Les boulevards : exprimez-vous !

Projet

Changements sur "Bonjour,"

Sélectionner le mode de vue :

Mode d'affichage HTML :

Titre

+{"fr"=>"Bonjour,"}

Corps du texte

+["Bonjour,\nJe viens de lire le bilan intermédiaire de la concertation, l'élaboration de ce projet dure depuis 2019 soit 5 ans et est loin d'être en phase opérationnelle. vous y notez le nombre de voiture journalier, on pourrait souhaiter y ajouter les tonnes de CO2 générés par cet axe pour élargir l'angle de vue sur les conséquences en termes de bilan carbone des boulevards par exemple et aussi de santé publique de qualité de l'air avec la pollution générée par cet axe. Il me semble important de se projeter vers des modes de transports souhaitables plutôt que ceux existants aujourd'hui. Vous citez deux fois le même verbatim d'habitant en page 27 énonçant que les boulevards sont un axe majeur et qu'il est difficile d'imaginer que cela soit autrement. C'est un axe majeur principalement automobile mais il est tout à fait possible de l'imaginer autrement car faciliter les mobilités douces en séparant le vélo clairement des voitures mais aussi des bus (car pour tout cycliste habituel ce mode de partage n'est pas sécure ni en termes de sécurité physique ni en termes de santé : prendre des bouffées de gaz d’échappement en plein effort derrière un bus n'est pas acceptable). Copenhague a analysé le pourquoi du succès du vélo et constaté que les raisons d'utiliser son vélo quotidiennement ne sont ni écologiques, ni financières, ni liées à la santé mais liées à la commodité. Si les infrastructures n'étaient pas aussi développées, les cyclistes utiliseraient plutôt une voiture. Ainsi l'offre doit pré exister à la demande car plus les infrastructures existent plus elles sont utilisées et non l'inverse. Aussi, il est important de réfléchir d'abord au but à atteindre (une ville apaisée et moins polluée et donc à une offre de circulation douce sécure) avant de poser d'emblée inamovibilité de la voiture. Et donc de faire ce que l'on a toujours fait mais juste un peu mieux, plutôt que de promouvoir une réflexion ambitieuse qui peut paraitre aujourd'hui un peu utopique mais qui ne le sera peut être plus du tout demain. Une place limitée de la voiture sur une voie, avec une vitesse limitée à 30 et des radars pour inciter à la respecter, une belle place aux mobilités douces pour lever le frein de la dangerosité, et pourquoi pas une fermeture à la circulation tous les dimanches pour en faire une vraie promenade et inviter chacun à circuler autrement ce jour là et enclencher une prise d'habitude de mobilité alternative d'une part mais aussi à envisager les espaces publics autrement qu'avec la sempiternelle voiture polluante, encombrante, bruyante, ce mode de pensée ne peut se modifier qu'en changeant d'abord la place que l'on laisse à chacun dans les espaces publics: piétons (valides, en situation de handicap, âgés, enfants), mobilités douces en priorité puis résiduellement à la voiture et non l'inverse. Et pourquoi pas étendre la fermeture au samedi. De grandes villes, comme Barcelone, ont aussi des projets étonnants pour nous aujourd'hui de fermeture de quartiers à la circulation qui paraissent complètement évidents une fois réalisés lorsque les habitants goûtent à la satisfaction d'un quartier vert et apaisé. "]

