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L'Etude d'impact, sur

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L'Etude d'impact, sur laquelle portent déjà beaucoup d'avis, constitue un document exhaustif d'analyses et de données chiffrées sur notre commune en général et sur le projet de la ZAC centre-ville. Toutefois, j'en retire l'impression d'un document promotionnel présentant lyriquement Gradignan comme devant rester, en dépit de la création de cette ZAC, la "ville jardin" ou la "ville parc" qu'elle est encore véritablement : "Depuis le centre-ville, les percées visuelles vers des horizons boisés sont importantes" (p. 83). Ce thème étant récurrent tout au long de l'étude, les promoteurs immobiliers, si leur projet aboutissait, ne manqueraient pas de le reprendre, avec photos à l'appui, tout en mentionnant précautionneusement "Document non contractuel" pour mieux vendre les appartements des immeubles entassés à l'arrière de l'église, notamment. Merci, l'étude d'impact ! Dans la même veine, la disparition de tous les EBC du parc de la Clairière et de la Cité Jardin ne poserait pas de problème avec la "sacralisation de la majeure partie des espaces boisés du périmètre du projet suite à l'évitement de ceux-ci et création (sic!) d'un parc public, le parc linéaire" (p. 181). Pas vraiment sérieux pour une étude d'impact au titre du Code de l'environnement ! Et encore, sachant que TOUS les immeubles projetés sur les secteurs Ermitage et Laurenzanne devraient être dotés de parkings souterrains (à deux niveaux la plupart), comment comprendre que "compte-tenu de la vulnérabilité des eaux souterraines du territoire du projet, il est fortement DéCONSEILLé aux futurs opérateurs de prévoir des aménagements souterrains" ? (Résumé non technique de l'étude d'impact, p. 19). Finalement, quand cette étude d'impact révèle (p. 87) que le nombre de logements vacants sur Gradignan est passé en cinq ans de 366 à 692, soit +89%, est-ce vraiment raisonnable de bousiller ainsi le centre-ville de Gradignan et tous ses équipements publics ?
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