Profil public
Avant d'interdir quoi que ce soit à quelqu'un, commencez par respecter les règles qui vous incombent : 50 km/h dans la descente et 30 km/h devant les écoles et le bourg.
Complètement d'accord, augmenter le temps de parcours serait décourageant pour les vélo !
Ma femme et moi habitons Berliquet et utilisons nos vélos à assistance électrique pour nous rendre sur nos lieux de travail (Bordeaux et Le Haillan) tous les jours.
Les temps de trajet déjà très longs et ne méritent pas d'être rallongés par des détours.
Encourager l’usage du vélo c’est proposer un chemin plus court et sécurisé par rapport aux voitures, quitte à ce que ces dernières aient un peu plus de distance à parcourir, facilement rattrapé.
Trois enjeux majeurs à prendre en compte dans votre esquisse :
- la montée en vélo vers les coteaux, avec des dépassements dangereux pour les voitures, camionnettes et bus (problème de visibilité), pour la descente, pas de problème.
- la liaison entre le rond-point du Mc Donald et l’Arena sur l'Avenue Gaston Cabannes (certains poids lourds qui doublent à 50 km/h malgré la mise à 30 km/h par Floirac),
- Les abords de la Jacqotte, peu fréquentables pour une femme en rentrant d’un RDV tardif après la tombée de la nuit.
Pourquoi ne pas envisager un système comme le CarLina https://www.aida-sea.fr/urban-transport/
Après lecture attentive du document, le lien entre la mobilité et les émissions sonores n'est pas clairement mis en évidence.
Il semble dommage que l'accent ne soit pas d'avantage mis sur les solutions de mobilité douce. Il pourrait être par exemple imposé, dans le cadre des projets résidences, de locaux commerciaux ou de restructuration d'écoles, une desserte minute spécifique aux vélos et l'aménagement de pistes prioritaires et sécurisées pour les triporteurs (pourtant évoqué dans le plan de mobilité).