zones non cultivées.\n Les enjeux de préservation d'espaces naturels et de loisirs ne doivent pas interférer sur l'activité économique de l'entreprise agricole.\n Nous ne sommes pas contre le fait d'ouvrir nos exploitations au grand public mais cela doit se faire en concertation et à des moments bien précis, encadrés et ponctuels(exemple raid des maraichers).\n Nous avons déjà proposé d'utiliser le cordon de le Jalles comme sentiers pédestre dans la zone maraîchère, pour éviter l'utilisation des chemins communaux et privés afin d'éviter une partie de ces conflits.\n La gestion de l'eau est primordial pour l'activité agricole, la vallée maraichère rappelons -le a été aménagée dans ce but il y a plusieurs siècles.\n Au fil des années la gestion de l'eau est retirée aux agriculteurs, exemple concret une fuite dans un tuyau alimentant une partie de la zone maraichère, il faut d'abord demander à bordeaux métropole qui renvoie au conseil général qui à fait les travaux en 1983 qui renvoie au service de l'eau qui ne réagit pas ,et pendant ce temps là l'eau ne coule pas à un débit normal en cas de forte chaleur cela aura un impact direct sur les cultures.\n L'entretien des fossés est important pour l écoulement de l'eau et la circulation , afin d'alimenter les cultures .\n Pourquoi ne pas créer une CUMA entre collectivité et agriculteur?\n Il est primordial que les acteurs agricoles participent à toutes les décisions prisent concernant leurs espaces de travail, de vie et de propriété.\n Il est tout aussi important que les agriculteurs soient prévenu systématiquement de tout ce qui se passe sur le territoire du parc des Jalles.\n Même si le PEANP est là pour ces demandent, le parc des Jalles sera l'image de toutes les actions de ce derniers.\n L e Parc des Jalles avec la vallée maraîchère ne pourra se faire dans un climat serein que siles élus de Bordeaux Métropole et les techniciens entendent et écoutent ce que les premiers concernés, les agriculteurs, vivent au quotidien.\nAurore Cessateur Sournac\nElue chambre d'agriculture Gironde\nReprésentant l'ATFL Gironde\n\n"]

+["Mon mari et moi sommes installés sur la vallée maraichére à Eysines en maraichage de puis mai 2000 et en agriculture biologique depuis 2009 en créant notre propre structure, d'abord en vendant en circuit conventionnel grande distribution et coopérative , depuis 2008 via les amaps de la métropole Bordelaise, en fournissant des magasin bio(Supercoop, Marché de Léopold), nous avons aussi installé un distributeur de légumes automatique de légume au relais tram de ravezie et faisons parti d'un magasin de producteur à Cissac.\n Etant élue présidente des jeunes agriculteurs du canton de Blanquefort de 220 jusqu'en 2006,menbre de lAssociation Technique Fruits et Légumes de Gironde ,élue chambre d'agriculture depuis 2020,j'ai pu participer à diverses réunions pour la mise en place du PPRI,PEANP et du parc des Jalles ,toujours à titre gracieux, persuadée que le dialogue est plus constructif qu'un refus total de communication face à une société qui bafoue totalement le droit des agriculteurs à exercer leurs travail sereinement.\n Même si la vallée maraichère ne représente que 5 % de la superficie total du parc des Jalles, il n'en reste pas moins que c'est une zone économique et un domaine privé.\n Nous avons déjà des conflits d'usages, des promeneurs qui prennent les agriculteurs et leurs salariés en photo sans leurs demander leurs autorisations, qui rentrent dans les hangars ou les champs pour montrer aux enfants comment travaillent des agriculteurs, qui insultent les agriculteurs lorsque ces derniers épandent des amendements ou un pulvérisateur attelé au tracteurs sans même chercher à discuter.\n D'autre encore prennent les chemins communaux ou ruraux qui traversent nos exploitations pour des pistes de courses en vélo, trottinette électrique ou moto sans se soucié des engins agricoles qui sortent des champs ou de nos salariés qui pourraient traverser le chemin en sortant de ces derniers.\n Nous subissons aussi des conflits d'usages du à l'urbanisation, promenade des chiens dans les champs, déchargement de détritus dans nos champs, dégradations de nos outils de travail(coup de couteaux dans les bâches des serres ou jeté de cailloux sur les serres en verres),vols de légumes sur champs.\n Dégâts de gibier sur les cultures du à un non prélèvements de ce derniers dans des zones non cultivées.\n Les enjeux de préservation d'espaces naturels et de loisirs ne doivent pas interférer sur l'activité économique de l'entreprise agricole.\n Nous ne sommes pas contre le fait d'ouvrir nos exploitations au grand public mais cela doit se faire en concertation et à des moments bien précis, encadrés et ponctuels(exemple raid des maraichers).\n Nous avons déjà proposé d'utiliser le cordon de le Jalles comme sentiers pédestre dans la zone maraîchère, pour éviter l'utilisation des chemins communaux et privés afin d'éviter une partie de ces conflits.\n La gestion de l'eau est primordial pour l'activité agricole, la vallée maraichère rappelons -le a été aménagée dans ce but il y a plusieurs siècles.\n Au fil des années la gestion de l'eau est retirée aux agriculteurs, exemple concret une fuite dans un tuyau alimentant une partie de la zone maraichère, il faut d'abord demander à bordeaux métropole qui renvoie au conseil général qui à fait les travaux en 1983 qui renvoie au service de l'eau qui ne réagit pas ,et pendant ce temps là l'eau ne coule pas à un débit normal en cas de forte chaleur cela aura un impact direct sur les cultures.\n L'entretien des fossés est important pour l écoulement de l'eau et la circulation , afin d'alimenter les cultures .\n Pourquoi ne pas créer une CUMA entre collectivité et agriculteur?\n Il est primordial que les acteurs agricoles participent à toutes les décisions prisent concernant leurs espaces de travail, de vie et de propriété.\n Il est tout aussi important que les agriculteurs soient prévenu systématiquement de tout ce qui se passe sur le territoire du parc des Jalles.\n Même si le PEANP est là pour ces demandent, le parc des Jalles sera l'image de toutes les actions de ce derniers.\n L e Parc des Jalles avec la vallée maraîchère ne pourra se faire dans un climat serein que siles élus de Bordeaux Métropole et les techniciens entendent et écoutent ce que les premiers concernés, les agriculteurs, vivent au quotidien.\nAurore Cessateur Sournac\nElue chambre d'agriculture Gironde\nReprésentant l'ATFL Gironde\n\n"]