+["Bonjour,\nJe viens de lire le bilan intermédiaire de la concertation, l'élaboration de ce projet dure depuis 2019 soit 5 ans et est loin d'être en phase opérationnelle. vous y notez le nombre de voiture journalier, on pourrait souhaiter y ajouter les tonnes de CO2 générés par cet axe pour élargir l'angle de vue sur les conséquences en termes de bilan carbone des boulevards par exemple et aussi de santé publique de qualité de l'air avec la pollution générée par cet axe. Il me semble important de se projeter vers des modes de transports souhaitables plutôt que ceux existants aujourd'hui. Vous citez deux fois le même verbatim d'habitant en page 27 énonçant que les boulevards sont un axe majeur et qu'il est difficile d'imaginer que cela soit autrement. C'est un axe majeur principalement automobile mais il est tout à fait possible de l'imaginer autrement car faciliter les mobilités douces en séparant le vélo clairement des voitures mais aussi des bus (car pour tout cycliste habituel ce mode de partage n'est pas sécure ni en termes de sécurité physique ni en termes de santé : prendre des bouffées de gaz d’échappement en plein effort derrière un bus n'est pas acceptable). Copenhague a analysé le pourquoi du succès du vélo et constaté que les raisons d'utiliser son vélo quotidiennement ne sont ni écologiques, ni financières, ni liées à la santé mais liées à la commodité. Si les infrastructures n'étaient pas aussi développées, les cyclistes utiliseraient plutôt une voiture. Ainsi l'offre doit pré exister à la demande car plus les infrastructures existent plus elles sont utilisées et non l'inverse. Aussi, il est important de réfléchir d'abord au but à atteindre (une ville apaisée et moins polluée et donc à une offre de circulation douce sécure) avant de poser d'emblée inamovibilité de la voiture. Et donc de faire ce que l'on a toujours fait mais juste un peu mieux, plutôt que de promouvoir une réflexion ambitieuse qui peut paraitre aujourd'hui un peu utopique mais qui ne le sera peut être plus du tout demain. Une place limitée de la voiture sur une voie, avec une vitesse limitée à 30 et des radars pour inciter à la respecter, une belle place aux mobilités douces pour lever le frein de la dangerosité, et pourquoi pas une fermeture à la circulation tous les dimanches pour en faire une vraie promenade et inviter chacun à circuler autrement ce jour là et enclencher une prise d'habitude de mobilité alternative d'une part mais aussi à envisager les espaces publics autrement qu'avec la sempiternelle voiture polluante, encombrante, bruyante, ce mode de pensée ne peut se modifier qu'en changeant d'abord la place que l'on laisse à chacun dans les espaces publics: piétons (valides, en situation de handicap, âgés, enfants), mobilités douces en priorité puis résiduellement à la voiture et non l'inverse. Et pourquoi pas étendre la fermeture au samedi. De grandes villes, comme Barcelone, ont aussi des projets étonnants pour nous aujourd'hui de fermeture de quartiers à la circulation qui paraissent complètement évidents une fois réalisés lorsque les habitants goûtent à la satisfaction d'un quartier vert et apaisé. "]

Suppressions

Ajouts

+["Bonjour,\nJe viens de lire le bilan intermédiaire de la concertation, l'élaboration de ce projet dure depuis 2019 soit 5 ans et est loin d'être en phase opérationnelle. vous y notez le nombre de voiture journalier, on pourrait souhaiter y ajouter les tonnes de CO2 générés par cet axe pour élargir l'angle de vue sur les conséquences en termes de bilan carbone des boulevards par exemple et aussi de santé publique de qualité de l'air avec la pollution générée par cet axe. Il me semble important de se projeter vers des modes de transports souhaitables plutôt que ceux existants aujourd'hui. Vous citez deux fois le même verbatim d'habitant en page 27 énonçant que les boulevards sont un axe majeur et qu'il est difficile d'imaginer que cela soit autrement. C'est un axe majeur principalement automobile mais il est tout à fait possible de l'imaginer autrement car faciliter les mobilités douces en séparant le vélo clairement des voitures mais aussi des bus (car pour tout cycliste habituel ce mode de partage n'est pas sécure ni en termes de sécurité physique ni en termes de santé : prendre des bouffées de gaz d’échappement en plein effort derrière un bus n'est pas acceptable). Copenhague a analysé le pourquoi du succès du vélo et constaté que les raisons d'utiliser son vélo quotidiennement ne sont ni écologiques, ni financières, ni liées à la santé mais liées à la commodité. Si les infrastructures n'étaient pas aussi développées, les cyclistes utiliseraient plutôt une voiture. Ainsi l'offre doit pré exister à la demande car plus les infrastructures existent plus elles sont utilisées et non l'inverse. Aussi, il est important de réfléchir d'abord au but à atteindre (une ville apaisée et moins polluée et donc à une offre de circulation douce sécure) avant de poser d'emblée inamovibilité de la voiture. Et donc de faire ce que l'on a toujours fait mais juste un peu mieux, plutôt que de promouvoir une réflexion ambitieuse qui peut paraitre aujourd'hui un peu utopique mais qui ne le sera peut être plus du tout demain. Une place limitée de la voiture sur une voie, avec une vitesse limitée à 30 et des radars pour inciter à la respecter, une belle place aux mobilités douces pour lever le frein de la dangerosité, et pourquoi pas une fermeture à la circulation tous les dimanches pour en faire une vraie promenade et inviter chacun à circuler autrement ce jour là et enclencher une prise d'habitude de mobilité alternative d'une part mais aussi à envisager les espaces publics autrement qu'avec la sempiternelle voiture polluante, encombrante, bruyante, ce mode de pensée ne peut se modifier qu'en changeant d'abord la place que l'on laisse à chacun dans les espaces publics: piétons (valides, en situation de handicap, âgés, enfants), mobilités douces en priorité puis résiduellement à la voiture et non l'inverse. Et pourquoi pas étendre la fermeture au samedi. De grandes villes, comme Barcelone, ont aussi des projets étonnants pour nous aujourd'hui de fermeture de quartiers à la circulation qui paraissent complètement évidents une fois réalisés lorsque les habitants goûtent à la satisfaction d'un quartier vert et apaisé. "]

Suppressions

Ajouts

+["Bonjour,\nJe viens de lire le bilan intermédiaire de la concertation, l'élaboration de ce projet dure depuis 2019 soit 5 ans et est loin d'être en phase opérationnelle. vous y notez le nombre de voiture journalier, on pourrait souhaiter y ajouter les tonnes de CO2 générés par cet axe pour élargir l'angle de vue sur les conséquences en termes de bilan carbone des boulevards par exemple et aussi de santé publique de qualité de l'air avec la pollution générée par cet axe. Il me semble important de se projeter vers des modes de transports souhaitables plutôt que ceux existants aujourd'hui. Vous citez deux fois le même verbatim d'habitant en page 27 énonçant que les boulevards sont un axe majeur et qu'il est difficile d'imaginer que cela soit autrement. C'est un axe majeur principalement automobile mais il est tout à fait possible de l'imaginer autrement car faciliter les mobilités douces en séparant le vélo clairement des voitures mais aussi des bus (car pour tout cycliste habituel ce mode de partage n'est pas sécure ni en termes de sécurité physique ni en termes de santé : prendre des bouffées de gaz d’échappement en plein effort derrière un bus n'est pas acceptable). Copenhague a analysé le pourquoi du succès du vélo et constaté que les raisons d'utiliser son vélo quotidiennement ne sont ni écologiques, ni financières, ni liées à la santé mais liées à la commodité. Si les infrastructures n'étaient pas aussi développées, les cyclistes utiliseraient plutôt une voiture. Ainsi l'offre doit pré exister à la demande car plus les infrastructures existent plus elles sont utilisées et non l'inverse. Aussi, il est important de réfléchir d'abord au but à atteindre (une ville apaisée et moins polluée et donc à une offre de circulation douce sécure) avant de poser d'emblée inamovibilité de la voiture. Et donc de faire ce que l'on a toujours fait mais juste un peu mieux, plutôt que de promouvoir une réflexion ambitieuse qui peut paraitre aujourd'hui un peu utopique mais qui ne le sera peut être plus du tout demain. Une place limitée de la voiture sur une voie, avec une vitesse limitée à 30 et des radars pour inciter à la respecter, une belle place aux mobilités douces pour lever le frein de la dangerosité, et pourquoi pas une fermeture à la circulation tous les dimanches pour en faire une vraie promenade et inviter chacun à circuler autrement ce jour là et enclencher une prise d'habitude de mobilité alternative d'une part mais aussi à envisager les espaces publics autrement qu'avec la sempiternelle voiture polluante, encombrante, bruyante, ce mode de pensée ne peut se modifier qu'en changeant d'abord la place que l'on laisse à chacun dans les espaces publics: piétons (valides, en situation de handicap, âgés, enfants), mobilités douces en priorité puis résiduellement à la voiture et non l'inverse. Et pourquoi pas étendre la fermeture au samedi. De grandes villes, comme Barcelone, ont aussi des projets étonnants pour nous aujourd'hui de fermeture de quartiers à la circulation qui paraissent complètement évidents une fois réalisés lorsque les habitants goûtent à la satisfaction d'un quartier vert et apaisé. "]

Numéro de version 1 sur 1 Afficher toutes les versions Retourner à la proposition

Version créée le 15/02/2024 16:52