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+["Mon mari et moi sommes installés sur la vallée maraichére à Eysines en maraichage de puis mai 2000 et en agriculture biologique depuis 2009 en créant notre propre structure, d'abord en vendant en circuit conventionnel grande distribution et coopérative , depuis 2008 via les amaps de la métropole Bordelaise, en fournissant des magasin bio(Supercoop, Marché de Léopold), nous avons aussi installé un distributeur de légumes automatique de légume au relais tram de ravezie et faisons parti d'un magasin de producteur à Cissac.\n Etant élue présidente des jeunes agriculteurs du canton de Blanquefort de 220 jusqu'en 2006,menbre de lAssociation Technique Fruits et Légumes de Gironde ,élue chambre d'agriculture depuis 2020,j'ai pu participer à diverses réunions pour la mise en place du PPRI,PEANP et du parc des Jalles ,toujours à titre gracieux, persuadée que le dialogue est plus constructif qu'un refus total de communication face à une société qui bafoue totalement le droit des agriculteurs à exercer leurs travail sereinement.\n Même si la vallée maraichère ne représente que 5 % de la superficie total du parc des Jalles, il n'en reste pas moins que c'est une zone économique et un domaine privé.\n Nous avons déjà des conflits d'usages, des promeneurs qui prennent les agriculteurs et leurs salariés en photo sans leurs demander leurs autorisations, qui rentrent dans les hangars ou les champs pour montrer aux enfants comment travaillent des agriculteurs, qui insultent les agriculteurs lorsque ces derniers épandent des amendements ou un pulvérisateur attelé au tracteurs sans même chercher à discuter.\n D'autre encore prennent les chemins communaux ou ruraux qui traversent nos exploitations pour des pistes de courses en vélo, trottinette électrique ou moto sans se soucié des engins agricoles qui sortent des champs ou de nos salariés qui pourraient traverser le chemin en sortant de ces derniers.\n Nous subissons aussi des conflits d'usages du à l'urbanisation, promenade des chiens dans les champs, déchargement de détritus dans nos champs, dégradations de nos outils de travail(coup de couteaux dans les bâches des serres ou jeté de cailloux sur les serres en verres),vols de légumes sur champs.\n Dégâts de gibier sur les cultures du à un non prélèvements de ce derniers dans des zones non cultivées.\n Les enjeux de préservation d'espaces naturels et de loisirs ne doivent pas interférer sur l'activité économique de l'entreprise agricole.\n Nous ne sommes pas contre le fait d'ouvrir nos exploitations au grand public mais cela doit se faire en concertation et à des moments bien précis, encadrés et ponctuels(exemple raid des maraichers).\n Nous avons déjà proposé d'utiliser le cordon de le Jalles comme sentiers pédestre dans la zone maraîchère, pour éviter l'utilisation des chemins communaux et privés afin d'éviter une partie de ces conflits.\n La gestion de l'eau est primordial pour l'activité agricole, la vallée maraichère rappelons -le a été aménagée dans ce but il y a plusieurs siècles.\n Au fil des années la gestion de l'eau est retirée aux agriculteurs, exemple concret une fuite dans un tuyau alimentant une partie de la zone maraichère, il faut d'abord demander à bordeaux métropole qui renvoie au conseil général qui à fait les travaux en 1983 qui renvoie au service de l'eau qui ne réagit pas ,et pendant ce temps là l'eau ne coule pas à un débit normal en cas de forte chaleur cela aura un impact direct sur les cultures.\n L'entretien des fossés est important pour l écoulement de l'eau et la circulation , afin d'alimenter les cultures .\n Pourquoi ne pas créer une CUMA entre collectivité et agriculteur?\n Il est primordial que les acteurs agricoles participent à toutes les décisions prisent concernant leurs espaces de travail, de vie et de propriété.\n Il est tout aussi important que les agriculteurs soient prévenu systématiquement de tout ce qui se passe sur le territoire du parc des Jalles.\n Même si le PEANP est là pour ces demandent, le parc des Jalles sera l'image de toutes les actions de ce derniers.\n L e Parc des Jalles avec la vallée maraîchère ne pourra se faire dans un climat serein que siles élus de Bordeaux Métropole et les techniciens entendent et écoutent ce que les premiers concernés, les agriculteurs, vivent au quotidien.\nAurore Cessateur Sournac\nElue chambre d'agriculture Gironde\nReprésentant l'ATFL Gironde\n\n"]

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Version créée le 01/07/2021 23:23